Star Wars - Episode III: La Revanche des Sith
Titre original: Star Wars - Episode III: Revenge of the Sith
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genre:
- Science-fiction
Année de production: 2005
Date de sortie:
18/05/2005
Durée: 2h19


Synopsis :
La Guerre des Clones fait rage. Une franche hostilité oppose désormais le Chancelier Palpatine au Conseil Jedi. Anakin Skywalker, jeune Chevalier Jedi pris entre deux feux, hésite sur la conduite à tenir. Séduit par la promesse d'un pouvoir sans précédent, tenté par le côté obscur de la Force, il prête allégeance au maléfique Darth Sidious et devient Dark Vador.
Actualités du film Star Wars - Episode III: La Revanche des Sith
La colère des fans de Star Wars
A l'occasion de la sortie de l'intégrale Star Wars en blu-ray, George Lucas s’est encore cru obligé de toucher à ses films, en rajoutant notamment une réplique totalement inutile à Dark Vador...
Avis des internautes du film Star Wars - Episode III: La Revanche des Sith
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Publié le 18 mai 2005
Alors la j'ai vraiment été époustouflé !!! Probablement le meilleur film de l'année !!! Je ne vous dis rien sur le film mais franchement n'hésitez plus, foncez !!! En plus lors de l'AP à minuit le public était déchainé (comme dans les salles US) applaudissement à tout rompre !!! Allez and may the force be with you !!!
Publié le 18 mai 2005
Je ne vais pas m'extasier, j'ai passé un très agréable moment, d'accord, mais le début du film fait très dessin animé ou Lego (allez donc vous marrer sur www.lego.com), est assez lent, mais, enfin (et j'ai attendu longtemps ce moment), j'ai vu le tronçonnage du traitre, sa mise à feu et sa mise en conserve... Ambiance géniale à l'UGC, du jamais vu (du moins pour moi) : applaudissements à chaque "mauvais" descendu, éclats de rire avec C3PO et R2D2, et évidemment, la folie dans la salle à la fin de la projection !
Publié le 18 mai 2005
Personnelement, je le trouve divertissant. Beaucoup d'effets,de grands combats, des petites touches d'humour mais je n'y retrouve plus la magie des épisodes 4,5 et 6. Cet épisode retraçant le passage d'Anakin vers le côté obscur est en soi bien fait mais c'est tout ce qu'il y a autour qui me gène, trop brouillons, trop surfait, surcharges... Malgré cela, ce dernier opus est de loin le meilleur épisode de cette deuxième trilogie.
Publié le 18 mai 2005
Bon, il y a le chaud et le froid, le pour et le contre. Avouons-le tout de go, le film n'est pas mauvais, c'est même probablement le meilleur opus de la première trilogie, en cela je rejoins de nombreuses critiques sur ce site. De l'action à revendre, des effets spéciaux prévisiblement parfaits, un développement dramatique qui va crescendo, et des décors tellement bien numérisés qu'ils ressemblent à s'y méprendre à des vrais. Les fans y trouveront leur compte. Les plus anciens, qui ont grandi et rêvé avec la première trilogie, ne seront sans doute plus gagnés par la même touche de magie que celle qui avait prévalu en 1977 (mais quel effet l'épisode IV aurait-il s'il était diffusé aujourd'hui comme suite de l'épisode III ?), mais bon, l'histoire ne se refait pas, et le rêve a besoin de nouveauté pour trouver sa piste d'envol. Pas besoin donc de jeter la pierre à cet épisode-ci parce qu'on juge qu'il fait moins rêver que les autres, ce serait mission impossible que d'y arriver 25 ans après. Par contre, là où on peut en vouloir à Georges Lucas, c'est dans le peu d'efforts manifeste qu'il a mis pour étoffer son scénario: des dialogues enfantins aux raisons simplissimes qui font qu'Anakin passe du côté obscur, tout ca vole, il faut bien le dire, beaucoup moins haut que des croiseurs interstellaires. Et le jeu d'acteurs ne fait rien pour relever la note du cinéphile averti: le jeu d'Hayden Christensen bat les records d'inexpressivité, come quoi il ne suffit pas d'être beau pour être convaicant. Rarement vu un acteur se servir autant des mêmes mimiques pour camper les émotions de son personnage. Et le côté 'regard en biais - attention les gars, je ceviens méchants', ca marche 20 minutes, après on baille. Les autres acteurs ne font guère mieux. A leur décharge, reconnaissons toutefois que jouer 90% du temps devant un écran bleu doit finir par donner le mal de mer, et que les effets spéciaux leur volent de toute façon la vedette... En bref donc, oui pour le spectacle, mais bof pour la quailté intrinsèque. Peut-être la plus grande saga spatiale de l'histoire du cinéma méritait-elle une meilleure porte de sortie que celle-là.
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Darth Gregi