Spider-Man 3

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Action
  • Fantastique
Public: Tout public
Année de production: 2007
Date de sortie: 02/05/2007
Durée: 2h20
Synopsis : Peter Parker a enfin trouvé le juste milieu entre son attachement pour M.J. et ses devoirs en tant que superhéros. Cependant, une tempête se prépare à l’horizon. Quand son costume change tout à coup, devient noir comme du charbon et renforce ses pouvoirs, il transforme aussi Peter lui-même et fait ressortir le côté sombre et vindicatif de sa personnalité qu’il essaie en vain de contrôler. Sous l’influence de son costume, Peter devient présomptueux et commence à négliger les gens qui sont le plus profondément attachés à lui. Finalement, il est obligé de choisir entre le pouvoir séduisant de son nouveau costume et le héros plein de compassion qu’il était avant. Peter devra vaincre ses démons personnels et faire face à deux des scélérats les plus redoutés du monde, Sandman et Venom. Leur pouvoir hors pair et leur soif de vengeance menacent Peter et tous ceux qui lui sont chers.
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    6.6/10 34 votes - 38 critiques
  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film Spider-Man 3

  • 7.5/10  Cote de DH.be du film Spider-Man 3

Avis des internautesdu film Spider-Man 3

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Publié le 22 mai 2007
Ce troisième opus est de loin le plus mauvais. Trop long, beaucoup trop long. Je reconnais que visuellement, c'est beau, les graphistes et autres spécialistes en animation on vraiment fait un beau boulot, mais pour le reste... Comme d'habitude, Bruce Campbell y fait une apparition sympa, et fait désormais partie du décor. Mais pour le reste, très décevant. Sam Raimi en fait trop sur les aspects sentimentaux des protagonistes. Voilà donc pour mon avis qui vaut ce qui vaut ...

Publié le 22 mai 2007
Trois super-vilains pour le prix d'un, un Peter Parker d'une dualité redoutable, des rivalités sentimentales à la chaîne,... On peut dire que le scénario a été peaufiné à tous les niveaux tant dans l'approche psychologique des caractères que dans la perpesctive d'un spectacle accrocheur. Le tout s'enchaîne à un rythme d'enfer et rivalise de bravoure et d'humour (l'arrivée de Spidey sur la version orchestrée de "Spiderman"). Coup de maître (ou dans l'eau pour certains), Sam Raimi prend de court son public et le rend témoin ébahi et incrédule face à la métamorphose de notre héros: Tobey Macguire qui ravale son éternel sourire niaisement rêveur pour une dégaine sexy et arrogante le temps d'une séquence mémorable ? Certains n'hésiteront pas à taxer ce passage et quelques autres de saugrenus voire grotesques. Et pourtant, quel moment de cinéma de voir notre héros imbu de son charisme nouvellement acquis, la mèche gominée et l'allure altière. Les seconds rôles ne sont pas en reste, la jeune génération en tête de ce peloton bigarré: Topher Gracer (l'irrésistible arriviste dans In Good Comany, c'est lui) rive son clou à ceux qui soupçonnaient ses prestations de ne convaincre que la seule gent féminine éminemment réceptive à toute nouveau minois de jouvenceau (et toc). Mais également, Bryce Dallas Howard (Shyamalan ayant rendu sa liberté à sa nymphe des forêts et des eaux) est méconnaissable en ingénue peroxydée mais au regard toujours aussi saisissant d'insondabilité... Quant à James Franco, il incarne un personnage des plus captivants de la série, d'une perfide duplicité, ou comment un meilleur ami à l'esprit fourbe peut se révéler un ennemi soudainement loyal... Car dans S3, les méchants ne sont pas tout à fait blâmables et les gentils peuvent adopter un comportement lamentable. A ce canevas de choix vient se greffer une définition d'images si parfaite qu'on en oublie l'invraissemblance. Pour ma part, je ne m'explique pas ce goût toujours aussi prononcé pour ces scènes catastrophes où des tours se font massacrer (à coups de grue siouplait), les décombres jonchant lourdement le sol et accessoirement la population itou. Le nive eleven a irrémédiablement changé ma perception de simple spectatrice, mais cela ne semble pas être le cas de ces réalisateurs qui s'amusent indémodablement à démolir virtuellement ces mastodontes de poutres et d'aciers. Qu'à cela ne tienne, le public raffole de la grosse artilerie, n'en déplaise à mes émotivités de midinette. Et Sam Raimi sait lui donner ce qu'il attend: malgré les quelques longueurs évidentes, surenchères dispensables et un humour qui vire à la parodie absurde et dont certains ne s'en remettent visiblement pas, il nous livre un numéro trépident truffé d'exploits et de passions, qui n'ont pas faibli d'un chouia depuis le premier volet, que du contraire. Peu de blockbusters à épisodes peuvent s'en vanter. Je m'étonne qu'on puisse à ce point diaboliser un concept qui n'est en définitive que l'entertainment de très bonne facture. Pour autant que soit honni le genre, c'est tout de même ce qui se fait de mieux dans le style "plein la vue mais crédibilité discutable". Qu'on se le dise.... Côté clin d'oeil, "Taste like Strawberry" m'a interpellé: voulu ou pas, l'apparente référence à GoldenEye quand Janus/Trevelyan (Bean) se vante auprès de son rival (Brosnan) d'avoir volé une faveur à sa captive Natalya (Scorupco)? La franche similarité entre les deux scènes s'impose mais le mystère demeure...

Publié le 22 mai 2007
Trois super-vilains pour le prix d'un, un Peter Parker d'une dualité redoutable, des rivalités sentimentales à la chaîne,... On peut dire que le scénario a été peaufiné à tous les niveaux tant dans l'approche psychologique des caractères que dans la perpesctive d'un spectacle accrocheur. Le tout s'enchaîne à un rythme d'enfer et rivalise de bravoure et d'humour (l'arrivée de Spidey sur la version orchestrée de "Spiderman"). Coup de maître (ou dans l'eau pour certains), Sam Raimi prend de court son public et le rend témoin ébahi et incrédule face à la métamorphose de notre héros: Tobey Macguire qui ravale son éternel sourire niaisement rêveur pour une dégaine sexy et arrogante le temps d'une séquence mémorable ? Certains n'hésiteront pas à taxer ce passage et quelques autres de saugrenus voire grotesques. Et pourtant, quel moment de cinéma de voir notre héros imbu de son charisme nouvellement acquis, la mèche gominée et l'allure altière. Les seconds rôles ne sont pas en reste, la jeune génération en tête de ce peloton bigarré: Topher Gracer (l'irrésistible arriviste dans In Good Comany, c'est lui) rive son clou à ceux qui soupçonnaient ses prestations de ne convaincre que la seule gent féminine éminemment réceptive à toute nouveau minois de jouvenceau (et toc). Mais également, Bryce Dallas Howard (Shyamalan ayant rendu sa liberté à sa nymphe des forêts et des eaux) est méconnaissable en ingénue peroxydée mais au regard toujours aussi saisissant d'insondabilité... Quant à James Franco, il incarne un personnage des plus captivants de la série, d'une perfide duplicité, ou comment un meilleur ami à l'esprit fourbe peut se révéler un ennemi soudainement loyal... Car dans S3, les méchants ne sont pas tout à fait blâmables et les gentils peuvent adopter un comportement lamentable. A ce canevas de choix vient se greffer une définition d'images si parfaite qu'on en oublie l'invraissemblance. Pour ma part, je ne m'explique pas ce goût toujours aussi prononcé pour ces scènes catastrophes où des tours se font massacrer (à coups de grue siouplait), les décombres jonchant lourdement le sol et accessoirement la population itou. Le nive eleven a irrémédiablement changé ma perception de simple spectatrice, mais cela ne semble pas être le cas de ces réalisateurs qui s'amusent indémodablement à démolir virtuellement ces mastodontes de poutres et d'aciers. Qu'à cela ne tienne, le public raffole de la grosse artilerie, n'en déplaise à mes émotivités de midinette. Et Sam Raimi sait lui donner ce qu'il attend: malgré les quelques longueurs évidentes, surenchères dispensables et un humour qui vire à la parodie absurde et dont certains ne s'en remettent visiblement pas, il nous livre un numéro trépident truffé d'exploits et de passions, qui n'ont pas faibli d'un chouia depuis le premier volet, que du contraire. Peu de blockbusters à épisodes peuvent s'en vanter. Je m'étonne qu'on puisse à ce point diaboliser un concept qui n'est en définitive que l'entertainment de très bonne facture. Pour autant que soit honni le genre, c'est tout de même ce qui se fait de mieux dans le style "plein la vue mais crédibilité discutable". Qu'on se le dise.... Côté clin d'oeil, "Taste like Strawberry" m'a interpellé: voulu ou pas, l'apparente référence à GoldenEye quand Janus/Trevelyan (Bean) se vante auprès de son rival (Brosnan) d'avoir volé une faveur à sa captive Natalya (Scorupco)? La franche similarité entre les deux scènes s'impose mais le mystère demeure...

Publié le 21 mai 2007
Le film est à peu près de même qualité que les 2 premiers opus. Les scènes d'action sont un peu mieux faites. Les effets spéciaux sont par moment assez improssionnants. Par contre, les dialogues et les situations entre les scènes d'action sont toujours un peu cul-cul.... J'aime bien ce genre de film et c'est distrayant mais le problème est que ça doit plaire à un trop grand nombre de gens. C'est le genre de film qui est fait pour plaire de 7 à 77 ans.....et j'aimerais un Spiderman plus noir et moins dégoulinant de bons sentiments. Mais voilà, à partir d'un certain budget, le réalisateur ne peut pas faire ce qu'il veut.

Publié le 18 mai 2007
Mon avis s’aligne sur les critiques négatives émises précédemment. J’étais allé voir ce film sans grande autre attente que celle de passer un moment de détente sans prise de tête, en n’espérant de ce troisième volet que de se situer dans la lignée des deux premiers opus, chacun de fort bonne facture dans le genre blockbuster, dont ils ont symbolisé deux des principaux fers de lance de ces dernières années. Mais, las !, le troisième volet des aventures de spidey ne m’a pas emballé. D’abord par l’histoire, qui, comme déjà souligné précédemment, emprunte des longueurs inutiles pour tenter d’asseoir une ambiance pseudo-dramatique au final mal rendue. Ensuite, parce que les effets spéciaux dans chaque scène d’action donnent l’impression désagréable d’assister à un film d’animation en 3-D, où la vitesse de déroulement des séquences semble avoir dissuadé les animateurs de tout souci de réalisme, fut-il minimal. Les images défilent avec une telle célérité qu’elles font songer à un jeu vidéo pour ados. Spiderman a l’air d’une poupée de latex perdue dans un dessin animé amélioré lorsqu’il file à travers la circulation, rebondit d’immeuble en immeuble ou se fracasse contre des façades sans jamais rien se casser au demeurant. A trop vouloir pousser le bouchon, on finit par se noyer dans l’overdose. Les 140 minutes du film auraient pu s’amputer d’un bon quart et gagner en densité. On s’interroge sur la pertinence de beaucoup de passages inutiles, notamment celui du bar-cabaret où Peter esquisse des pas de danse, scène qui n’apporte rien à l’histoire et n’aide pas vraiment à illustrer le caractère altéré du personnage ‘colonisé’ par un hôte indésirable. Enfin, et de façon générale, à force de vouloir en faire plus que dans l’épisode précédent, Sam Raimi n’a pas réussi à éviter l’écueil de la surenchère, où plus ne rime pas nécessairement avec mieux. On peut espérer que ceci constituera le dernier opus si la série se devait de continuer à évoluer sur ce même ton ‘plus vite, plus fort, plus gros’, au détriment de la simple qualité cinématographique.

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