OSS 117: Rio ne répond plus

Origine:
  • France
Genres:
  • Comédie
  • Action
  • Aventure
Public: Tout public
Année de production: 2009
Date de sortie: 15/04/2009
Durée: 1h40
Synopsis : En 1967, dix ans après ses premières aventures au Caire, l'espion Hubert Bonisseur de la Bath, alias OSS 117, est envoyé en mission à Rio de Janeiro pour récupérer un microfilm détenu par un ancien dignitaire nazi. Mais notre agent ne tarde pas à attirer l'attention du Mossad, les services secrets israéliens...
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    7.4/10 17 votes - 18 critiques
  • 7.5/10  Cote de DH.be du film OSS 117: Rio ne répond plus

  • 7.5/10  Cote de lalibre.be du film OSS 117: Rio ne répond plus

Avis des internautesdu film OSS 117: Rio ne répond plus

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Publié le 30 avril 2009
Quelques scènes drôles, mais... scénario très faible

Publié le 27 avril 2009
Incroyable les commentaires lus ici et les critiques de "professionnels " sur ce film!!!! D'ailleurs, un élément qui ne trompe pas, c'est l'ambiance dans la salle pendant et après le film : morose (moi-même j'ai failli m'endormir) . Pourtant le premier OSS était très chouette et augurait d'une belle série... Ici, le scénario est fait de vent avec des digressions affreuses et ratées, des dialogues plats , rarement drôles, répétitifs, une mise en scène et un montage classique parfois vaguement recherché pour remplir les vides immenses du scénario,... Et dire que j'adore Jean Dujardin... qui fait ce qu'il doit faire mais cela ne suffit pas! Raté de chez raté...

Publié le 27 avril 2009
Je suis assez étonnée par la cote de ce film... Ce n'est pas un navet, mais il ne mérite certes pas autant d'éloges. Oui, c'est drôle, mais pas particulièrement fin. Les répliques et le scénario ne valent pas ce que les critiques en disent. Si je peux donner un conseil à ceux qui ne l'ont pas encore vu: attendez que le film sorte en DVD, et visionnez-le après un dîner bien arrosé!

Publié le 26 avril 2009
Voici le retour du grand brun : l'agent du deuxième bureau de la RF, c’est aussi le retour d'une idée géniale qui, le temps d'une nouvelle mouture d’OSS 117 : Le Caire, nid d'espions avait démontré que la parodie du film d’espionnage avait bel et bien un avenir. Cette suite est tout aussi réussie, alors même que disparaît l’aspect James Bondien du personnage : surprise aussi d'un film qui se permettait à la fois une impressionnante précision plastique (jusqu'au moindre détail, un film à la manière de Terrence Young, plutôt qu'une parodie) et un comique basé sur un con magnifique, et sur ses préjugés de civilisateur. Comme la presse l’annonçait Hubert Bonnisseur de la Bath c'est effectivement, un nouvel esprit avec un ancien héros. Le film en est la parfaite illustration. Les temps ont changé, on est en 1967, une époque psychédélique couleurs et musique. A Rio, le service secret israëlien fort de son succès avec Eichmann poursuit implacablement les anciens complices d’Hitler. Sur la plage, des hippies chantent déjà peace and love. En France, on pense toujours que tout le pays a vaillamment résisté à l'envahisseur allemand. Le monde entier va basculer un an plus tard, mais il est vu à travers les yeux d’un français pur et dur. Se référant à l’excellentissime L'Homme de Rio, la candeur de OSS117 se cogne à de nouveaux rivaux : les Israëliens, en la personne de sinistre sbire du Mossad. Et dans ce domaine, Hubert magnifiquement aveuglé par son époque la République du Général ne s'arrête devant rien, puisqu'il ne peut pas changer, alors que tout change autour de lui. Il en va de même pour ses adversaires : les éternels Nazis, les seuls à vouloir recréer sans cesse leur empire dévolu. Des adversaires à la hauteur de l’élégant agent de la cinquième république. Il faut au personnage la distance entre les Israëliens de madame Golda Meïr et les thuriféraires d’Adolf Hitler (qu'il tente même de réconcilier comme un héros de bandes dessinées : allez, serrez-vous la main et on n'en parle plus) pour gaffer, lui qui n'imagine pas un instant l'existence du mal. Un épisode particulièrement amusant est la soirée parmi les agents du Mossad où de la Bath figure à merveille le français éternel pour qui la guerre est un souvenir sous la forme brumeuse de l’appel du 18 juin: à travers Hubert, c'est aussi une certaine France qui ne veut pas réaliser que l'histoire, de temps en temps, lui en met plein la vue. De même que les ennemis de la France reviendront, le comique d'OSS 117 se situe désormais dans une logique de boucle qui s'ouvre à une sorte d'inépuisable exercice. L'état du nouvel humour est condamné à un mouvement perpétuel. Le fringant Jean Dujardin, encore plus à l'aise que dans le premier épisode, est prodigieux dans cet exercice, ses fous rires qui n'en finissent pas et ses tics de conversation doublent de candeur une idiotie plus fondamentale. Une poursuite au ralenti dans une clinique vient fixer ce blocage : reproductible à l'infini, condamné à l'identique, OSS 117 sera toujours le même con magnifique un peu à la Bébel, théatral, hilarant, bath.

Publié le 25 avril 2009
j'adore, un film comique bien mené, sans prétention aucune.

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