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Boule a adopté Bill
Publié le 27 février 2013 dans Actu ciné
Le tournage de Boule et Bill s’est achevé le jour
de l’anniversaire du petit Charles Crombez. Qui a
adopté un des trois Bill du film !
Une bonne bouille de garnement sous une tignasse rousse touffue, des
yeux espiègles, un naturel sidérant qui le pousse
à se sentir à l’aise partout et un
phrasé délicieusement enfantin, le petit Charles Crombez
a encore poussé un peu plus loin la ressemblance avec Boule
en adoptant… Bill Two à la sortie du tournage de Boule et Bill.
C’est dire si ses voisins, à Hoves, dans le
Hainaut, peuvent s’attendre à vivre en direct
quelques gags dignes de figurer dans les albums de Roba. Du haut de ses
10 ans, il prend en effet (presque) tout à la blague.
“Bill Two, c’était le plus cool. Il est très gentil. C’est lui qui fait la scène du bain. Bill 1 était très fort et il faut le laisser avec des grands. Bill 2 convient mieux pour les enfants. Mais il faut faire un peu gaffe. Manu (le dresseur, NdlR) m’a montré comment m’en occuper. Il faut le récompenser, mais pas tout le temps. Maintenant, il me respecte tout à fait. Il s’assied quand je le lui demande. Papa a dû écrire une lettre de motivation pour expliquer pourquoi on voulait Bill Two, ce qu’on était prêt à faire pour lui. Et à la fin, il y avait une photo marrante de lui. Manu ne voulait donner ses chiens qu’à des gens motivés.”
Le rêve de Franck Dubosc était de tourner dans une benne à ordures. Et le tien ?
“Moi aussi. C’est chouette; on peut trouver de nouveaux trucs à manger ! Non, je blague. Cela ressemble à une grosse poubelle avec plein de papiers.”
C’était plus amusant de faire du skateboard tiré par Bill, non ?
“C’était génial. Avant, je n’en faisais pas. Je me suis entraîné avec d’anciens champions de France et de Belgique. J’aimais beaucoup ça. Cela fait longtemps que je n’ai plus réessayé. Je le ferai pendant l’été. C’était la scène la plus amusante. Avec celle où je me déguise en cow-boy dans le pré.”
Tu as gardé la tenue ?
“Oui. Mais je ne sais pas si je rentre encore dedans (le tournage s’est arrêté le jour de son anniversaire, le 12 juin dernier, NdlR). J’ai aussi gardé un blason noir et le sous-pull jaune et bleu.”
Comment s’est passé le tournage avec Franck Dubosc et Marina Foïs ?
“Au début, ce n’était pas si facile que ça. Ils m’apprenaient à ne pas regarder la caméra. Ce sont de très bons acteurs. Le plus bizarre, c’était de voir que Franck Dubosc, qui est très sympa hors du cinéma, devenait strict et se fâchait vraiment quand il devenait le papa.”
Tu arrives aussi à changer sur commande ?
“Dans la scène où je vois qu’on va donner Bill, je suis un autre Boule. Plus triste. Je pensais vraiment que j’étais Boule et qu’on allait donner mon chien. On m’avait dit de penser à quelqu’un qui est mort pour être triste. Mais pour moi, cette scène-là n’était pas la plus difficile. Dans la benne à ordures, c’était pire. Le texte à retenir était long.”
Le film a changé les rapports à l’école ?
“Non, les copains n’ont pas changé. Toute l’école va venir voir le film le 1er mars. Et je vais être interviewé pour le journal de l’école, La 6e heure !”
Le tournage s’est arrêté avant les examens. Pas trop dur ?
“Non, tout s’est bien passé. Mon bulletin était dans les 80 %, alors que j’étais parti trois mois. Maman me faisait travailler le français le week-end et papa les mathématiques. Quand je suis rentré à l’école, le professeur a demandé à tout le monde de ne plus me parler de Boule et Bill pour pouvoir passer mes examens. C’était super de retrouver les copains. Ma classe était venue sur le tournage. Mais j’avais l’habitude d’avoir plein de personnes autour de moi.”
Terminer le jour de son anniversaire, c’est magique, non ?
“Le tournage s’est arrêté sur le bateau-mouche, à Paris. Après le clap de fin, tout le monde a applaudi. On a fait une grande fête, avec un magnifique gâteau. Il était énorme ! Franck Dubosc et Marina Foïs étaient là.”
Patrick Laurent
“Bill Two, c’était le plus cool. Il est très gentil. C’est lui qui fait la scène du bain. Bill 1 était très fort et il faut le laisser avec des grands. Bill 2 convient mieux pour les enfants. Mais il faut faire un peu gaffe. Manu (le dresseur, NdlR) m’a montré comment m’en occuper. Il faut le récompenser, mais pas tout le temps. Maintenant, il me respecte tout à fait. Il s’assied quand je le lui demande. Papa a dû écrire une lettre de motivation pour expliquer pourquoi on voulait Bill Two, ce qu’on était prêt à faire pour lui. Et à la fin, il y avait une photo marrante de lui. Manu ne voulait donner ses chiens qu’à des gens motivés.”
Le rêve de Franck Dubosc était de tourner dans une benne à ordures. Et le tien ?
“Moi aussi. C’est chouette; on peut trouver de nouveaux trucs à manger ! Non, je blague. Cela ressemble à une grosse poubelle avec plein de papiers.”
C’était plus amusant de faire du skateboard tiré par Bill, non ?
“C’était génial. Avant, je n’en faisais pas. Je me suis entraîné avec d’anciens champions de France et de Belgique. J’aimais beaucoup ça. Cela fait longtemps que je n’ai plus réessayé. Je le ferai pendant l’été. C’était la scène la plus amusante. Avec celle où je me déguise en cow-boy dans le pré.”
Tu as gardé la tenue ?
“Oui. Mais je ne sais pas si je rentre encore dedans (le tournage s’est arrêté le jour de son anniversaire, le 12 juin dernier, NdlR). J’ai aussi gardé un blason noir et le sous-pull jaune et bleu.”
Comment s’est passé le tournage avec Franck Dubosc et Marina Foïs ?
“Au début, ce n’était pas si facile que ça. Ils m’apprenaient à ne pas regarder la caméra. Ce sont de très bons acteurs. Le plus bizarre, c’était de voir que Franck Dubosc, qui est très sympa hors du cinéma, devenait strict et se fâchait vraiment quand il devenait le papa.”
Tu arrives aussi à changer sur commande ?
“Dans la scène où je vois qu’on va donner Bill, je suis un autre Boule. Plus triste. Je pensais vraiment que j’étais Boule et qu’on allait donner mon chien. On m’avait dit de penser à quelqu’un qui est mort pour être triste. Mais pour moi, cette scène-là n’était pas la plus difficile. Dans la benne à ordures, c’était pire. Le texte à retenir était long.”
Le film a changé les rapports à l’école ?
“Non, les copains n’ont pas changé. Toute l’école va venir voir le film le 1er mars. Et je vais être interviewé pour le journal de l’école, La 6e heure !”
Le tournage s’est arrêté avant les examens. Pas trop dur ?
“Non, tout s’est bien passé. Mon bulletin était dans les 80 %, alors que j’étais parti trois mois. Maman me faisait travailler le français le week-end et papa les mathématiques. Quand je suis rentré à l’école, le professeur a demandé à tout le monde de ne plus me parler de Boule et Bill pour pouvoir passer mes examens. C’était super de retrouver les copains. Ma classe était venue sur le tournage. Mais j’avais l’habitude d’avoir plein de personnes autour de moi.”
Terminer le jour de son anniversaire, c’est magique, non ?
“Le tournage s’est arrêté sur le bateau-mouche, à Paris. Après le clap de fin, tout le monde a applaudi. On a fait une grande fête, avec un magnifique gâteau. Il était énorme ! Franck Dubosc et Marina Foïs étaient là.”
Patrick Laurent
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