Le Courage d'aimer
Réalisateur:
Origine:
- France
Genre:
- Comédie dramatique
Public:
Année de production: 2005
Date de sortie:
31/08/2005
Durée: 1h45
Synopsis :
'Des hommes et des femmes pour qui les galères sont le chemin de l'orgueil... C'est le triomphe des autodidactes, des outsiders, de ceux qui n'auraient jamais dû être à l'arrivée. Un chanteur des rues, une voleuse à la tire, une serveuse de bar, une bonne à tout faire et un camelot charismatique...'
Avis des internautesdu film Le Courage d'aimer
Publié le 7 septembre 2005
Comment fait on pour mettre 200% comme cote ? Film génial, du grand Lelouch. Je n'avais pas vu le précédent dont celui-ci est la reprise, donc cela n'influence pas ma cote et je suis sans avis par rapport aux premiers commentaires ! Film éblouissant d'émotion et de vie réelle
Publié le 6 septembre 2005
Lelouch...on aime ou on n'aime pas. C'est comme ça. Je n'avais pas vu 'Les Parisiens' et ai donc découvert en avant-première 'Le courage d'aimer'...que j'ai immédiatement adoré ne fut-ce que parce qu'il m'a permis de voir à nouveau un Ticky Holgado trop tôt disparu. Ensuite, on se laisse emporter par le film puis le film dans le film et j'ai enfin ressenti cette magie que 'La Belle Histoire' m'avait donnée, il y a près de 15 ans... Décidément, Lelouch, moi j'l'aime bien
Publié le 6 septembre 2005
Séance de rattrapage inédite pour Claude Lelouch, celui-ci ayant dû raccourcir son initiale trilogie du « Genre Humain » de 6 en ...1h45 afin de combler au maximum l'échec du premier opus. Et tout cela, en changeant subtilement de titre, évidemment. Mais ce surprenant procédé n'altère en rien un film où la qualité est franchement au rendez-vous, même si les plus puristes reprocheront au réalisateur une recette (ré)utilisée. Une fameuse brochette d'acteurs, avec à sa tête un illustre inconnu, Massimo Ranieri - toutefois sommité de la chanson en Italie -, et quelques bonnes surprises, comme Michel Leeb ou Maïwenn Le Besco sans oublier l'éternelle fraîcheur de Mathilde Seigner et la toute dernière apparition de l'ami Ticky Holgado. Une, enfin plusieurs histoires d'amour originales, le parallélisme des situations étant toujours de rigueur, où planent un romantisme et de bien jolis mots, pour un film qui mérite certainement plus d'attention qu'il n'en a suscité à sa sortie. A moins d'avoir déjà vu « Le genre humain », il est bon de le préciser...
Patrick Glubart