C'est un chouette film il n'est a regretté l'avalanche de star qui n'ont jamais fait de cinéma vienne s'imposer a la fin du film. Par contre je trouve sympa de revoir Jamel a la fin film.

Bon je monte un peu la côte pour 3 choses: de bons effets visuels, un Benoit National toujours en forme, et aussi le fait que quand on va voir Asterix ou Rambo, on sait qu'on ne va pas voir un film à Oscar (ou César) et le genre se fait souvent démonter systématiquement par la critique. Ceci étant le film rate son coup pourtant sans viser bien haut: divertir sans prétention. Des gens talentueux comme Benoit et José Garcia sont un peu gâchés par des dialogues pathétiques (la scène du miroir avec Garcia et Delon est une insulte tellement c'est affligeant). Tout comme pour un Nicolas Cage dans ses derniers films, ou l'équipe du splendid dans le dernier bronzé, on peut donc décidément démolir le travail de bons acteurs avec des dialogues pourris. Pour avoir vu un ado (public cible du film) s'endormir sur le siège devant moi, je ne peux que le déconseiller. L'arrivee de Jean Tod et la cloture par une débauche people dont la présence est totallement inutile et frise l'arrogance frenchie, a fini de m'achever. J'ai regardé ma copine et me suis dit: prochaine fois on se contente d'un petit DVD bien bourrin.

C'est par hasard que j'ai été amenée à accompagner quelqu'un voir ce film, le premier "Astérix" pour moi car ce n'est pas mon genre de film favori. Je suis d'accord avec la plupart des commentaires navrés de la bêtise de ces "jeux olympiques" ! J'ajouterai que les "fins" jeux de mots mis dans la bouche d'Alain Delon, par exemple, ne sont pas compris par les moins de 25 ans (qui ne connaissent pas "le guépard, etc). En plus de ses nombreux défauts ce film est très bruyant ! Deux points pour saluer la présence de Stéphane Rousseau, quitté en fils modèle des géniales " invasions barbares" (et sans doute chargé de racoler la partie canadienne des francophones ?)

de belles images et surtout du bon Poelvoorde ...

Consternant, lourd, long et débile,... Sans parler de la fin où on nous inflige une débauche de "people" .... il ne manquait que Sarkozy au milieu des vedettes bien franchouillardes.