In the Cut

Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Thriller
Public: Tout public
Année de production: 2003
Date de sortie: 17/12/2003
Durée: 1h58
Synopsis : Professeur de lettres new-yorkaise, Frannie vit seule. Bien qu'étudiant l'argot et les romans policiers, elle s'est toujours tenue loin de l'aspect glauque de la ville. Un soir, dans un bar, elle est le témoin d'une scène intime entre un homme et une femme. Fascinée par l'intensité de leur passion, elle n'a que le temps de remarquer le tatouage de l'homme et la chaleur de son regard. Le lendemain, elle apprend qu'un meurtre a été commis tout près de chez elle. Malloy, le policier chargé de l'enquête, a le sentiment qu'elle sait quelque chose. Frannie se sent attirée par cet homme, mais son attitude l'effraie tout autant que le tatouage sur son poignet. Le doute s'insinue en elle... Impliquée chaque jour un peu plus dans l'enquête et dans une liaison qui la libère autant qu'elle lui fait peur, Frannie est tentée de tout quitter. Lorsqu'elle est agressée par un homme masqué, elle prend brutalement conscience qu'elle n'est plus en sécurité. Et Malloy n'est pas forcément la solution...
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    3.7/10 22 votes - 24 critiques

Avis des internautesdu film In the Cut

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Publié le 17 décembre 2003
Bof, bof et re-bof J'ai failli sortir avant la fin (d'autres spectateurs l'ont fait) On a peine a croire qu'il n'y a pas si longtemps la même réalisatrice nous aie donné le sublime 'La leçon de piano' Le moins qu'on puisse dire est qu'elle a des hauts et des bas. Pareil pour Meg Ryan, on l'a connu dans de meilleurs films. On parle pas mal des scènes de cul de ce film. Même ces scènes-là ne valent pas le déplacement Un film glauque qui ne vaut pas le déplacement.

Publié le 17 décembre 2003
J'ai trouvé 'In the cut' nul de chez nul... La promo racoleuse (enfin Meg Ryan se déshabille...) de ce film est surfaite Ces scènes de cul qui sont bien plus 'soft' que ne le sous-entend la promo du film et d'ailleurs, Meg Ryan aurait mieux fait de rester habillée, elle bien plus belle à voir ainsi. Son jeu est vraiment mauvais, on a peine à croire à son personnage. Le policier n'est pas trèx convaincant non plus. A part les figurants, seul Kevin Bacon est crédible. En résumé, un film très décevant tant au niveau du scenario, que de la réalisation et des acteurs. Jane Campion s'est surpassée dans la médiocrité.

Publié le 10 décembre 2003
Franchement, au moment de donner mon appréciation sur ce film, j'ai hésité entre 0 et 10. 0 parce que c'est une tentative vaine et absolument inaboutie de film noir et 10 parce que, avec quelques clichés de plus (et Dieu sait si Jane Campion n'a pas hésité à en fourrer plein son 'film'), nous serions en présence d'un authentique pastiche du genre. Soyons réalistes: ce sera 0. Et ce, pour plusieurs raisons: - Le scénario. Du jamais vu: une femme, 40aine, un peu barge sur les bords, apprend qu'un meurtre plutôt horrible (une femme a été tuée puis découpée en morceaux) a eu lieu sous ses fenêtres. Un flic un peu spécial la cotoie dans le cadre de l'enquête sur le tueur. Ils ont une aventure. Mais elle commence à douter de lui. Serait-il le meurtrier? C'est tout. Alors là, je dis bra, je dis vo, je dis bravo. Incroyable... Quelle imagination, ces scénaristes. Je ne sais pas où ils vont les chercher. - Les personnages. Tous les clichés y sont. Meg Ryan, en espèce de prof de lettres paumée, un peu tourmentée, obsédée, voyeure, est à pleurer de rire. Sa demi-soeur (avec qui elle entretient apparemment une relation saphique sous-jacente) est une psychopate de salon. Elle vit au-dessus d'un bar à gogo dancers et poursuit son psy de ses avances. Evidemment, la production a donné le rôle à Jennifer Jason Leigh, abonnée de ce type de personnages. Le flic, ben c'est un flic de base : divorcé, moustachu, tatoué, ténébreux, insondable. Il mène son enquête avec un gros 'L' collé sur la lunette arrière, à savoir n'importe comment. - La réalisation. Zéro sur toute la ligne. Jane Campion veut faire branché, arty, stylé. Tous ses cadreurs ont la maladie de Parkinson et ont de sérieux problèmes de focale: tout est flou. On est saoûlé de plans artificiels bidons, de scènes de la rue sensées mettre dans l'ambiance, de minutes complètement inutiles qui donnent vraiment l'impression qu'il y avait une belle promo sur la pellicule chez Agfa. - Meg Ryan. Alors là, c'est le pompon. Rien à faire, Meg Ryan joue comme une pantoufle. Déjà qu'on savait qu'elle n'avait qu'une expression faciale (petite mine boudeuse, oeil de cocker, bouche en travers), on a ici vraiment l'impression qu'elle déambule à l'écran, inerte, molle, endormie. Elle est proprement insupportable. - Les dialogues. Plats, vulgaires (mais juste pour choquer), énoncés sans convictions, ils ne tiennent pas la route. A dire vrai, on préfèrerait presque que les acteurs se taisent. - Les scènes qui font rire. Il y en a pas mal! Ma préférée, c'est quand même celle où le flic est sur la scène d'un crime. Un médecin chargé de l'autopsie sort des morceaux de femme (on ne voit pas grand-chose, rassurez-vous) d'une machine à laver. Déjà, superbe métaphore de l'aliénation de la femme à son travail ménager, bravo Jane. A ce moment-là, donc, le flic reçoit un appel de Meg. Il sort tout naturellement de la pièce (ben oui, c'est jamais qu'une autopsie, pas urgent), va dans sa voiture et demande par téléphone à Meg de se caresser l'entre-jambes. Evidemment, celle-ci s'exécute, démarre au quart de tour, gémit puis le flic raccroche. Tordant, franchement. Et il y en a d'autres, je vous le promets. - Le Q. Et oui, il y a du Q. Du bien glauque, un peu crade, tendance 'attache-moi'. Et, oui-oui, Meg en fait partie. Elle disait vouloir casser son image, c'est réussi: elle n'est pas prête de retourner un film! - Les scènes inutiles. Un flic qui gratte la guitare dans le commissariat; Meg qui lit les affiches dans le métro; Meg qui voit ses parents en rêve; Meg et le flic qui partent à la campagne; Meg qui donne cours; Meg qui nourrit les chats du quartier; les scènes dans le bar à filles... Là, on a déjà 20 minutes de film qui n'ont absolument servi à rien. Et il en reste. - Les déceptions. Il n'y en a qu'une: Kevin Bacon. Il a un tout petit rôle, on doit le voir trois fois. Il est très bon, c'est assurément le meilleur acteur sur le plateau. Et, bizarrement, il n'est pas crédité au générique. Vous croyez qu'il aurait senti le vent venir et aurait demandé à ne pas être mentionné pour ce non-film? C'est mon avis! Conclusion: déjà pour son précédent film (Holy Smoke, avec Harvey Keitel et Kate Winslet), Jane Campion avait mis la barre très bas. Le seul suspense qui demeurait alors était de voir si elle savait faire encore pire. La réponse est oui. N'allez pas voir cet insipide et imbuvable ramassis de clichés

Publié le 25 novembre 2003
Dernier film de Jane Campion, In the Cut est une policier-suspense assez intimiste . Le scenario est bien structure et les Acteurs : Meg Ryan (pas dans son genre ' You've got a mail') montre qu'elle est a la heuteur du role principal . Jennifer Jason Leigh, un peu meconnaissable mais tout aussi credible que Ryan dans son personnage . L'intrigue est suffisamment compliquee pour deviner la conclusion du film et hormis qq plans qui n'ont pas d'utilite, Jane Campion reussit un tres beau film . 7/10 a mons avis .

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