Massacre à la tronçonneuse

Titre original: The Texas Chainsaw Massacre (2003)
Origine:
  • États-Unis
Genre:
  • Horreur
Année de production: 2003
Date de sortie: 21/01/2004
Durée: 1h38
Tout public
Synopsis : Le 20 août 1973, les agents de police font une épouvantable découverte dans une ferme abandonée qui était la propriété d'un employé de l'abatoir régional. Ils tombent sur les corps abattus de 33 personnes. Le meurtrier utilise une tronçonneuse et porte d'horribles masques qu'il fabrique avec la peau de ses victimes. On le surnomme «Leatherface». Les détails concernant les assassinats et l'identité du meurtrier n'ont jamais été réellement clairs. Maintenant, pour la première fois depuis des années, la seule survivante de ce massacre brise le silence et révèle toute la vérité. Du moins sa version des faits...
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    7.9/10 39 votes - 40 critiques

Posters du film Massacre à la tronçonneuse

Photos du film Massacre à la tronçonneuse

Avis des internautes du film Massacre à la tronçonneuse

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Publié le 15 février 2004
Et bien j'ai vraiment été époustouflé!!! Je n'avais jamais eu aussi peur depuis exorciste!!! On est tenu en haleine du début à la fin! A voir absolument! Attention, aux âmes sensibles...

Publié le 10 février 2004
J'ai très bien apprécié ce film pour ses effets spéciaux,... Cependant, j'ai remarqué que le film était centrée toujours sur la même personne. Et à la fin, on reste sur sa faim...

Publié le 9 février 2004
Je me suis bien amusé et, n'ayant pas vu la première mouture, j'avoue avoir été bien trimbalé. Bref sans prétention et en pleine série B on trouve dans ce film les ingrédients classiques. On vient pour voir un film d'horreur avec des gens qui crient et tout ça...c'est ce qu'on obtient, pas à se plaindre :)

Publié le 8 février 2004
Attention, chef d'oeuvre du genre ! Et pourtant, on attendait peu d'un premier film étant le remake d'un classique de l'horreur produit par l'execrable Michael Bay. Dès les premières scènes, le doute cède la place à la certitude, on est bien devant un grand film de genre. Non seulement M. Nispel ne trahit pas l'ambiance délétère de l'original, mais il réalise une série de scènes traumatisantes qui poussent à leur paroxysme les idées abordées par Tobe Hooper. Ainsi, le film ne présente pas une once d'humour (vous savez, ce qui gangrène tous les films d'horreur américains depuis Scream) et présente un véritable cauchemar sur pellicule. L'ambiance est pesante et tendue dès le début. Elle devient assez vite étouffante et à la limite du supportable par la suite. Du coup, les accès de violence sont encore plus redoutables pour nos nerfs (d'autant que cette violence est teintée de sadisme et est aussi bien physique que psychologique). Le tout est magistralement servi par une mise en scène très inspirée, une photographie souvent somptueuse et macabre, une musique terrible car parfaitement effrayante. Au total, ce petit bijou marque une grande date dans l'histoire du film d'horreur américain : celle du retour à des films plus gores, matures et crades. Ici, le spectateur n'est pas pris pour un imbécile et on lui fait le plus beau des cadeaux : vivre un cauchemar en restant éveillé. Un grand bravo.

Publié le 8 février 2004
En plusieurs points le nouveau 'Massacre à la tronçonneuse' est une réussite totale. Tout d'abord, le réalisateur, à l'inverse de Tobe Hopper il y a 30 ans (déjà...) souligne et zoome sur les membres arrachés, les souffrances de ces jeunes gens, ajoutant même pour renforcer cette impression de malaise qui nous tiraille pendant tout le film, des images d'archive particulièrement dures elles aussi, et c'est pour cela aussi que c'est limite censurable (car on en a censuré pour moins que ça) : on verse jusqu'au snuff movie à la fin. Mais ne fouettons pas les chats. Esthétiquement, le film de Marcus Nispel est éblouissant : photographie sale et crasseuse (d'ailleurs, c'est le même qui a fait l'image de l'original), montage nervueux mais pas surboosté, caméra omniprésente et jamais deux fois au même endroit (si si!), tout ce joyeux bordel organisé sied très bien à cette histoire horrible. Mais Nispel ne s'arrête pas là. Sous ces airs de film d'horreur qui fout vraiment les jetons (mais vraiment), il arrive à y introduire une réflexion aussi pertinante sur l'Amérique que les démembrages de Leatherface sont violents (c'est dire). En effet, c'est l'image d'une Amérique puritaine que nous renvoie la famille de barjes qui habitent cette maison, punissant à l'extrême les jeunes qui se droguent (un peu) et qui commettent le péché originel (un peu plus). Ca fait aussi peur que le film... Pour terminer, en plus de livrer le film d'horreur ricain qui nous a fait le plus flippé depuis 'Scream', Nispel réalise une peinture critique de l'Amérique profonde. Avec beaucoup de rouge...

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