Mission: Impossible 3
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genres:
- Action
- Thriller
Année de production: 2006
Date de sortie:
03/05/2006
Durée: 2h05
Synopsis :
Ethan espérait avoir tourné une page en quittant le service actif de la Force Mission Impossible pour un poste de formateur ; pouvoir mener enfin une vie "normale", se consacrer tout entier à sa ravissante épouse, Julia... Mais lorsque Lindsey, la plus brillante recrue de l'IMF "tombe" à Berlin, Ethan se sent moralement obligé de lui porter secours. Trop tard... Lindsey est tuée et pour Ethan, c'est bien plus qu'un ratage - c'est une faillite personnelle, dont il lui faut au plus vite se racheter. Des informations révèlent que Davian s'apprête à conclure à Rome un marché de plusieurs centaines de millions de dollars en livrant à un pays ennemi une arme d'une puissance dévastatrice. Confronté à un adversaire aussi rusé qu'impitoyable, Ethan n'y mettra pas seulement en danger sa propre vie, mais celle de Julia dans un infernal compte à rebours qui s'achèvera à l'autre bout du monde...
Avis des internautes du film Mission: Impossible 3
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Publié le 15 janvier 2007
Après les deux premiers films réalisés par Brian De Palma et John Woo donnant naissance à deux films aux styles radicalement opposés (le premier est un suspense brillant et le secon est un gros film d'action bourrin sympathique mais pas inoubliable), la production, avec l'aide de la Paramount, ont décidé d'engager un nouveau réalisateur pour ce MISSION : IMPOSSIBLE - 3. Alors que Joe Carnahan et David Fincher se sont malheureusement désistés (cela aurait pu donner quelque chose de fabuleux), c'est J.J.Abrams, créateur des séries télévisées Alias et Lost qui s'est finalement porté garant afin de mettre en scène les nouvelles aventures de l'agent secret Américain Ethan Hunt. Cette fois-ci, Hunt sera confronté à un terrible trafiquant d'armes sadique répondant au nom d'Owen Davian (excellent Philip Seymour Hoffman d'ailleurs) qui, suite à sa capture ratée, enlèvera la femme de Hunt et la menace de l'assassiner si son mari ne lui apporte pas la "patte de lapin", arme chimique qu'il compte vendre pour des millions de dollars. A partir de ce principe, on peut se dire que c'est on ne peut plus classique et que la fin sera de toute façon prévisible. Oui, mais la force de ce troisième opus réside dans des scènes d'action splendides (l'attaque du pont est magnifique), ses moments de tension parfois angoissants et surtout grâce à son esprit d'équipe qui manquait tant aux deux premiers opus. Malgré un épilogue long et inutile, on peut dire que ce M : I - 3 est le meilleur de la série.
Publié le 5 juin 2006
Une bonne surprise que l'on n'attendait pas après le plantage de John Woo avec MI:2 (de loin, le plus faible des trois opus). J.J. Abrams signe ici une première réalisation cinéma assez proche, dans l'esprit, du premier volet dû au "rebelle manipulateur" Brian De Palma (masques, jeux duplices et tromperies électroniques). Pas mal d'emprunts: Speed, MI:1, Hitchcock (la "patte de lapin", c'est le traditionnel "Mc Guffin"). La scène du Vatican est époustouflante. Un bémol toutefois pour certaines scènes d'action, qui souffrent des défauts d'un débutant qui ne peut s'empêcher de faire bouger sa caméra pour rendre plus intenses des scènes finalement illisibles. Mais ne boudons pas notre plaisir: on passe un très bon moment de divertissement et on reste en haleine jusqu'au bout. Mention spéciale pour la partition de Michael Giacchino, qui démarque habilement les thèmes de Schifrin.
Publié le 4 juin 2006
Une très bonne surprise, que l'on n'attendait pas après le plantage complet de John Woo ("M:I 2", de très loin le pire des trois). Ce troisième volet est plus proche des intentions initiales du "rebelle manipulateur", Brian De Palma (toujours et de loin le meilleur en lice). La scène du Vatican est superbe et le film tient en haleine jusqu'au bout. Beaucoup d'emprunts: Hitchcock, "Speed", "M:I 1", etc., mais le résultat n'est pas mal du tout pour une première réalisation ciné d'un faiseur de séries TV. J.J. Abrams doit toutefois surveiller sa tendance à faire bouger sa caméra de manière cahotique et épileptique, car plusieurs scènes, voulues nerveuses, en deviennent illisibles. Mention spéciale pour la partition de Michael Giacchino et son démarquage astucieux de Lalo Schifrin. Un divertissement de haut vol (avec ou sans jeu de mots).
Publié le 29 mai 2006
Des trois c'est probablement le meilleur... tout en restant juste du divertissement à l'américaine!!!
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remito14