Man on Fire

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Thriller
  • Comédie dramatique
Public: À partir de 16 ans
Année de production: 2004
Date de sortie: 13/10/2004
Durée: 2h27
Synopsis : Suite à une récente vague d'enlèvements, un couple fortuné craint pour la sécurité de leur fille. Un ex-soldat qui n'a plus vraiment goût à la vie accepte à contre coeur de protéger l'enfant et au fil des jours, l'amitié s'installe petit à petit entre eux. Lorsque la fillette se fait kidnapper alors qu'elle est sous sa surveillance, il ne laisse rien au hasard et met tout en oeuvre pour retrouver les coupables.
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    8.4/10 67 votes - 67 critiques

Avis des internautesdu film Man on Fire

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Publié le 14 septembre 2004
Que dire de ce film sinon qu'il est a déconseiller vivement aux plus jeunes spectateurs... En effet, malgré un début assez "mélodramatique", le film vire dans une quête de vengeance d'une violence rare. A part cela, la distribution du film est sans faille, avec un Denzel Washington assez inspiré pour une fois (contrairement à son dernier film, Out of Time), Chritopher Walken se fait rare mais confirme néanmoins ses talents d'acteur. Pour ce qui est de l'intrigue, rien d'exceptionnel ou plutôt d'original mais l'histoire est traitée avec un tel "punch" qu'on ne s'ennuie pas. En effet, car la maîtrise de Tony Scott derrière la caméra n'a jamais été aussi exhacerbée, le montage est tout simplement fabuleux car nerveux à souhaits. Encore une fois Tony Scott utilise ses couleurs si particulières (dignes d'une production Jerry Bruckheimer). En résumé je dirais même si Man on Fire n'attire pas une foule de nouveautés, il a au moins le mérite de nous flater la rétine et nos pulsions animales.

Publié le 23 juillet 2004
Le film fonctionne très bien, l'intrigue à Mexico est très bien construite... du bon film d'action. Ma seule amertume vient de la morale puante d'ingérence 'carte blanche' vis-à-vis des méfaits de non-américains (décidément tellement moins moraux que les américains)... Denzel semble d'ailleurs particulièrement apprécier le genre plus large de l'auto-justicier dont la fin justifie les moyens, avec surinvestissement de la vie d'une seule personne par rapport à la mise en danger de tous les autres (e.g. John Q). Relent donc nauséabond après-coup, même si on se laisse perversement prendre au jeu pendant la vision du film.

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