ce film tue il est excellent franchement faut aller le voir ca vaut vraiment le coup et puis il est distrayant pas du tout la meme histoire que les deux autres dix fois mieux aussi non c'est vraiment le film que je vous conseille d'aller voir je lui met 10/10 au moins si pas encore mieux

'Course(s)... sous ecstasy !'... Voici donc le troisième volet de 'caméra agile ' au pays du cambouis, un apatride cinématographique (le réalisateur !) qui a tout de suite compris qu'on pouvait faire, sinon mieux, certainement 'as well as', comme dirait un philosophe belge dont les écarts sont sans doute ce qu'il a de plus grand 'Jean-Claude', un aphasique élastique à ne pas confondre avec 'José', le vent qu'il produit, lui, à plutôt un parfum d'ivresse, 'que' les secoués du box-office américain. Pour savoir si un film plaît, il suffit simplement parfois de lorgner côté salle, sonder une effervescence tangible, révélatrice qu'un succès troisième du nom est à venir ! Scanner un public 'biberonné' aux précédents crissements de pneus, une audience avertie se prêtant à nouveau volontiers aux différentes joutes hivernales et humoristiques de 'stimulés cérébraux' marseillais découverts de préférence en avant-première, une manière d'anticiper les bandes annonces 'éjaculatrices', amorce exagérée des pêcheurs de liasse(s). Un exercice sans prise de tête dont le temps de réponse 'haut régime' (c'est-à-dire la vitesse à laquelle l'effet désiré secoue le paquet de neurones !) est synonyme irréfutable qu'un 'shaker' made in Europe fonctionne. On ne saurait trop conseiller à notre 'expresso' de l'image d'aller porter secours à un éphèbe au matricule légendaire de plus en plus empêtré dans des délires ergonomiques. Alors James, un... taxi ? A voir...

Seuls les grands peuvent se permettre de multiplier les épisodes sans faire de racolage (Indiana Jones par exemple) pour le reste, film divertissant sans plus.

'Course... sous ecstasy !'... Voici donc le troisième volet de 'caméra agile' au pays du cambouis, un apatride cinématographique (le réalisateur !) qui a tout de suite compris qu'on pouvait faire, sinon aussi bien, mais même 'more better', comme dirait un philosophe belge dont les écarts sont sans doute ce qu'il a de plus grands : 'Jean-Claude' (à ne pas confondre avec José, le vent qu'il produit, lui, à plutôt un parfum d'ivresse !), que les secoués du 'box-office' américain. Pour savoir si un film plaît, il suffit parfois de regarder le spectacle qui se passe dans la salle, scanner un public qui se prête volontiers aux différentes joutes hivernales et humoristiques de 'stimulés cérébraux' marseillais vus de préférence en avant-première, une manière d'anticiper les bandes annonces 'éjaculatrices', amorce exagérée des pêcheurs de liasse(s). Un exercice sans prise de tête dont le temps de réponse 'haut régime' (c'est à dire la vitesse à laquelle l'effet désiré secoue le paquet de neurones !) est synonyme irréfutable qu'un 'shaker' made in Europe fonctionne. On ne saurait trop conseiller à notre 'expresso' de l'image d'aller porter secours à un éphèbe au matricule légendaire de plus en plus empêtré dans des délires ergonomiques. Alors James, un... taxi ? A voir...

Au vue des deux premiers et de la perte de qualite un episode a l'autre, je ne crois pas que ce film mérite un 100%. De plus, ce 100% ne vient que d'une seule personne (pas tres representatif). Je vais donc diminuer cette cote et esperer que d'autres donneront leurs avis.