Dreamgirls
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genres:
- Comédie musicale
- Drame
Année de production: 2006
Date de sortie:
28/02/2007
Durée: 2h11
Synopsis :
Effie White, Deena Jones et Lorrell Robinson, trois amies de Chicago, forment un trio de chanteuses prometteur, The Dreamettes. Accompagnées de leur compositeur C.C. White elles se rendent à New York pour participer à un concours amateur au théâtre Apollo.
Même si leur prestation n'est pas une grand réussite, leur talent attire l'attention d'un manager ambitieux du nom de Curtis Taylor, Jr. Les filles commencent comme choristes de la superstar James "Thunder" Early, mais par des tactiques peu scrupuleuses le manager va les faire devenir des superstars à elles seules.
Curtis remodèle le groupe et entame la transistion du R&B à la scène pop, plus lucrative. Effie, la chanteuse principale, est remplacée par Deena, plus sexy, et finit même par être évincée du trio.
Le groupe se raffine. Nouveau nom, The Dreams, son plus épuré et look élégant. Elles attirent avec succès un public "blanc" et le groupe atteint une notoriété internationale. Cependant, l'argent, la célébrité et l'adulation ne fait pas leur bonheur.
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5.0/10 Cote de du film Dreamgirls
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5.0/10 Cote de du film Dreamgirls
Avis des internautes du film Dreamgirls
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Publié le 15 mars 2007
Encore un navet. D'habitude, je sais les éviter, mais là, bon, je me laisse convaincre, et puis il a un oscar... Je m'attendais en fait à un navet (Beyoncé, Eddy Murphy et miss American Idol ("Nouvelle Star" américaine) ne présagent rien de bon), mais là c'est le pire film que j'ai vu depuis longtemps. Qu'ils chantent, d'accord, je ne suis pas fan, mais passe encore. Mais là, ca braille, ca hurle, ca crie sans cesse en cassant les oreilles. Pour une fois, je maudis l'inventeur des Dolby Sound Surround et autres "expériences sonores". Si vous aimez les biographies musicales, louez-en une avec de vrais acteurs, comme Walk The Line ou Ray (si j'ose les comparés à ce semblant de déchet audio-visuel). Si vous aimez les comédies musicales, louez-vous Chicago ou Rent. A vous dégouter de la musique... et du "cinéma".
Publié le 8 mars 2007
Au lu des critiques, je fus d'abord très ennuyée de constater la tendance généralisée d'attaquer l'aspect inhérent des comédies musicales, à savoir la musique et les chants! Et je me souviens avoir ressenti semblable agacement lors de la sortie de Phantom of the Opera. Autant aller voir Saving Private Ryan et s'écoeurer de la nécessité de filmer une sordide boucherie sur les plages d'Omaha Beach! Mais après une demie heure de décibels, force me fut de me ranger aux critiques que j'avais hâtivement jugées. Phantom of the Opera, Moulin Rouge, Chicago, autant de comédies musicales qui prouvent les émotions peuvent agréablement s'exprimer en chantant même si leurs succès respectifs furent mitigés. Mais rien de tout cela ici! Se targuant d'être un faux biopic qui n'assume que superficiellement le contexte explosif de l'époque (trop rares incursions dans le monde extérieur le temps d'un entracte ou d'un coin d'image télévisuelle) mais qui s'autorise néanmoins à puiser allégrement dans la biographie de Diana Ross et des Supremes. La sauce ne prend jamais vraiment, les caractères restant cantonnés dans des icônes et symbôles plutôt que dans des personnages réels et concrets, cruellement dépourvus tous autant qu'ils sont d'étoffe et de profondeur. Pour pallier à ces trous béants dans le script, la parade est toute trouvée: tirer en longeur et en crescendo des chansons qui auraient gagné à être plus entraînantes ou populaires. Et enfin dernière carte d'un jeu perdant, jouer sur les atouts majeurs de chacun des interprêtes. Des shows déjantés d'Eddy Murphy aux multiples gros plans sur le minois et la plastique - certes irréprochables - de Beyoncé (qui pour l'occasion s'est délestée de 10kg, oubliez ses rondeurs affolantes ...). En passant par le coffre de Jennifer Hudson, qui nous enchanterait à raison d'une prestation ou deux, mais qui finit par écorcher oreilles et patience à force d'amour propre blessé et beuglé. C'est un peu comme regarder Johnny ou Lara, aux talents indiscutables, mais dont les hurlements sont insupportés par bon nombres de timides tympans... Enfin, pour imparfaire un peu plus le tout, le film ne parvient même pas à rendre un hommage mérité à l'avènement de la Soul et du Disco, trop occupé à nous abreuver d'une réalisation made in MTV malgré les efforts de maquillage, costumes et séances photos pourtant conformes à l'époque. A peine ais-je souri une fois à l'allusion sur George Martin et les Fab Four . Avec sa panoplie de gueules et de moyens, on pouvait espérer mieux... Que les allergiques au genre crient à la daube, passe encore. Mais c'est une fan de l'univers hystérico-fantasque de Baz Lhurman qui vous parle! Tss Tss....
Publié le 6 mars 2007
A mon avis, il faut vraiment aimer la music pour voir et apprécier cette comédie musicale… les acteurs sont tous bon, un petit plus à l’actrice qui joue le rôle d’Effie… elle a beaucoup de charisme et une TOP voix. Un petit plus aussi à Eddy Murphie. Dommage qu’on ne donne pas les vrais noms des « Suprêmes », de «Diana Ross», etc... sans doute une entourloupe des producteurs pour ne pas payer des droits ! Les décors et costumes rendent assez bien la traversée des époques. Hélas, c’est trop long (4 ou 5 chansons en trop) et donc hôte le côté léger qu’aurait pu avoir ce film.
Publié le 6 mars 2007
Il faudrait une dimension du monde où les êtres humains, au lieu de parler, de crier ou de chuchoter, s'exprimeraient en chansons, un peu à la manière d'Effie White qui répond au rejet de son manager et de ses camarades par une ballade aussi mélodramatique qu'irrésistible "And I'm telling you I'm not going". Quant à Beyoncé, s'il est vrai qu'elle est dépassée par une débutante qui en impose, elle devient réellement étonnante quand elle incarne une vedette au sommet de sa gloire, prisonnière d'une image que d'autres ont confectionné pour elle. Certes, ce film, virant peu à peu en drame, est un cliché du début à la fin; certes, il n'y a que des chansons et du glitter, mais c'est surtout un festival de lumières où les vérités essentielles, celles qu'on ne dit pas, sont parfois les plus simples.
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