Dark Water

Titre original: Honogurai mizu no soko kara
Origine:
  • Japon
Genre:
  • Fantastique
Année de production: 2002
Date de sortie: 23/04/2003
Durée: 1h30
Tout public
Synopsis : Yoshimi Matsubara vient de divorcer. Elle élève seule, dans des conditions difficiles, Ikuko, sa fille âgée de six ans. Pour améliorer leur quotidien, elle décide d'emménager dans un appartement plus grand. Cependant, une fois sur place, les lieux se révèlent insalubres. Des bruits étranges retentissent à l'étage supérieur. Puis, du plafond, commence à tomber de l'eau, qui, lentement, envahit le domicile.
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    8.2/10 16 votes - 16 critiques

Posters du film Dark Water

Photos du film Dark Water

Avis des internautes du film Dark Water

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Publié le 1 mai 2003
De bons moments, surtout pendant la première partie du film où il ne se passe rien, sinon l'intimité d'une famille monoparentale. Ikuko petite est craquante, sa mère très vraie en femme un peu fragile, néanmoins volontaire, un peu effacée, aimante.. On est presque dans du Ozu. Et puis on bascule tout à fait dans l'humidité, les trucs et les ficelles du cinéma d'horreur, mais vraiment pas de quoi fouetter un chat. Qui, on le sait, craint l'eau. Echaudé, je réfléchirai à deux fois avant d'aller voir le prochain film de NAKATA (bien s'tenir).5/10.

Publié le 30 avril 2003
Mauvais. On reste sur sa fin completement.

Publié le 30 avril 2003
Hideo Nakata récidive et nous offre une nouveau film de terreur à la Ring. Je n'ai qu'ue chose à dire : Terrifiant ! On en redemande.....

Publié le 30 avril 2003
Bon film, mais un peu trop 'ring' a mon gout ! Avis au public de l'ugc de brouckere: si vous n'aimez pas un film, cassez vous et ne faites pas ch.. les autre personnes présentes dans la salle !

Publié le 28 avril 2003
Comparé à 'the Ring' (et Ringu), la trame du film pourrait paraître moins étoffée et parfois un peu repompée sur les oeuvres précédentes (même genre de fillette fantômatique et 'faceless'). Mais, malgré tout, Nakata parvient a nous faire vibrer comme jamais sur la fin (Cf. the ring) grâce à un rythme faussement lent. Et, contrairement à Danny Boyle avec son '28 days later' au budget également limité, le résultat issu de la convergence entre d'une part, des thèmes sociaux et humains tragiques (abandon précoce, lutte pr la garde des enfants) et le fantastique intimiste (impression de confinement très bien rendu)semble mieux maîtrisé chez l'auteur nippon avec un art visuel hors-norme. Ma cote = 8/10 Mention spéciale à certaines personnes de la scéance de 21h50 ce dimanche à l'UGC De Brouck' et tout particulièrement au présentateur à lunette de l'émission Cyber sur la 2 qui se croyait dans son salon (nous gratifiant de 'Bouh!' vachement spirituels lorsque la tension augmentait). Faudrait vider son disque dur ailleurs qu'en salle amigo, ton 'humour' cassait un peu l'ambiance du film par moment.Sinon déchaîne-toi à la projec' de Final Destination 2. A bon entendeur...

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