Nobody Knows

Titre original: Dare mo shiranai
Origine:
  • Japon
Genre:
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 2004
Date de sortie: 17/11/2004
Durée: 2h21
Synopsis : Quatre enfants vivent paisiblement avec leur mère dans un petit appartement à Tokyo. Ils sont tous de pères différents et ne sont jamais allés à l'école. Le propriétaire ignore même l'existence de trois d'entre eux. Un jour, leur mère disparaît en laissant un peu d'argent et un mot à l'attention de l'aîné pour qu'il s'occupe de ses frères et soeurs. Cruellement abandonnés, les quatre enfants parviennent à survivre dans leur petit monde en se fixant leurs propres règles. Mais quand ils sont confrontés au monde extérieur, le fragile équilibre qu'ils avaient préservé s'effondre.
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    8.3/10 16 votes - 16 critiques

Avis des internautesdu film Nobody Knows

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Publié le 3 janvier 2005
Exellent, touchant, d'une beauté indescriptible.

Publié le 23 décembre 2004
le plus beau, le plus émouvant, le plus nuancé des films réalisés sur l'enfance, on plonge réellement dans l'univers des enfants et leur descente aux enfers filmée avec une pudeur et un sens du vrai inégalé : le film de l'année !

Publié le 21 décembre 2004
Ce film est une gifle. Notre indifférence crasse à l'égard des misères du monde est tellement évidente,lorsqu'on y pense.Merci de nous le lancer une nouvelle fois à la tête mais cet enième rappel servira-t-il à quelque chose ? Je, tu,il,nous,vous,ils quittons la salle, conscients de jouer tous les jours le rôle de la mère... Et après ? Je rentre chez moi...

Publié le 18 décembre 2004
exellent.pas d'autre mot. Une force, un message. on en sort grandi.

Publié le 12 décembre 2004
Un des chefs d'oeuvre de ces dernières années, et qui marquera sans doute l'histoire du cinéma, comme "Jeux interdits", auquel il me fait penser. Les trois thèmes fondamentaux de la vie - l'amour/le désamour, l'argent/le manque et la mort - y sont traités selon des harmoniques orientales que l'on connaît bien: finesse, sobriété, délicatesse. Hirokazu Kore-Eda, déjà réalisateur du remarquable conte philosophique "After Life", a été touché par la grâce. L'obstination des enfants abandonnés, soumis à la règle mais créatifs en situation extrême, nécessitait sans doute cette longueur inhabituelle, afin de signifier davantage la longueur de la "captivité". A revoir, déjà, je m'y apprête.

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