Bombón, el Perro

Origine:
  • Argentine
Genre:
  • Comédie dramatique
Public: Tout public
Année de production: 2004
Date de sortie: 03/08/2005
Durée: 1h37
Synopsis : Juan Villegas travaille depuis 20 ans dans une station-essence perdue sur une route de Patagonie. Le jour où le propriétaire revend la station, Juan se fait virer immédiatement par le nouveau patron. Alors qu'il cherche du travail, il rencontre une vieille dame qui lui demande de réparer la voiture de son défunt mari afin de pouvoir la revendre. N'ayant pas d'argent, elle propose de le payer en lui donnant un chien. D'abord réticent, Juan finit par accepter et se rend compte petit à petit qu'il s'agit d'une race de chien rare et convoitée. Avec un ami, il prépare un concours canin, duquel le chien repartira à la 3ième place du podium. Juan sent que la chance est avec lui. Mais il se rendra vite compte que la chance peut tourner rapidement...
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    8.8/10 23 votes - 23 critiques

Avis des internautesdu film Bombón, el Perro

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Publié le 16 janvier 2006
tout simplement:A VOIR sans hésiter.

Publié le 9 janvier 2006
Hum, pourtant habitués aux films humains, intimiste et lent, nouys avons eu un peu de mal a accroché à l'histoire sans beaucoup d'intérêt. Le coco est bien sympathique, on lui donnerait le bondieu sans confession mais qu'est-ce que le réalisateur veut nous montrer dans cette histoire??? Ma compagne vétérinaire a, de plus, relever une méconnaissance assez embarassante du monde des chiens! Les comédiens sont amateurs si j'ai bien compris, m'étonerais pas que le réalisateur le soit aussi!

Publié le 1 décembre 2005
C'est un film tres bien réaliser avec des personnages qui représente bien le film.

Publié le 30 novembre 2005
moi franchement je suis allée le voir avec mon lycée et j'ai pas beaucoup aimer le film. Je le trouve un peu ennuyant mais c'est une belle histoire d'amitié entre Coco et le chien!

Publié le 4 novembre 2005
C'est vrai, Maria, tu as raison. Tu attendais sans doute un film qui houspille ton orgeuil national, un beau chant patriotique qui nous fasse découvrir l'Argentine que tu aimes, et là je comprends ta déception. Ce film n'a pas grand chose d'un documentaire, sinon sur l'âme humaine. De la même façon, tu as aussi raison pour la scénario. Comme d'autres l'ont dit ici, il ne se passe rien; ni Hollywood et ses saints ni Walt Disney n'auraient gaspillé une 1/2 seconde de leur intérêt à un tel "vide". Preuve pour moi que le (bon) cinéma, peut-être justement comme tu le rappelles parcequ'on l'appelle "le 7e art", ne peut jamais se limiter à un scénario. Démonstration magistrale d'un Maître; c'est ce qu'est "Bombon" à mon humble avis. User de superlatifs ou de classification me paraît dérisoire par rapport à de tels films "hors compétitions". Leur mérite est simplement leur absolue sincérité, et j'oserais presque dire leur absolue vérité, si je n'avais pas un peu peur de ce grand mot trop usé. Par un tel cinéma d'une si apparente simplicité et honnêteté, des réalisateurs comme Carlos Sorin (et leurs acteurs, je dois peut-être dire surtout ceux ci) réussissent un tour de magie fabuleux. Ils nous permettent de nous faire toucher du doigt, avec jubilation, ce que c'est que "d'être fait homme". Il s'agit moins d'émotion ici, ou de "pathos" -ne parlons surtout pas de "suspens", évidemment- que de communion. Avec quoi, je ne sais pas trop, je ne vais pas jouer le mystique et sortir les grandes Effigies (après la "vérité"!). Mais quand même avec quelque chose qui nous concerne intensément tous. Audelà des individus, des peuples, et probablement du temps. Un moment extrêmement intense et savoureux de cinéma que je rapprocherais assez de celui de "Vodka Lemon", de Hiner Saleem. Et de certains classiques de la littérature dont je vous épargnerais la liste (mais où Daudet pourrait bien figurer, ce ne serait pas complétement incongru ;-) Seulement, plus que la lecture du conte, c'est vrai que peut-être ce cinéma peu anodin n'est pas donné à voir à tous, que peut-être il faut pour l'apprécier, non pas "une éducation", mais au contaire quelque chose comme une certaine naïveté retrouvée. Je ne côte pratiquement jamais 10/10, que ce soit ici ou ailleurs -comme le prof cochon qu'il m'arrive dêtre-. Mais ici je fais quand même exception, en gratitude pour le moment passé et son si bon souvenir.

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