Casino Royale

Origines:
  • États-Unis
  • Royaume-Uni
Genres:
  • Action
  • Aventure
  • Espionnage
Public: Tout public
Année de production: 2006
Date de sortie: 22/11/2006
Durée: 2h24
Synopsis : Pour sa première mission, James Bond affronte le tout-puissant banquier privé du terrorisme international, Le Chiffre. Pour achever de le ruiner et démanteler le plus grand réseau criminel qui soit, Bond doit le battre lors d'une partie de poker à haut risque au Casino Royale. La très belle Vesper, attachée au Trésor, l'accompagne afin de veiller à ce que l'agent 007 prenne soin de l'argent du gouvernement britannique qui lui sert de mise, mais rien ne va se passer comme prévu.
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    7.3/10 71 votes - 74 critiques
  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film Casino Royale

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Avis des internautesdu film Casino Royale

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Publié le 2 décembre 2006
J'ai jamais été fan des James Bond, mais alors celui-là! le scénario est inexistant, les dialogues ridicules, par contre j'ai trouvé les acteurs prometteurs... (c'est eux qui sauvent ma note)

Publié le 1 décembre 2006
Je remercie d'avance les Talibans de modérer leurs ardeurs... Dire que ce film est trop nul pour "ceux qui ont un minimum de culture cinématographique"... 1/ si c'est le cinéma d'auteur qui vous plait, pourquoi aller voir un James Bond 2/ Le film d'action est un genre et fait à ce titre partie de la "culture cinématographique" 3/ ce site n'est pas fait pour convaincre qui que ce soit mais pour donner un avis: SON PROPRE AVIS , sans juger les autres. Donc... je vous livre mon avis: le meilleur James Bond depuis très très longtemps.

Publié le 1 décembre 2006
Difficile de passer après cette magnifique critique de Dirtyaudience que je partage à 100% Je vais donc me contenter de taper sur les talibans... Franchement, des phrases du genre "Fortement déconseillé à toute personne possédant un minimum de culture cinématographique.", on s'en passerait sans problème... C'est vrai quoi!? Si vous trouvez que votre niveau culturel est trop élevé que pour apprécier un james Bond, pourquoi allez-vous le voir?? Masochisme, distraction ou bêtise ?? By the way, le "cinéma d'action sans prétention" comme le western ou la comédie romantique est un genre (sans lequel beaucoup de salles seraient déjà fermées depuis longtemps) et à ce titre fait partie de la "culture cinématographique".

Publié le 30 novembre 2006
Figures imposées Chez les gens qui n’ont que peu à foutre du cinéma, pour des raison aussi légitimes que : “ça coûte cher, y a rien de bien, les boissons sont hors de prix, c’est sous-titrés, y’a du bruit, il’m donne des coups de pied dans mon siège” ou encore “pour le même prix, j’loue trois dvd, puis d’abord on trouve jamais de place pour se garer”. Pour ceux-là, avec James Bond, il y a les années “sans” et les années “avec”. Cette année, est une année “avec”, et donc malgré tout, “maman, tu mets ton chapeau et on va au cinéma”. Biensûr pour ceux qui en en ont un peu quelque chose à foutre du cinéma, les année “oo7” c’est aussi parfois des années “sans” car outre le fait que “ça coûte cher, les boissons sont hors de prix, c’est sous-titrés, y’a du bruit, il’m donne des coups de pied dans mon siège” ou encore “pour le même prix, j’loue trois dvd, puis d’abord on trouve jamais de place pour se garer”; c’est vrai “y a rien de bien”. Et même parfois avec “Les James Bond”. Dernièrement, Les “avec”, “James Bond, c’était plus vraiment ça”, certes on avait droit à un quatre quart gadget/placement produit/cascades/James Bond girls mais vu que la formule s’était illustré par une plâtré voiture invisible/Perrier©/karaté à 2 balles/Sophie Marceau ; la franchise, elle sentait un peu la pâté de foie et encore un pâté crème allégé de tout ce qui aurai pu définir un pâté. “Mwouais, v’la t’y pas qu’il nous refaît le coup de l’intro interminable, et que bhlabhlabhla, que je te balance une vanne, bhlabhlabhla, une métaphore culinaire, bhlabhlabhla,… mais au final, “Casino Royale” c’est bon ?” Par la soustraction. Casino Royale s’inscrit comme une pierre angulaire de la culture jamesbondophile, culture à l’intérêt tout relatif pour les personnes n’ayant que peu à foutre de la culture jamesbondophile. En effet, Une nouvelle tête pour un oo7 est toujours un événement d’envergure, jamesbondophilement parlant. Et celui-ci dès le début posait problème, “Pas assez Playboy” trop “délit de Sale Gueule”. Comme si les gardiens du temple criant au scandale, n’avaient jamais ouvert un roman de gare de Ian Fleming et ainsi ne faisait qu’accroître l’idée que James Bond était la suite de la série “Le Saint”. Idée crétine, prouvant que ceux-ci , n’avaient pas non plus ouvert de bouquin de Leslie Charteris . En effet, Nos deux héros sont loin d’être les figures iconiques qui nous ont été vendues pendant des années. Et c’est tant mieux. A quoi bon allez au cinéma si c’est pour retrouvez à l’identique ce que l’on a connu par la lecture. La réponse est simple : “En comptant les gens qu’ont vu le livre, bhen ça sera un succès au cinéma… wep c’est comme une projection dia de vacances qu’on a fait, c’est pour se souvenir de ces vacances.”*. Hors, les héros de Ian Fleming et Leslie Charteris sont rentrés dans l’inconscient collectif mais peu de gens ont passer le temps Bruxelles – NewYork, plateau repas exclu, pour venir à bout d’une de leur aventure. “Mais revenons à nos moutons. “Casino Royale” s’inscrit dans les films “les débuts de…” soit une vague cinématographico-télévisuelle amorcée dans le but de recycler des héros soit trop vieux, soit dont toutes les aventures ont déjà été contées, soit dans le but de d’élargir l’audience potentielle en misant sur les plus jeunes. Et ainsi, on eu droit à la genèse de Sherlock Holmes, de Indiana Jones, Darth Vader, Starsky et Hutch, Batman, le Saint, … et enfin James Bond. “Hé l’aut’ malhonnête, le james Bond, il est basé sur un roman qui existe vraiment et que c’est la première aventure de James Bond”. “Alors, d’abord, je ne n’instisterer pas sur la pertinence de ces propos et ensuite si tu pouvais simplement fermer ta…biiiiiiiiiiiiiip et me laisser –si pas finir, on en est pas encore là– continuer. Donc, “Casino Royale” s’inscrit dans les films “les débuts de…” et est effectivement basé sur le premier roman des aventures de James Bond, Mais il serait un peu naïf de croire que si l’adaptation cinématographique n’arrive que maintenant, c’est qu’on vient juste de découvrir qu’il y avait encore quelque chose à raconter… Et il est temps de faire une petite pause historique à l’attention des personnes n’ayant que peu à foutre de la culture jamesbondophile et “remettre un peu les choses dans leur contexte”. Si officiellement, l’on compte 21 aventures dans la Franchise** James Bond”, officieusement il en existe 24 qui peuvent se manifester sous la bannière oo7. Ainsi deux scénarios ont échappé à la main mise de la broccoli’s family et ont été adaptés à plusieurs reprises de manière plus ou moins officielle : Casino Royale (1954), Casino Royale (1967) et Jamais plus jamais (1983) film reprenant le scénario de Opération Tonnerre. Le “Casino Royale” 2006 arrivant ainsi comme nouveau “James Bond – on reprend les choses à leurs origines – ” car les droits ont été enfin acquis par les Broccoli. Donc, Résumons : On a une nouvelle gueule (qui si n’est pas le playboy souhaité est en coup plus jeunes que le dernier en date qui avait pris la précaution de ne plus courir torse nu sur la plage, ses bonnet B lui faisant mal lors des scènes d’action). On a un vieux scénario, façon : “On a retrouvé des bandes oubliées d’un chanteur mort, y a de quoi se faire des thunes”, et enfin çà commence à faire des lustres qu’on fait plus illusion dans le domaine de l’action avec nos héros manierés, alors qu’en face on nous défie avec du couillu. Ainsi l’heure était venu pour la vengeance. James Bond revient et il n’est pas content… Exit les gadgets, exit les danses prénuptiales avec Money Penny et surtout exit les blagues à papa… Voilà un agent besogneux, ultra violent, roulant en voiture de location et qui rentre ses notes de frais. Voilà un agent qui s’en prend plein la gueule, ça castagne sévère, loin des poses qui feraient passé Austin power pour Bob Denard. Ici les bastons sont poisseuses, vulgaires et expéditives, le permis de tuer à enfin lieu d’être et y pas de temps pour les vannes de fin de banquet. Si l’idée venait à James Bond de jouer Brett Sinclair, il n’aurait tenu que deux bobines. Voilà du sec, du taureau, du trouble, de l’audace. James Bond est enfin James Bond, ça sent enfin le vrai roman de gare, le chien mouillé, la chambre mal aéré. James Bond revient et ça fait enfin plaisir

Publié le 29 novembre 2006
22/11. Date fébrilement attendue par tous les inconditionnels de l'Agent le moins Secret de sa Majesté. Catégorie dont j'avoue faire partie depuis qu'Ursula-Honey Andress-Ryder , sublime naïade dans un deux-pièce inoubliable, émergea des flots en susurrant "Underneath the Mango Tree..." Les épisodes de James de Bond sont synonymes d'aventures explosives et de gadgets invraissemblables, le tout serti d'un certain exotisme et d'un érotisme certain. Sans vraiment déroger à la règle, celui-ci a tout de même de quoi surprendre et déconcerter les puristes: 007 boit autre chose que son Martini Dry "shaken not stirred", privilégie force et poigne aux gadgets, fait l'amour de manière plus sauvage qu'esthétique, ose prononcer dans un aveu amoureux la phrase à trois syllabes, roule en Ford (avant de gagner au jeu l'Aston Martin de son adversaire), sort des bagarres couturés de cicatrices et le visage en sang... Mais surtout, grande première, l'intrigue se focalise sur le personnage, se risquant à humaniser la jeune recrue du MI6 au tout récent matricule qu'houspille délicieusement sa Supérieure M (Judi Dench, impériale!). Une liberté chronologique qui surprend et embrouille quelque peu: situer cette première mission après le 11/09 fait ironiquement passer à la trappe le temps de la Guerre Froide. Mais les premiers bémols mineurs rapidement oubliés (absence de thème à la Shirley Bassey et du générique sauce Binder), l'évidence s'impose. Non, les héritiers de Cubby Broccoli ne se sont pas trompés en portant leur choix sur le très controversé Daniel Craig, incarnation suavement athlétique du futur Commandeur, sexy en diable jusqu'au bout du noeud pap', qui rajeunit radicalement le mythe et en dépoussière le smoking. Il faut avouer que le film tend à se distinguer voire à dénoter par rapport à l'ensemble de la série (scènes dispensables de torture et de noyage). Mais il possède des cartes maîtresses: Eva Green, resplendissante en Dame de Coeur, qui tient la dragée haute au Séducteur, le charismatique Valet de Pique Mads Mikkelsen, en une interprétaion du Chiffre qui n'est pas sans rappeler l'ennemi juré Blofeld. A souligner aussi la bond-issante poursuite en ouverture servie sur une partition digne d'un John Barry, orchestré pour la 4è fois consécutive par David Arnold. Bien sûr, les indécrottables nostalgiques peuvent toujours regretter le machisme magnétique irrésistible de l'inégalable Sean Connery, l'abstraction des figures-clés Money Penny et Q, les trouvailles incroyables comme Little Nelly, Mais qui déplorera vraiment l'absence de certaines répliques et scènes finales navrantes d'humour bêtifiant? En résumé, ce Bond-là étonne et détonne mais remplit plus qu'honorablement sa mission: réussir à éblouir nos mirettes blasées et divertir nos cerveaux congestionnés, le tout en réactualisant un concept dont le succès n'a pas démenti depuis 44 ans. Bref, une petite merveille d'action musclée et de glamour stylisé. Et c'est une fan de la première heure qui vous le dit!

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