The Company Men

Origines:
  • États-Unis
  • Royaume-Uni
Genre:
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 2010
Date de sortie: 04/05/2011
Durée: 1h44
Synopsis : Bobby Walker est l’incarnation même du rêve américain : il a un très bon job, une merveilleuse famille, et une Porsche toute neuve dans son garage. Mais lorsque la société qui l’emploie réduit ses effectifs, Bobby se retrouve au chômage, tout comme ses collègues Phil Woodward et Gene McClary. Les trois hommes sont alors confrontés à une profonde remise en cause de leur vie d’hommes, de maris et de pères de famille. Bien loin de ses talents de cadre supérieur, Bobby se retrouve obligé d’accepter un emploi dans le bâtiment pour le compte de son beau-frère. Cette expérience va le pousser à découvrir qu’il y a peut-être plus important dans l’existence que de courir après la réussite...
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  • 7.5/10  Cote de DH.be du film The Company Men

  • 5.0/10  Cote de lalibre.be du film The Company Men

Avis des internautesdu film The Company Men

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Publié le 31 mai 2011
C'est ce qu'on peu appeler un film raide ! Le scénario est d'une telle rigidité qu'il s'écarte, séance tenante (de cinéma évidemment) du réel pour entrer dans les "plastrons" (je pense que c'est comme cela que disaient nos grans-mères) du bien pensant luthérien de l'Amérique actuelle. Que vient faire là-dedans Ben Affleck ? Bof !

Publié le 30 mai 2011
"The company bell" s'appuie sur deux moteurs très puissants : une volée d'acteurs au mieux de leur forme d'une part, un très bon script d'autre part. Les acteurs sont difficiles à individualiser, tellement les performances remarquables se répondent les unes aux autres : Affleck en vendeur perdu, Cooper en cadre décomposé, Jones en industriel écoeuré, Kostner en petit entrepreneur dynamique et sarcastique. Très bonne prestation aussi de Maria Bello, et surtout de Rosemarie DeWitt, absolument étincelante dans le rôle de la femme d'Affleck. Le script est sans faille, consacré à la restructuration permanente des grands conglomérats, sous la double pression des délocalisations et de la crise financière. La vraie fin est encore en cours de filmage, comme chacun de nous peut le constater en ouvrant la télévision. Excellent film.
  • 1

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