Nowhere in Africa
Titre original: Nirgendwo in Afrika
Réalisateur:
Synopsis :
En 1938, une famille juive émigre au Kenya. Walter Redlich, le père, avocat de profession, va s'occuper d'une ferme perdue dans la campagne africaine. Sa femme, Jettel, qui vient d'une famille bourgeoise, a beaucoup de difficultés à s'adapter à sa nouvelle vie. Leur fille Regina quant à elle, respire le bonheur. Elle s'adapte vite au langage et aux coutumes locales et devient vite amie avec le cuisiner, Owuor. Alors que la guerre fait rage dans l'autre partie du monde, les relations entre les trois personnages vont changer, au rythme de leur nouvelle vie.
Avis des internautes du film Nowhere in Africa
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Publié le 8 mars 2005
Un chef d'oeuvre! Un film qui se sent, se goûte, se touche, se voit et s'entend dans une communion et une communication de tous les sens. Une merveille dont les couleurs coulent devant vos yeux au fil d'une histoire charmante. Un film au parfum enhivrant d'émotions.
Publié le 13 janvier 2004
Cessons! Cessons de clamer que 'Nowhere in Africa' est un bon film. C'est un film aux images sublimes, assez bien interprété, au sujet fort... Mais tout cela, et surtout le sujet en question, est totalement sous-exploité! On a l'impression de regarder un téléfilm à gros budget, bien dilué! En plus, le travail d'adaptation du bouquin est vraiment en dessous de tout: j'ai rarement vu une 'translation' du roman à l'écran aussi baclée, et sans doute aussi auto-satisfaite! En tant que cinéphile, je ne peux aimer ce gâchis, qui, à mon sens, est une insulte à l'intelligence des spectateurs. Cela dit, qu'il ait plu à certaines personnes qui n'y connaissent rien en cinéma et en structure scénaristique n'est pas non-plus étonnant, vu toute la quantité de 'poudre aux yeux' qu'on nous jette durant l'interminable métrage...
Publié le 11 novembre 2003
Un moment de grâce cinématographique pour un de ces films, devenus trop rares, où l'on touche à l'essentiel... Nowhere in Africa est un ode à l'humanité et une célébration de l'humanisme a sens le plus noble du terme. Un homme, juif, allemand, juriste, comprend en 1938 qu'il lui faut partir, qu'il lui faut choisir la survie et que la survie c'est loin, si loin, au Kenya, mais pour lui le Kenya cela demeure l'Angleterre et les racine squ'il y plante sont des radicelles. Sa femme le rejoindra et la fuite est un arrachement. Elle ne veut rien comprendre. Elle ne peut rien comprendre. Le monde implose et elle est encore aux robes de soirées et à la vaisselle de luxe. Sans doute n‘aime-t-elle pas assez son mari. Sans doute n‘est-elle pas assez subtile, mais lorsque, enfin, elle comprend, il n'est plus question de radicelles, mais d'une fusion avec le sol, avec un continent et derrière ce qui paraissait vain et superficiel, se cache une authenticité approfondie. Lui, par contre, trace sa voie, imperturbable et respectable, cohérent jusqu'à l'absurde. Il ne sera pas « africain », mais allemand. Il ne sera pas « juif » au point de penser un départ vers Israël. Il est juif, a été identifié comme tel au point de s'exiler, mais sa terre est allemande. L'histoire s'est trompée et c'est lui qui, envers et contre tout, voudra avoir raison et demeurera allemand au point de faire le chemin à l'envers...
Publié le 4 novembre 2003
Tout a bien commencé, mais une demie heure avant la fin nous étions déja fatigués. Propagande juive ou 'la sainte famille' regne a la fin (malgré les 'dechirements' qui ont précedés...et sans qu'il n'y ait une quelconque solution des problemes). En plus, le cinéaste a un peu trop tiré sur l'effet du 'folklor' au Kenya. Par contre, trés bonnes interpretations de la part des acteurs et belles images du Kenya.
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Beaus Daddy