Vicky Cristina Barcelona

Origines:
  • États-Unis
  • Espagne
Genres:
  • Comédie dramatique
  • Romance
Public: Tout public
Année de production: 2008
Date de sortie: 29/10/2008
Durée: 1h36
Synopsis : Vicky et Cristina sont d'excellentes amies, avec des visions totalement opposées de l'amour: la première est une femme de raison, fiancée à un jeune homme respectable; la seconde, une créature d'instincts, dénuée d'inhibitions et perpétuellement à la recherche de nouvelles expériences sexuelles et passionnelles. Lorsque deux lointains parents de Vicky offrent de les accueillir pour l'été à Barcelone, les deux amies acceptent avec joie. Un soir, dans une galerie d'art, Cristina "flashe" pour le peintre Juan Antonio, bel homme à la sensualité provocante. Son intérêt redouble lorsqu’elle apprend que Juan Antonio entretient une relation si orageuse avec son ex-femme, Maria Elena, qu'ils ont failli s'entre-tuer. Plus tard, au restaurant, Juan Antonio aborde Vicky et Cristina avec une proposition des plus directes : s'envoler avec lui pour Oviedo, consacrer le week-end à explorer les beautés de la ville, à boire du bon vin et à faire l'amour. Vicky est horrifiée ; Cristina, ravie, la persuade de tenter l'aventure...
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    6.6/10 26 votes - 27 critiques
  • 7.5/10  Cote de lalibre.be du film Vicky Cristina Barcelona

  • 7.5/10  Cote de DH.be du film Vicky Cristina Barcelona

Avis des internautesdu film Vicky Cristina Barcelona

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Publié le 30 décembre 2008
Film mineur, très agréable à regarder même si il tombe un peu dans la facilité et qu'il n'y a pas grand chose de nouveau sous le soleil de barcelone.

Publié le 15 décembre 2008
Ca fait sans aucun doute partie des plus mauvais films que j'ai vus au cinéma: Vicky Cristina Barcelona. Aimant quand-même un peu le genre Woody Allen (j'ai beaucoup apprécié Match Point), je m'étais laissé tenté par ce film qui fut une déception pure et simple, je t'explique : Vicky et Cristina sont deux touristes américaines se rendant à Barcelone pour les vacances (bien entendu elles sont bien foutues et pas grosses, qu'est-ce que tu crois, ce sont des américaines). Elles visitent une exposition et l'une des femmes remarque un type (le gros cliché artiste espagnol/latin lover, bien entendu) qu'elles recroisent plus tard, par « pur hasard », dans un resto où il vient, comme ca, sans les connaitre, les demander de l'accompagner pour un week-end à Oviedo pour visiter des trucs mais surtout coucher ensemble en soirée, ce qu'elles acceptent, ah bein oui hein. Bref. Le week-end passe. Ils retournent sur Barcelone. La blondasse emménage avec Mister Latin Lover. L'ex femme réapparait ensuite et ca termine en plan à 3/coups de gun. Finalement les 2 femmes reprennent leur vies aux Zétazunis comme si de rien était.

Publié le 15 décembre 2008
Rien de bien particulier dans ce énième Woody Allen verbeux, parsemé de références à la psychanalyse, où les personnages ne cessent de s'interroger sur le sens de la vie et de l'amour sans pouvoir trouver la moindre réponse valable. Les relations lesbiennes entre la blonde et la brune ne servent que de prétexte au vieux Woody pour nous resservir ses angoisses existentielles éculées auxquelles il ne semble même plus accorder de réelle attention. A forcede se répéter. Pas trop mal léché du point de vue esthétique. Bon jeu d'acteurs.

Publié le 1 décembre 2008
Un Woody Allen comme on en a déjà vu quelques uns. Cela reste très plaisant malgré tout et les dialogues restent soignés. En plus du casting de charme, mention à Pé qui nous offre une très chouette prestation en ex-épouse juste tarée comme il faut.

Publié le 27 novembre 2008
Je n'hésite jamais à aller voir un film de Woody Allen... Car je sais qu'au pire... il va me divertir. Mais qu'elle ne fut pas ma surprise de voir qu'au delà d'acteurs magnifiques (la résignation de R. Hall, le charme de J. Bardem ou la spontanéité de P. Cruz) ou de la touche allenienne du réalisateur (fantasmes et ménage à trois, légereté de ton, répliques improbables), ce film m'a conduite à une véritable réflexion sur "la passion et la raison" et dégage une émotion par moment, comparable à celle ressentie dans Manhattan. Pour être honnête, je crois que ce film vaut 9/10... mais emportée par l'envie de le défendre...

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