Les Convoyeurs attendent

Origine:
  • Belgique
Genre:
  • Comédie dramatique
Public: Tout public
Année de production: 1999
Date de sortie: 19/05/1999
Durée: 1h30
Synopsis : Roger Closset habite la banlieue industrielle. Autour de lui, il y a sa femme et ses deux enfants: Michel, 15 ans et Luise, 8 ans. A côté, il y a le voisin colombophile, Félix, qui ne vit que pour Napoléon, son pigeon voyageur champion. Roger est reporter pour le journal local: il pirate les fréquences de la police, guette les faits divers, se précipite pour saisir sur le vif un accident de la route, l'arrestation d'un vagabond ou encore les dégâts de la grêle chez un fermier. Sa vie n'est pas facile. Pourtant à l'aube de l'an 2000, Roger veut s'en sortir. Il a un rêve: rentrer dans le livre des records et gagner ainsi la voiture promise par l'association des commerçants. N'importe quel exploit fera l'affaire : Roger embrigade son fils pour ouvrir et fermer une porte plus de 40.000 fois en 24 heures. Roger a tout prévu : une préparation scientifique, un coach 'à l'américaine' et en guise d'entraînement, une porte posée au beau milieu du jardin. Suffira-t-elle à le faire entrer lui et sa famille dans le troisième millénaire?
  • /10 Vous devez être connecté à votre compte pour coter ce film
    8.6/10 15 votes - 14 critiques

Avis des internautesdu film Les Convoyeurs attendent

Vous devez être connecté pour ajouter une critique Créez un compte
Publié le 3 mars 2008
Bien aimé ce film en noir & blanc. Benoît Poelvoorde, extraordinaire, comme toujours !

Publié le 29 novembre 2004
Les convoyeurs attendent Trois fois déjà que j'ai vu ce film. Et je l'aime toujours. Quel humour décapant. Si près de la réalité de tous nos pères de famille. Et de leur entourage. Absurde comme l'est celui de notre réalité, celle de ceux qui regardent la télé. Et de ces petits chefs minables. De ces papas agressifs le long des terrains de football qui tous voient en leur rejeton un futur champion. Mais quelle tendresse aussi. Quelle analyse sociale. Ces décors. Ces pigeons. Ce souper de réveillon. Cette porte à l'entraînement. Puis l'ambiance de concours dans la salle de fête officielle. Le sommeil. La minable petite tricherie. Et les engueulades du père à son fiston qui me font me demander si je ressemble à Poelvoorde quand j'engueule mes enfants. Génial sur toute la ligne. 9.25/10

Publié le 17 novembre 2000
Je suis une fan de Benoit Poelvoorde. J'adore son humour caustique et j'ai ADORE ' les randonneurs' et ' c'est arrivé près de chez vous' ... un humour a hurler de rire !!!. Ce film, ' les convoyeurs attendent' est dans la même lignée point de vue humour et ne m'a pas déçue du tout ! Un tout grand Bravo et j'en redemande encore ( je veux rire, que diable !!!)

Publié le 7 novembre 2000
Pour dire quelque chose d'original: les paysages sont superbes, il paraît qu'il existe une version colorisée: fuyez-la.

Publié le 23 juin 2000
J’ai un sentiment ambivalent envers ce film, d’une part il me semble important d’immortaliser sous toutes ses formes ces instants qui montrent d’où nous venons et ce que nous sommes, afin de ne pas oublier que nos racines sont plus qu’animales. A ce titre ce film est pour moi une bonne lentille à travers laquelle nous pouvons tous nous remettre en question, parce que la plupart d’entre nous sont encore à ce stade d’évolution, ce tableau là m’effraie au plus au point car les personnages de ce film aussi attendrissants soient-ils sont d’une médiocrité effrayante. Dans ce cadre de référence ce film est absolument à voir !!! D’autre part quel gâchis d’utiliser la puissance de l’image pour réinscrire sur une pellicule l’effrayante réalité que nous vivons au quotidien alors qu’il y a tant de magie à distiller à travers le monde dans des créations merveilleuses telles DARK CRISTAL ou LEGEND ou encore - aussi naïf soit le choix - E.T. Dans ce cadre-ci ce film est une atrocité au même titre que Roseta. Je reste convaincu que le 7ième Art devrait être au service du beau afin de rendre la société humaine, moins inhumaine.

Ils recommandent ce film

Partager

Suivez Cinebel