Pour ceux qui aiment les divertissements très convenus, très lisses avec un petit air de guitare énervant qui vient appuyer les regards mièvres des acteurs et leurs gestes exagérés, ce film conviendra parfaitement. Attention, tout n'est pas à jeter, c'est vrai qu'on rit à plusieurs reprises. Et puis quand on va voir un film de Nancy Meyers, on sait ce qu'on aura dans son assiette donc ne venons pas nous plaindre ensuite. Selon moi, les comédies du style "Love actually" ont toutefois infiniment plus de charme.

Très bonne comédie. J'ai beaucoup ri. Et j'ai parfois eu une petite larme lors des passages tendresses. Merryl Streep est excellente, elle joue vraiment très juste. Un ou deux passages un peu longs, pendant lequel le film s'éssoufle un peu. Mais dans l'ensemble j'ai vraiment passé un très bon moment de cinéma. A voir !

film très léger ! à voir en toute décontraction. Etant un adepte de Merry Streep qui comme d'habitude se défend honorablement! conclusion il y mieux

Wouaw génial. Ca fait longtemps que je n'avais pas passé un si bon moment au cinéma. Très bons acteurs, bien à leur place. Quelques bonnes trouvailles pour relancer la machine aux moments où elle risque de tourner en roue libre. On rit tout au long de l'histoire (et la salle sera d'accord). Bref, un bon moment de détente, sans se prendre la tête. Pour une fois, on nous offre un film de fin d'année qui ne nous rabache pas le sempiternel et enième père Noël. J'ai A DO RE.

Y a-t-il de la vie dans le mariage après le divorce ? Sur cette question pittoresque, Nancy Meyers lance une comédie avec des moments absolument hilarants, et d'autres très convenus. L'inversion du triangle classique (mari - femme - maîtresse) constitue à elle seule un moment délectable. Mais "It's complicated" est aussi un film sur le vieillissement, et sur la bonne manière de le prendre. Sous cet angle, il ouvre des perspectives moins superficielles qu'on pourrait le croire. En synthèse, un film agréable et curieux servi par les clignements d'yeux complices de Meryl Streep et par l'égocentrisme bon enfant d'Alec Baldwin.