The Revenant

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Aventure
  • Drame
  • Western
Public: À partir de 16 ans
Année de production: 2015
Date de sortie: 27/01/2016
Durée: 2h31
Synopsis : Durant une expédition dans une Amérique profondément sauvage, le légendaire trappeur Hugh Glass est brutalement attaqué par un ours et laissé pour mort par les membres de sa propre équipe. Dans sa quête de survie, Glass endure une souffrance inimaginable ainsi que la trahison de son homme de confiance John Fitzgerald. Guidé par la volonté et l'amour de sa famille, Glass doit affronter un hiver brutal dans une inexorable lutte pour survivre et trouver la rédemption.

Avis des internautesdu film The Revenant

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Publié le 9 février 2016
J'ai trouvé le film très immersif vu la manière avec laquelle certains plans sont mis en scène. Je demande ce qu'un bon Malik aurait fait de cette histoire à voir, en tout cas, et sur grand écran. Je me dis enfin que Di Caprio a un rôle assez sobre, souvent taiseux et, alors qu'il aurait déjà dû avoir l'Oscar pour des rôles flamboyants, il l'aura peut être cette fois-ci pour avoir osé nager dans l'eau glacée et manger du bison cru. En tout cas un grand spectacle bien fait, à voir absolument.

Publié le 6 février 2016
Décidément, je ne dois pas être fan d'Inarratu... Alors que nombre de professionnels, de journalistes et d'adeptes de cinéma le portent aux nues, je reste dubitatif... Birdman avait fini par m'énerver et The Revenant a fini par... m'ennuyer. Certes, je reconnais objectivement le talent de réalisateur du type, une empreinte personnelle, une originalité et une effervescence dans la mise en scène. Mais subjectivement, Inarratu ne me touche pas. Alors oui, l'histoire de ce western de survie et de vengeance est intéressante, les paysages sont grandioses, il y a Di Caprio et Tom Hardy, et on grelotte avec eux tout au long de cette immersion en terre sauvage et glaciale. Lumière naturelle, mise en situation des acteurs, cadre des Rockies, l'ensemble nous plonge dans l'eau glacée des rivières, des forets battues par les vents et des étendues balayées par les tempêtes de neige. La forme, une fois de plus, est réussie. Mais après avoir vu Léo ramper dans la neige une vingtaine de fois, pétri de circonvolutions de douleur tout autant et s'être réchauffé autour d'une dizaine de feux de camp, j'ai fini par me lasser et avoir envie que sa vendetta se termine enfin. Il est d'ailleurs singulier de constater que le rôle qui lui apportera sans doute un oscar qu'il mérite depuis longtemps n'est pas son rôle le plus marquant. Il y a bel et bien la prouesse physique d'un acteur qui donne tout, qui vit l'expérience à fond, d'un tournage rude, et ça l'Academy aime beaucoup. Et oui, il joue bien... Mais c'est aussi un rôle taiseux, tout en grimaces de douleurs et en yeux injectés de vengeance. Expressions qui peuvent également finir par lasser... Inarratu nous refait utilement le coup des plans séquences déjà utilisés à profusion dans Birdman et ça fonctionne redoutablement bien dans les scènes de bataille. Mais il devra trouver autre chose à l'avenir s'il ne veut pas un jour devenir une caricature de lui-même ou frôler l'exercice de style. On reconnaît déjà trop son astuce consistant à filmer quelques secondes le ciel (aperçu à travers le sommet des gratte-ciel dans Birdman, et au milieu de la cîme des arbres dans The Revenant) pour faire comprendre au spectateur qu'une nuit passe, sans pour autant couper le plan séquence. Les tics cinématographiques commencent déjà. Et au final, à quelques trop rares exceptions près, Inarratu échoue, en ce qui me concerne, à atteindre le principal : me faire passer des émotions. Un virtuose de l'objectif certes, mais qui peine encore à toucher au-delà de la forme.

Publié le 31 janvier 2016
Après une expédition pour des fourrures qui tourne à la débandade après l'attaque d'indiens, Glass, guide des trappeurs, fuit avec son fils indien et les survivants à travers les terres enneigées. Blessé mortellement et abandonné par trahison, il trouvera la force pour se surpasser dans cette lutte pour la vie dans un environnement hostile. Belle réalisation sur un sujet original malgré un peu de longueur et certains passages restant obscurs.

Publié le 30 janvier 2016
Il a tant fait parler de lui que son arrivée dans les salles en ce début d’année nous apparaissait comme une bénédiction. « The Revenant » est un grand film. Grand comme son acteur en tête d’affiche, grand comme le territoire que son héros arpentera au péril de sa vie, grand comme le nombre de récompenses qu’on lui souhaite et grand comme le moment cinématographique que nous venons de vivre et que nous vous souhaitons à notre tour. Notre avis complet se trouve sur : http://www.ecran-et-toile.com/janvier-2016/the-revenant

Publié le 28 janvier 2016
Je pensais voir un chef d’œuvre.J'ai vu un grand film : excellent Di Caprio, décors époustouflants , images léchées , personnages bien campés. Mais ....le pitch est un peu convenu , et l'histoire très (trop?) linéaire comporte des longueurs.Et le contexte reste un peu nébuleux... Qui sont exactement ces trappeurs dont Glass (di Caprio) est le guide? Quand et pourquoi(vengeance?, autre?) la femme Indienne du trappeur a-t-elle été tuée par les soldats??( flashback récurrent) Curieusement certains films choraux D Innaritu réputés plus complexes étaient plus limpides.Mais cela reste , je me répète, un grand film.

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