Elève libre

Origines:
  • Belgique
  • France
Genre:
  • Drame
Public: À partir de 16 ans
Année de production: 2008
Date de sortie: 21/01/2009
Durée: 1h45
Synopsis : Jonas, seize ans, vit un nouvel échec scolaire et pense pouvoir tout miser sur le tennis mais il échoue aux portes de la sélection nationale. Il rencontre Pierre, un trentenaire, qui touché par sa situation, va le prendre en charge. Fort de ce lien privilégié, Jonas abandonne l’école publique. Incapable de fixer les limites de cette relation, l’éducation va progressivement dépasser le cadre purement scolaire.
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    4.4/10 15 votes - 17 critiques
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  • 7.5/10  Cote de lalibre.be du film Elève libre

Avis des internautesdu film Elève libre

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Publié le 27 novembre 2009
Je suis d'accord ac dodecameron, et pour la note,et pour le commentaire. J'ai mis cinq car sur la forme le film est pluto réussi, le réalisateur arrive à nous faire ressentir un malaise et nous mettre mal alaise au regard de certaines scenes, ce film a donc, quand même une épaisseur psychologique, émotionelle, mais mis par ca, on a envie de prendre jonass pour le secouer. Je suis gay, et à travers les expériences de vie que j'ai pu avoir, notamment ac des étéros, je trouve l'histoire aucunement réaliste, c'est impossible pour moi ke jonass se soit laisser abuser ss prétexte de réussir son examen, alors soit il avoue carémen kil ai gay (ce que j'attendais qu'il fasse), soit il ne de laisse pas abuser. En conclusion le personnage de Jonass pour moi ne peut pas exister dans la "vraie vie" et ca ca m'a agassé.

Publié le 6 mars 2009
Plus le film avance et plus j'ai eu l'impression que Jonas avait la réactivité... d'un poulpe. Il se fait doucement "violer" on voit qu'il ne bronche pas mais il n'est pas très consentant non plus. Il accepte que les "adultes" saccagent sa vie intime pour en contre partie... réussir son jury central. C'est invraisemblable et avec toute la tolérance du monde pour les personnages minimalistes, celui-là est tout simplement inintéressant et n'amène aucune empathie. La fin expédie le conflit d'une façon minimaliste ahurissante de platitude. "Tu ne le feras plus hein, de me violer ? Parce que c'est pas très gentil" "D'accord, allez tais-toi gamin" qui donne la sensation d'avoir été baladé pendant 2 heures. Allez pour ceux qui auraient envie d'aller voir ce beau film, je ne leur dirai pas si Jonas réussit son jury ou pas; ce qui reste le pilier de ce suspens psychologique.

Publié le 1 mars 2009
le film vaut ce qu'il vaut, chacun jugera de sa pertinence, je déplore cependant le comportement du réalisateur, qui s'est souvent montré agressif dans sa réponse à un commentaire d'un spectateur lors d'un débat d'après projection. Le film est dur, cru, mais est-il vraiment utile? j'espère un grand avenir cinématoghraphique pour le jeune jonas.

Publié le 25 février 2009
C'est peut-être très 'cru' mais au moins il n'y a pas de 'chichis' & on ne tourne pas autour du pot pendant des heures ! C'est si rare de voir des films traiter de ce genre de sujet avec tant de réalisme. Mais je suis d'accord, il y a d'autres moyens pour aborder ce sujet (-> scènes moins... "directes")... Les personnages ne montrent pas grand chose de ce qu'ils ressentent & c'est dommage... En gros, je n'ai pas trouvé ce film si négatif que ça... Tout dépend du point de vue...

Publié le 11 février 2009
Non, cher joes, ce n'est pas exact: il ne s'agit pas, pénalement parlant, d'un viol, car Jonas n'est pas contraint (au sens strict, c'est-à-dire par la violence ou la ruse) aux relations sexuelles avec Pierre. Il s'y soumet dans le cadre d'une relation d'autorité, car sa réussite au jury central dans l'enseignement général dépend du bon vouloir de Pierre, chez qui en outre il réside, alors qu'il n'a pas encore 18 ans. Dans ces circonstances très précises, bien qu'il ait plus de 16 ans, les faits pourraient être qualifiés d'attentat à la pudeur sans violences ni menaces, si il peut être démontré que Pierre a autorité sur Jonas (au sens d'une forme d'autorité parentale). Ce n'est donc pas acquis qu'il s'agisse d'un fait pénalement sanctionné!... Mais il s'agit clairement d'exploitation sexuelle, vu le contexte... Ceci dit, il faut être conscient que ce scénario d'exploitation sexuelle "consentie" en échange d'une "faveur" est 100 fois plus répandu à l'égard de jeunes filles qu'à l'égard de garçons comme ici. La réaction de rejet serait-elle alors aussi forte? Réfléchissons-y.

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