Naqoyqatsi

Réalisateur:
Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Documentaire
  • Film musical
Année de production: 2002
Date de sortie: 23/04/2003
Durée: 1h29
Tout public
Synopsis : Steven Soderbergh présente la troisième partie de la trilogie de Godfrey Redgio entamée avec Koyaanisqatsi et suivie par Powaqatsi. Avec comme fond sonore la superbe musique de Philip Glass et à l'aide des technologie de montage les plus sophistiquées, Naqoyqatsi nous propose d'explorer notre Terre sur le thème de 'la vie en temps de guerre' ou une vision particulière du déclin de notre planète, la violence et la technologie ayant eu raison de la nature.
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Posters du film Naqoyqatsi

Photos du film Naqoyqatsi

Avis des internautes du film Naqoyqatsi

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Publié le 29 avril 2003
Il est dommage de voir que ce film ne bénéficie pas d'une distribution élargie à plus de deux cinémas en Belgique. La superbe musique de Philip Glass vaut à elle seule le déplacement, se mariant avec magie au flot d'images impressionnantes et souvent d'une grande beauté retraçant le thème de Naqoyqatsi : life as war ( la vie est guerre ). Ce film n'est sorti que dans six salles aux Etats-Unis ( allez savoir pourquoi... vous vous ferez votre opinion après avoir vu le film... ), je ne pense pas qu'il ait trouvé plus grand nombre de salles ailleurs dans les pays occidentaux. Et pourtant, ce film, tel la rubrique no comment de la chaîne d'information Euronews, nous place devant un mur de témoignage anonyme : la vie est à la fois cruelle et sale, mais à la fois tellement belle. Les deux premiers opus de cette trilogie m'avaient éblouis par la beauté des images, le choix de celles-ci et la musique de Philip Glass. Ce dernier opus, traitant des excès de l'humanité, dont notamment celui des technologies, offre un environnement visuel parfois difficile à appréhender, ce qui d'un premier abord m'a fait préférer son prédécesseur ( Powaqqatsi ) à lui. Mais après réflexion, l'utilisation de ces techniques de pointe reflète le malaise de notre humanité. Un grand moment de cinéma, apprécié avec en tout et pour tout quatre personnes dans la salle, dans un petit cinéma de Louvain. Peut-être la réalité est-elle trop dure à voir ? Dommage... je vous conseille vivement de faire le déplacement, avant que ce film ne quitte l'affiche.
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