Le Déjeuner du 15 août

Titre original: Pranzo di ferragosto
Origine:
  • Italie
Genre:
  • Drame
Public: Tout public
Année de production: 2008
Date de sortie: 10/06/2009
Durée: 1h15
Synopsis : Rome, en plein été. Chaleur étouffante. Gianni, la cinquantaine, passe sa vie à s’occuper de sa mère âgée. Il vit seul avec elle dans un appartement du centre historique et s’occupe de tout, les courses, la cuisine, le ménage. Il lui fait même la lecture, le soir, pour l’endormir. Il a une patience d’ange. Sa seule distraction, boire un verre de vin blanc au petit café du coin en compagnie de son ami «le Viking», aussi désoeuvré que lui. Le 14 août au matin, Gianni reçoit la visite de Caciotti, le syndic de l’immeuble, qui lui rappelle que Gianni et sa mère doivent une grosse somme à la copropriété. Gianni essaye de tergiverser mais Caciotti lui propose une affaire. Comme il souhaite passer ce 15 août hors de Rome en bonne compagnie, il lui demande s’il ne pourrait pas prendre sa mère Marina en pension jusqu’au lendemain après-midi. En échange, la dette sera effacée... Le jour dit, Gianni voit arriver non seulement la mère d’Alfonso, mais aussi sa tante… Victime d’un malaise, Gianni appelle son ami médecin, qui lui demande à son tour un service…
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    7.5/10 9 votes - 14 critiques
  • 7.5/10  Cote de lalibre.be du film Le Déjeuner du 15 août

  • 7.5/10  Cote de DH.be du film Le Déjeuner du 15 août

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Avis des internautesdu film Le Déjeuner du 15 août

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Publié le 1 novembre 2010
Vu en DVD récemment (pour me rattraper, car je l'ai raté à sa sortie à l'été 2009), 'Pranzo di ferragosto' est un super film, trop bref tellement les personnages nous deviennent "parents", mais justement mesuré (75 minutes) pour tout nous dire sans nous bassiner d'aucune façon. En cela, je le compare à 'La graine et le mulet' de Kechiche: même vérité "documentaire", mêmes extraordinaires révélations d'acteurs non professionnels (de façon encore plus homogène ici), mais sans les longueurs ineptes de ce dernier. Ici, rien n'énerve (nous sommes en pleine canicule "augustine" à Rome, dans le pittoresque Trastevere), tout nous émeut sans avoir l'air d'y toucher, aucune prétention à faire une "oeuvre" ne vient titiller notre esprit critique... Et pourtant, le film fait partager ses multiples réflexions sur la solidarité, la vieillesse, la communication, les petits arrangements avec la vie, la précarité (dans une optique totalement "win-win"), l'importance de ressentir que l'on peut encore vivre, sinon pleinement, du moins intensément. Ce petit bijou de chaleur humaine - sans la moindre mièvrerie! - est l'oeuvre du scénariste de 'Gomorra', Gianni Di Gregorio, qui joue aussi (bien qu'il ne soit à ma connaissance pas acteur) de façon merveilleuse le rôle central du fils qui a été contraint à ses chaînes, mais les assume avec coeur et une élégante et humoristique résignation. Et le bonheur débarque souvent là où on est prêt à lui ouvrir sereinement la porte!...

Publié le 6 mai 2010
Né en 1949, Gianni Di Gregorio a écrit le scénario de plusieurs films dont Gomorra tiré du livre de Roberto Saviano. En 2008, il réalise son premier film Pranzo Di Ferragosto, primé à la 65ème Mostra de Venise du Prix Luigi De Laurentiis (meilleur premier film). Le réalisateur italien s’est inspiré de son propre vécu pour mettre en chantier son premier film. Il a vécu pendant de longues années avec sa maman veuve alors qu’il était fils unique et séparé de sa femme. En 2000, le syndic de son immeuble lui a réellement proposé d’effacer une dette s’il gardait sa mère pendant les vacances, ce qu’il refusa à l’époque. Le casting féminin est composé de femmes qui n’avaient jamais joué auparavant. Tel un cadeau inattendu tombé du ciel, Pranzo Di Ferragosto propose une comédie réaliste mais légère. Emmenée par une brochette de mamys non professionnelles, cette petite perle venue du Sud évoque la vieillesse et les relations mère-fils dans une ambiance permanente de bonté touchante. Gianni Di Gregorio, jouant lui-même le personnage principal de son film, y apporte une prestance rassurante et apaisante. Sans avoir l’air d’y toucher, ce premier film du scénariste italien marque la mémoire avec une modestie vibrante de simplicité. Cette petite histoire anodine de quartier ne joue pas la carte de l’effet immédiat mais vous revient en mémoire régulièrement les jours suivants. En plus de vous rester en tête, Pranzo Di Ferragosto vous donne votre petite dose quotidienne de sagesse et de bonne humeur. Á Retenir : un vin blanc qui descend tout seul, des petites histoires pour faire dormir maman, une télévision très convoitée, une mamy préfère la gourmandise à la santé et petit cocktail explosif camomille - somnifère.

Publié le 6 mai 2010
Né en 1949, Gianni Di Gregorio a écrit le scénario de plusieurs films dont Gomorra tiré du livre de Roberto Saviano. En 2008, il réalise son premier film Pranzo Di Ferragosto, primé à la 65ème Mostra de Venise du Prix Luigi De Laurentiis (meilleur premier film). Le réalisateur italien s’est inspiré de son propre vécu pour mettre en chantier son premier film. Il a vécu pendant de longues années avec sa maman veuve alors qu’il était fils unique et séparé de sa femme. En 2000, le syndic de son immeuble lui a réellement proposé d’effacer une dette s’il gardait sa mère pendant les vacances, ce qu’il refusa à l’époque. Le casting féminin est composé de femmes qui n’avaient jamais joué auparavant. Tel un cadeau inattendu tombé du ciel, Pranzo Di Ferragosto propose une comédie réaliste mais légère. Emmenée par une brochette de mamys non professionnelles, cette petite perle venue du Sud évoque la vieillesse et les relations mère-fils dans une ambiance permanente de bonté touchante. Gianni Di Gregorio, jouant lui-même le personnage principal de son film, y apporte une prestance rassurante et apaisante. Sans avoir l’air d’y toucher, ce premier film du scénariste italien marque la mémoire avec une modestie vibrante de simplicité. Cette petite histoire anodine de quartier ne joue pas la carte de l’effet immédiat mais vous revient en mémoire régulièrement les jours suivants. En plus de vous rester en tête, Pranzo Di Ferragosto vous donne votre petite dose quotidienne de sagesse et de bonne humeur. Á Retenir : un vin blanc qui descend tout seul, des petites histoires pour faire dormir maman, une télévision très convoitée, une mamy préfère la gourmandise à la santé et petit cocktail explosif camomille - somnifère.

Publié le 6 mai 2010
Né en 1949, Gianni Di Gregorio a écrit le scénario de plusieurs films dont Gomorra tiré du livre de Roberto Saviano. En 2008, il réalise son premier film Pranzo Di Ferragosto, primé à la 65ème Mostra de Venise du Prix Luigi De Laurentiis (meilleur premier film). Le réalisateur italien s’est inspiré de son propre vécu pour mettre en chantier son premier film. Il a vécu pendant de longues années avec sa maman veuve alors qu’il était fils unique et séparé de sa femme. En 2000, le syndic de son immeuble lui a réellement proposé d’effacer une dette s’il gardait sa mère pendant les vacances, ce qu’il refusa à l’époque. Le casting féminin est composé de femmes qui n’avaient jamais joué auparavant. Tel un cadeau inattendu tombé du ciel, Pranzo Di Ferragosto propose une comédie réaliste mais légère. Emmenée par une brochette de mamys non professionnelles, cette petite perle venue du Sud évoque la vieillesse et les relations mère-fils dans une ambiance permanente de bonté touchante. Gianni Di Gregorio, jouant lui-même le personnage principal de son film, y apporte une prestance rassurante et apaisante. Sans avoir l’air d’y toucher, ce premier film du scénariste italien marque la mémoire avec une modestie vibrante de simplicité. Cette petite histoire anodine de quartier ne joue pas la carte de l’effet immédiat mais vous revient en mémoire régulièrement les jours suivants. En plus de vous rester en tête, Pranzo Di Ferragosto vous donne votre petite dose quotidienne de sagesse et de bonne humeur. Á Retenir : un vin blanc qui descend tout seul, des petites histoires pour faire dormir maman, une télévision très convoitée, une mamy préfère la gourmandise à la santé et petit cocktail explosif camomille - somnifère.

Publié le 6 mai 2010
Né en 1949, Gianni Di Gregorio a écrit le scénario de plusieurs films dont Gomorra tiré du livre de Roberto Saviano. En 2008, il réalise son premier film Pranzo Di Ferragosto, primé à la 65ème Mostra de Venise du Prix Luigi De Laurentiis (meilleur premier film). Le réalisateur italien s’est inspiré de son propre vécu pour mettre en chantier son premier film. Il a vécu pendant de longues années avec sa maman veuve alors qu’il était fils unique et séparé de sa femme. En 2000, le syndic de son immeuble lui a réellement proposé d’effacer une dette s’il gardait sa mère pendant les vacances, ce qu’il refusa à l’époque. Le casting féminin est composé de femmes qui n’avaient jamais joué auparavant. Tel un cadeau inattendu tombé du ciel, Pranzo Di Ferragosto propose une comédie réaliste mais légère. Emmenée par une brochette de mamys non professionnelles, cette petite perle venue du Sud évoque la vieillesse et les relations mère-fils dans une ambiance permanente de bonté touchante. Gianni Di Gregorio, jouant lui-même le personnage principal de son film, y apporte une prestance rassurante et apaisante. Sans avoir l’air d’y toucher, ce premier film du scénariste italien marque la mémoire avec une modestie vibrante de simplicité. Cette petite histoire anodine de quartier ne joue pas la carte de l’effet immédiat mais vous revient en mémoire régulièrement les jours suivants. En plus de vous rester en tête, Pranzo Di Ferragosto vous donne votre petite dose quotidienne de sagesse et de bonne humeur. Á Retenir : un vin blanc qui descend tout seul, des petites histoires pour faire dormir maman, une télévision très convoitée, une mamy préfère la gourmandise à la santé et petit cocktail explosif camomille - somnifère.

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