A Single Man

Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 2009
Date de sortie: 24/02/2010
Durée: 1h39
Synopsis : Los Angeles, 1962. Depuis qu'il a perdu son compagnon Jim dans un accident, George Falconer, professeur d'université britannique, se sent incapable d'envisager l'avenir. Solitaire malgré le soutien de son amie la belle Charley, elle-même confrontée à ses propres interrogations sur son futur, George ne peut imaginer qu'une série d'évènements vont l'amener à décider qu'il y a peut-être une vie après Jim.
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    7.8/10 17 votes - 17 critiques
  • 5.0/10  Cote de DH.be du film A Single Man

  • 7.5/10  Cote de lalibre.be du film A Single Man

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Avis des internautesdu film A Single Man

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Publié le 14 mars 2010
Comme d'habitude, sachez ce que vous allez voir. Cela vous évitera d'être déçu ! Et comme je ne suis pas moi-même mes propres bons conseils, je ne savais pas ce qu'était ce film. J'ai donc été surpris de découvrir un long film lent, très littéraire et spirituel, et incroyablement esthétique (La scène du bain nocturne est superbe). Ce denier point était tout de même un peu attendu, vu la nature du réalisateur. Moi, j'ai adoré. Ma copine aussi. Mes amis, moins. Je suis d'ailleurs étonné de sonder combien le thème de l'homosexualité rebute pas mal de mes copains. Sans aucune animosité, certes, mais avec autant d'indifférence aux sentiments amoureux gays que d'incomfort face aux scènes tendres. Enfin, Tous les gouts et toutes les degrés de sensibilité sont dans la nature ! En tout cas, moi, je ne suis en rien homosexuel. Mais voir des hommes filmés dans toute leur beauté masculine (Et pas seulement dans leur nudité, gros plan sur les peaux, les lèvres, les mains, les regards) ça m'a fait super plaisir. Marre des mecs à poil qui sont toujours des gros moches qui se retrouvent coincés dans le couloir dans les comédies. Je suis un homme, et grâce à Tom Ford, fier de l'être. Je me suis presque senti beau ! En plus c'est un film emotionnellement intense. Que demande le peuple ?

Publié le 13 mars 2010
Assez d'accord avec les commentaires d'Indiana et d'Accatone pour dire que la forme prend un peu le dessus sur le fond. Cependant, j'ai beaucoup apprécié le film à cause des petits détails si bien exploités, par exemple les souvenirs et les conversations passées rappelés par des objets. Et puis l'amour omniprésent et sincère. J'ai été très émue par les dialogues des flash-backs, car ces conversations somme toute "banales" sont vraiment très bien écrites. Et puis, mais c'est peut-être une perception très personnelle, j'ai trouvé que ce film communiquait un très beau message d'espoir. Petit bémol cependant pour l'histoire avec Charley (et donc le rôle de Julianne Moore) qui pour moi n'a pas grand intérêt.

Publié le 9 mars 2010
Pour un premier film, c'est une réussite de la part de Tom Ford. La mise en scène dans les 60's est bien rendue notamment grâce aux couleurs et aux décors utilisés. C. Firth est très touchant et nous invite littéralement à partager le désespoir de son personnage. Comme le mentionne très justement les autres critiques, le thème de l'homosexualité n'est pas observé sous l'angle de "l'émotionnitude" et c'est justement ce qui contribue à la réussite du film. La musique est fort belle également et apporte un plus à l'aspect dramatique de l'oeuvre.

Publié le 6 mars 2010
ai bien aimé et m'a beaucoup ému.. L'amour y est présent, on sent la perte de l'être aimé, Julian Moore est une très belle femme... on sent la profonde tristesse dûe à la perte de l'être aimé... mais c'est assez noir comme film, donc il faut s'accrocher... Ah oui qu'est ce qu'ils sont bien habillés ... :)) Merci Tom Ford !

Publié le 5 mars 2010
Si on peut saluer l’audace de ce coup d’essai, Single man semble quelque peu pâtir de son esthétisme qu’il ne parvient pas à dépasser. C’est d’autant plus décevant que plutôt que de devenir un pur objet formel ou le formalisme deviendrait en quelque sorte l’objet du film, on se retrouve en face d’une belle histoire fort bien interprétée mais ou l’obsession esthétique semble cadenasser le film. Et ceci jusqu’à la direction d’acteur. En effet les personnages semblent pleinement appartenir à ce désir de beauté, si bien qu’ils restent étrangement évanescents et incapables de sortir d’une imagerie trop présente. D’où une impression de monotonie et une langueur, pas désagréable cependant.

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