Terminator 3: Le Soulèvement Des Machines
Titre original: Terminator 3: Rise of the Machines
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genres:
- Action
- Science-fiction
Année de production: 2003
Date de sortie:
06/08/2003
Durée: 1h49
Synopsis :
Dix années se sont écoulées depuis que John Connor a aidé à éviter le Jugement dernier et sauver l'humanité d'une destruction massive. Connor a maintenant 25 ans et mène une existence anonyme: il n'a pas de chez-soi, pas de cartes de crédit, pas de GSM et pas de travail. Il est donc impossible que Skynet - le réseau de machines hautement développé qui a tenté de le tuer et de faire la guerre à l'humanité - retrouve sa trace. Jusqu'au jour où la T-X, la machine meurtrière la plus sophistiquée que Skynet a jamais eue, est renvoyée dans le temps pour achever la mission que son prédécesseur, le T-1000, n'a pas pu mener à bien. Cette machine est aussi impitoyable que son apparence humaine est ravissante. Connor n'a plus qu'une chance de survie: le Terminator, son ancien assassin mystérieux. Ensemble, ils doivent vaincre la T-X de loin supérieure au niveau technologique pour empêcher le Jugement dernier imminent... ou faire face à l'apocalypse et la chute de la civilisation telle que nous la connaissons.
Avis des internautes du film Terminator 3: Le Soulèvement Des Machines
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Publié le 9 octobre 2006
Chouette film! Malgré un scénario assez pauvre, le film se démarque des autres productions du même genre: ici tout n'est pas misé sur les effets spéciaux! On est accroché à l'histoire. A voir pour passer un chouette moment!
Publié le 8 octobre 2006
Agé déja de 55 ans à l' époque du tournage (!), Schwarzenegger pête toujours autant la forme. L' ancien Monsieur Univers n' a rien pedu de sa force, et on est très content de le retrouver toujours d' aplombe dans ce Terminator n° 3. Face à lui, dans la "peau" de leur poursuivant, le mannequin Kristinna Loken campe cette vampe cybernétique avec une froideur démente, qui rivalise - et surpasse même - celle de Schwarzenegger dans le premier opus, et celui de Robert Patrick dans le second. Par rapport aux deux opus précédents dus à Cameron, celui réalisé par Mostow, se révèle plus noir et pessimiste, de part son refus du happy-end: le jugement dernier ne pourra, malgré les efforts de John Connor, en aucune façon, être évité - tel un châtiment divin - et Skyneth prendra le pouvoir. Comme pour dire qu' on ne décide pas toujours de ce que sera son futur, et que, parfois, notre destin se trouve comme "écrit" d' avance et que nous ne pouvons y échapper !...
Publié le 8 octobre 2006
Tout le monde s' en souvient sans-doute, en 1984, le premier Terminator avait fait fureur dans les salles, et avait consacré la notoriété de deux hommes: l' acteur principal, Arnold Schwarzenegger, et son réalisateur, James Cameron. Huit ans plus-tard, la suite, toujours due à Cameron et Schwarzenegger, avait comblée au plus haut point les attentes de tous les fans du premier (et Dieu sait qu' ils sont nombreux !). Alors, évidemment, on se doute bien que l' idée d' un troisième - et "dernier" (?) - avait dû germer, presque immédiatement, dans la tête de plus d' un producteur. Les très nombreux fans ont quand même dû patienter pendant pas moins de onze ans pour que le résultat de ce troisième opus arrive enfin sur grand écran... Heureusement, l' attente n' aura pas été veine et, le moins que l' on puisse dire, est que tous les fans en ont eu pour leur argent. Ici, comme dans "Terminator 2", Schwarzie campe le cyborg garde-du-corps de John Connor, chargé de veiller sur lui et son amie, fille du général de l' armée... qui supervise la construction du Skyneth, le super-ordinateur qui va prendre le pouvoir et déclencher la guerre entre l' homme et les machines ! Et, on s' en doute évidemment, celui-ci va envoyer l' un de ses cyborgs ultra-sophistiqués pour éliminer le trio et assurer ainsi sa domination sur la terre... On croiait, après avoir vu Robert Patrick dans la peau du T1000, un cyborg en métal liquide multi-métamorphosable, que Stan Winston (grand magicien des effets spéciaux, à qui on doit, entres autres, les dinos de la trilogie Jurrassic Park) ne réussirait jamais à faire mieux sur ce point. Eh bien, si ! Winston y est parvenu ! Avec un nouveau terminator capable, lui aussi, de prendre l' apparence de n' importe quel être humain, et, qui plus est, de contrôler tout ce qui comporte un circuit électronique ! En l' espèce, c' est la très ravissante Kristinna Loken qui campe cette femme fatale cybernétique... Aux commandes de la réalisation, Cameron, accaparé par d' autres projets, à céder la barre à Sam Mostow. Mais on y pert pas du tout au change, et celui-ci se montre parfaitement digne dans la continuation de l' oeuvre de son prédécesseur... On l' aura compris, avec ce troisième Terminator, Schwarzenegger a conclu sa carrière d' acteur en beauté... avant de devenir ouverneur de Californie (comme un autre ancien acteur, un certain Ronald Reagan) et de troquer le surnom de Terminator, qui lui collait à la peau depuis près de vingt ans, contre un autre, très voisin: "Governator" !... Enfin, ce film a aussi prouvé qu' à Hollywood, on pouvait toujours obtenir un très bon résultat avec du cinéma à grand spectacle brodé sur un canevas presque aussi vieux que le cinéma de scienc-fiction lui-même. Ce qui est rassurant !
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Olivier Lecocq