The Dark Knight Rises

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Action
  • Crime
  • Thriller
Public: Tout public
Année de production: 2012
Date de sortie: 25/07/2012
Durée: 2h45
Synopsis : Huit ans après que Batman ait endossé la responsabilité des crimes de Double-Face, un nouveau terroriste du nom de Bane apparaît, et plonge Gotham City dans le chaos. Le chevalier noir va devoir refaire surface, et protéger une ville qui le considère comme un paria.

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Actualités du film The Dark Knight Rises

Avis des internautesdu film The Dark Knight Rises

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Publié le 7 août 2012
Effectivement, Nolan avait placé la barre tellement haut avec le précédent que The Dark Knight Rises est décevant. Ca reste du beau spectacle, mais est loin de mériter 2h40 d'écran (et de ma vie, soit dit en passant). Batman, on le connaît. Donc, il faut un antagoniste de taille pour avancer l'histoire. Or, Bane porte un masque tout le temps et est digne d'un méchant de série B. Je ne vais pas rentrer dans les détails de l'histoire, mais on est constamment tiré du récit par des invraisemblances et des complexités qui ne méritent pas le temps qu'on y accorde.

Publié le 6 août 2012
Doryan je penses pas que les gens liront toute ton roman sa complexité en les termes utilisés ne le rendent pas abordables à tous, il est vrai que dés a présent on le sait tu es capable d'en écrire un ! La bonne journée.

Publié le 6 août 2012
Je l'ai déjà vu 2 fois c'est une pure merveille et pas besoin d'écrire un roman pour le dire !! Une merveille. Un beau grand final à cette trilogie légendaire. Ça vaut plus que 5 étoiles ! ! !

Publié le 5 août 2012
Au sortir du film, je ne peux me retenir d’adhérer aux quelques opinions ci-dessous qui disent en substance accorder leur faveur au second opus plutôt qu’à ce troisième et ultime ( ?) volet de la saga Batman signée Nolan. Non pas que celui-ci soit intrinsèquement mauvais ou mal réalisé; Nolan demeure un orfèvre quand il s’agit de garantir un spectacle qui est tout sauf marmoréen, ou de faire preuve d’intelligence dans ses effets de mise en scène. Mais peut-être parce que le second chapitre avait placé la barre tellement haut au niveau qualitatif, que la tâche de faire mieux s’annonçait à priori dédaléenne. Et à l’arrivée, j’ai bien eu cette impression mitigée d’avoir assisté, certes, à un bon moment de cinéma et à un spectacle vibrant, mais qui, juxtaposé au second volet, n’en égale sans doute ni la qualité en matière de dissection psychologique des personnages, ni la noirceur intrinsèque du récit, ni - ce qui est plus grave peut-être - l’inspiration scénaristique. Commençons par les personnages : si l’entourage habituel de Bruce Wayne demeure fidèle à l’image qu’on s’était faite de lui au cours des précédents épisodes, à l’exception d’un Alfred plus émouvant cette fois-ci, les autres sont par contre d’une contenance plus disparate et d’un maniérisme parfois agaçant: Anne Hattaway campe une CatWoman très gymnaste mais trop peu fouillée, Marion Cotillard incarne une Miranda Tate (regrettablement) effleurée, tandis que le méchant de service, Bane, étale dans chacune de ses apparitions un ton monocorde et une unicité de consistance, qui font regretter la complexité maléfique du Joker et sa perpétuelle ambivalence. Là où celui-ci incarnait une nature du mal complexe et plurielle qui défiait la morale établie de Batman et suscitait, à la manière d’un atavisme, la résurgence de la part d’ombre de ceux qui luttaient contre lui, Bane n’offre guère de prise à la pluralité dans son abord. Fruit apparent des amours entre Hulk et Darth Vador, il se contente d’être une montagne de muscles monocorde, violente, impressionnante certes, mais au final peu élaborée parce que trop homogène dans une violence physique qui suffit à en définir la substance. La seule exception à ce manque d’épaisseur des personnages adjacents concerne celui de Blake, campé par JG Levitt, flic intègre et humaniste, dont l’épaisseur qui lui est donnée ainsi que sa rapide ascension scénaristique, sont sans doute liées au souhait tacite mais patent de laisser une porte entrouverte à un prochain épisode. Au final, peut-être est-ce ce manque relatif d’obscurité et de sophistication des nouveaux acteurs de l’intrigue, en particulier dans le chef des ennemis de Batman, qui concourt à engendrer le second sentiment sur l’ouvrage de Nolan : celui d’un manque de noirceur pourtant nécessaire car congruente à l’univers de Batman, et qui avait adéquatement concouru à la réussite des deux premiers épisodes. Mais c’est principalement le dernier élément – la qualité du scénario – qui m’aura le plus laissé sur ma faim. La multiplication des histoires dans l’histoire, marque de fabrique de Nolan quand il ne s’adonne pas à sa prédilection première, la narration décalée, est sans doute poussée ici un peu trop loin, au point de conférer parfois un sentiment de vacuité à des mini-récits qui n’ont ni le temps ni les moyens de s’élaborer davantage. On a déjà aussi connu Nolan plus inspiré dans la conception de l’intrigue principale; je n’ai pu contenir un sentiment de déjà-vu, couplé à un regret d’un manque singulier d’originalité de la part de l’auteur d’Inception, devant le scénario éculé et bien trop classique d’une résurgence de la Ligue des Ombres et de la menace d’une bombe nucléaire qui risque d’emporter Gotham. On aurait sans doute aimé voir les Nolan Brothers se triturer un peu plus les méninges pour nous produire un scénario un tantinet plus novateur et plus digne de conclure une trilogie telle que celle-là. J’ai regretté aussi les quelques invraisemblances qui jalonnent le script, à l’instar de la réapparition de Crane, sorti d’on ne sait où et promu juge de fortune, ou de ces policiers ressortant dispos, imberbes et sans la moindre séquelle d’un tunnel où ils sont censés être restés prisonniers 3 mois durant. S’attardant trop dans des scènes d’importance secondaire, et se perdant parfois dans des méandres narratives superflues, Nolan n’insuffle pas assez de corps à ce qui constitue pourtant le point d’orgue du film : la destruction morale de Gotham, isolée du monde et « rendue à ses habitants » ainsi que le clame Bane du haut des marches d’une bourse symbolisant le matérialisme déchu d’une société consumériste en perdition. A ce stade du récit, l’évolution psychologique et morale des citoyens est malencontreusement pétrie de raccourcis et de caricatures, qui ôtent une large part de vraisemblance à l’allégorie recherchée ; celle, pourtant cristalline et pertinente, de la déliquescence d’une société occidentale hédoniste, en manque de repères idéologiques et dévorée par ses démons: argent, pouvoir, manipulations, cupidité. Au final, ce déséquilibre entre l’accessoire et le secondaire scénaristiques, l’évanescence de certains personnages ainsi que le manque d’inventivité du script, m’ont laissé le regret partiel de voir une trilogie de cette ampleur se conclure de la sorte avec un relatif bémol. Je le recommande néanmoins.

Publié le 1 août 2012
Chers Cinéphiles, dans le but de préserver 3h de votre temps et 8euros, je vous déconseille très fortement d'aller visualiser l'abomination sans nom qu'est : "The Dark Knight Rise" alias, le dernier Batman Il s'agit en réalité d'une merde incommensurable, ainsi que d'un foutage de gueule inédit et soporifique ! Les séquences de combats sont molles, monotones et digne d'une cour de récré maternelle. Les dialogues sont longs, ennuyeux, et barbants, Pour finir, le scénario est dépitant dans son intégralité, il ne respecte en rien l'histoire originale, fait intervenir des inconnus qui ne servent a rien, afin de permettre au spectateur de ne rien pouvoir comprendre et de rester sur sa fin avec les joyeux sentiment de s'être fait baiser !!! C'est donc dans l’intérêt public que je qualifie c'est oeuvre d'une des plus merdiques de l'histoire cinématographique.

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