Ça commence aujourd'hui
Réalisateur:
Origine:
- France
Genre:
- Drame
Public:
Année de production: 1999
Date de sortie:
31/03/1999
Durée: 1h53
Synopsis :
Daniel Lefebvre est directeur d'école maternelle à Hernaing, près de Valenciennes. Fils de mineur, il exerce avec passion son métier d'instituteur dans une région qui fut riche et qui maintenant est rongée par le chômage. Entouré d'une équipe compétente et dévouée, il encourage l'éveil et la parole des enfants, stimule leur créativité. Un soir, une maman, Madame Henry, vient récupérer avec beaucoup de retard sa petite fille Laetitia. En voulant l'embrasser, elle s'écroule, ivre morte, dans la cour de récréation, puis, prise de honte, s'enfuit, abandonnant Laetitia et son bébé. Daniel, qui se retrouve seul avec les deux enfants, demande l'aide de la PMI, mais on lui raccroche au nez. Il prend sur lui de raccompagner Laetitia et son petit frère chez eux, et cela malgré le règlement qui interdit de telles initiatives. Cet incident, qui va avoir de nombreuses répercussions, l'amène à radicaliser son action et ses prises de position, à entrer en conflit avec sa hiérarchie, avec des élus. Il va lutter, tâtonner, avancer, se tromper.
Avis des internautesdu film Ça commence aujourd'hui
- 1
Publié le 11 avril 1999
D'emblée, il faut accepter ce risque: avoir cet air de 'pirouette, cacahuète' (niveau trois ans)vous trottant dans la tête plusieurs jours durant en dépit de vos efforts pour vous en débarasser. Plus sérieusement, voici un film 'social' (son 'making-of' est encore plus intéressant de ce point de vue) non dénué d'une intrigue bien construite en soutenant l'intérêt, se déroulant dans un milieu dont personne ne se soucie généralement : une école maternelle. L'embarras que suscite le côté 'pas tout à fait une fiction, pas tout à fait un documentaire' de ce film est en outre rapidement balayé par l'interprétation tout simplement magnifique de Philippe Torreton.
Publié le 8 avril 1999
Un film vrai sur les problèmes sociaux dans l'enseignement. Une lueur d'espoir avec beaucoup de réalisme. Cela nous change de 'L'instit'
- 1
Adrien Grimmeau