Pour un seul de mes deux yeux
Titre original: Nekam achat mishtey eynay
Réalisateur:
Origines:
- Israël
- France
Genre:
- Documentaire
Public:
Année de production: 2005
Date de sortie:
04/01/2006
Durée: 1h44
Synopsis :
Les mythes de Samson et de Massada enseignent aux jeunes générations israéliennes que la mort est préférable à la soumission. Aujourd'hui, alors que la seconde Intifada bat son plein, les Palestiniens subissent quotidiennement les humiliations de l'armée israélienne : les paysans ne peuvent librement labourer leurs champs, les enfants sont bloqués des heures aux 'checkpoints' au retour de l'école... Exténuée, cette population, comme hier les Hébreux face aux Romains ou Samson face aux Philistins, crie sa colère et son désespoir. Avi Mograbi, cinéaste israélien, croit dans la force du dialogue entre les Palestiniens assiégés et une armée israélienne omniprésente.
Avis des internautesdu film Pour un seul de mes deux yeux
Publié le 22 janvier 2006
Amazing film. Go see it and make up your own mind. With just his footage of realtime events, the director (Israeli)illustrates startling similarities in the thinking between Jewish tribes (faced with Romans, then) and Palestinians (faced with Israelis, now). The film builds momentum with layer upon layer of evidence, and for me, crescendo's with the ugly, stomach-curdling realisation that so little understanding exists between these peoples, where there should really be so much.
Publié le 6 janvier 2006
est-ce un film?, est-ce un téléfilm? L'éloge du narcissisme ou le film du dimanche mayin ? Navrant
Publié le 29 novembre 2005
La mort préférable à la soumission ? Ceci est enseigné aux jeunes générations Israéliennes ? Par le mythe de Samson et Massada ? La mort préférable à quoi que ce soit ? Y a-t-il erreur dans le texte de Cinebel ? J'ai toujours lu entendu et cru que dans le Judaïsme et la Tora la VIE vient avant tout. Il me semble que la société Israélienne est un hymne à la vie. De quoi parle-t-on au juste dans ce film programmé pour dans 6 semaines ? Je n'y comprend rien. Ce texte n'est pas encourageant.
Cécile Rolin