The Social Network
Réalisateur:
Synopsis :
Pendant une nuit d'automne 2003, Mark Zuckerberg, étudiant de premier cycle à Harvard et génie de la programmation informatique, s'assied devant son ordinateur et commence à travailler frénétiquement sur une nouvelle idée. Dans une profusion de blogging et de programmations, ce qui débute dans sa chambre d'étudiant devient rapidement un réseau social mondial et une révolution dans le domaine de la communication. Après à peine six ans et 500 millions d'amis plus tard, Mark Zuckerberg est le plus jeune milliardaire de l'histoire... mais pour cet entrepreneur, le succès entraîne son lot de complications à la fois personnelles et juridiques.
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7.5/10 Cote de du film The Social Network
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7.5/10 Cote de du film The Social Network
Avis des internautes du film The Social Network
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Publié le 22 juillet 2011
Superbement écrit et joué. C'est vrai que dans le find, le sujet n'est pas le plus - comment dire - crucial. Mais un très bon film tout de même. Justin Timberlake s'amuse beaucoup dans son rôle du créateur de Napster.
Publié le 31 janvier 2011
D'accord avec Patrocle et Indiana. Je rejoins tout à fait leur avis.
Publié le 28 janvier 2011
Et j'oublie encore de pointer l'excellente B.O.F. concoctée par l'inspiré Trent Reznor (Nine Inch Nails)!
Publié le 27 janvier 2011
Les hasards de la vision (et non de la programmation, en l'occurrence) font que j'ai vu l'un à la suite de l'autre 'The Social Network' et 'HereAfter', ce qui m'amène à pointer les di- et les convergences (c'est mieux dans cet ordre-là!) entre les deux films. Brillamment réalisé, excellemment interprété, intelligemment dialogué et scénarisé, 'The Social Network' ne pourra - par essence... et à l'instar de 'HereAfter' - faire l'unanimité parmi les spectateurs, en raison même de son sujet: l'illustration d'une invention de programmateur, à la fois trop évidente (dès qu'elle a été réalisée...) et trop absconse dans sa genèse, impliquant - naturellement, pour ainsi dire - des litiges (au sens juridique du terme) sur la singularité de l'apport créatif décisif, et la pluralité de facteurs nécessaires mais non suffisants à sa mise en oeuvre!... Quel sujet casse-gueule, si l'on y ajoute le fait que le personnage réel principal est quasi-sociopathe, obsessionnel et aussi charismatique qu'une bouteille de Vichy éventée... (j'aime pourtant beaucoup l'eau de Vichy, mais je suis un peu particulier). Et pourtant le film à tout le moins fonctionne, à la fois grâce à son énergie, à son adéquation à la modernité du sujet, à son absolue maîtrise. Laquelle ne s'expose en rien, mais irrigue la mise-en-scène de sa parfaite fluidité. David Fincher n'a sans doute pas réalisé son film le plus susceptible d'être plébiscité, mais il confirme qu'il est de la trempe des classiques du 7ème Art!
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Marylyn