Mulholland Drive
Réalisateur:
Origines:
- France
- États-Unis
Genre:
- Drame
Année de production: 2001
Date de sortie:
09/01/2002
Durée: 2h26
Synopsis :
Sur Mulholland Drive, la célèbre route qui traverse Hollywood, Rita a un accident de voiture. Amnésique, elle erre dans la nuit. Elle rencontre une jeune actrice australienne, Betty, venue à Hollywood trouver le succès. Ensemble, elles vont tenter de reconstituer le passé de Rita afin qu'elle retrouve son identité...
Avis des internautes du film Mulholland Drive
- Page précédente
- Page suivante
- 1
- ...
- 6
- 7
- 8
- 9
- 10
- 11
Publié le 25 janvier 2002
exceptionnel... le meilleur film depuis Amelie Poulain... a voir absolument!
Publié le 25 janvier 2002
Personnellement, à part deux gougniottes qui se prennent le chou, j'ai pas vu grand-chose... C'est du grand David Lynch (traduire par grand n'importe quoi). Je dirais que le plus intéressant, c'est les gens qui essayent de se persuader qu'ils ont compris quelque chose au film pour pas se sentir cons de s'être fait arnaquer de 6,6 € et qui n'ont pas osé sortir de la salle comme les autres(mais c'est vrai qu'alors ça coûte encore plus cher à la minute !). Et que ceux qui ne sont pas d'accord se rappellent la séquence avec les deux gnomes sous la porte ;-). Personnellement, je suis resté jusqu'au bout, mais je me demande comment... Je crois que le prochain film de David Lynch que je verrais ce sera Pokémon 2 mais j'irai bourré, et je crois que je retrouverai à peu près les mêmes éléments. Bon, la mise en scène est formidable, elle sert bien... 'l'intrigue ?', les actrices effectivement sont formidables et mettent en valeur... 'le scénario ?'. Ceci dit, je vais quand même dire que ce film est excellent, parce que j'ai rarement autant ri après un film... ;-) J'attends la suite avec impatience ! ;-) euh... C'est pas Episode2:la guerre des clones des fois ? Je l'attends avec impatience aussi celui-là !
Publié le 20 janvier 2002
Quand on parle de David Lynch, tout le monde se souviens de 'Twin Peaks' (la série, le film), 'Blue velvet', 'Eléphant man'. Mais il y avait aussi 'Dune' adaptation d'un des romans de Frank Herbert, J'ai lu cette série de 7 livres, si mes souvenirs sont exacts, et cet univers de science fiction, si détaillé, si complexe à été merveilleusement traduit sur la toile par David Lynch, A voir. Pour Mulholland Drive. On aime, on n'aime pas, mais en tout cas, personne ayant vu ce film, ne pourra dire qu'il l'a laissé indifférent. J'en veux pour preuve que, dans la salle où je me trouvais (petite salle d'un grand complexe) toute les générations étaient représentée. Le film étant relativement silencieux, (silencio) il était facile de constater que pas un bruit, pas un commentaire, n'a été fait durant la projection. Il y a ceux qui sont resté assis dans l'incompréhension la plus totale, d'autre se levant dès la fin, un peu fâché, mais tous en tout cas se poseront des questions, La question 't'as compris quelque chose toi'. Ce film alimentera la soirée sûrement, voir les conversations des jours qui suivent. En dehors de cela, quelle leçon de cinéma, les prises de vues fabuleuses. Mais plus que ça, c'est l'exploitation de D. Lynch du jeu des acteurs. Si les identités sont interchangées dans les rôles féminins, leur caractère également font un virage à 180° et là, chapeau bas Mesdames les actrices, c'est de toute beauté. Le film d'un film. David Lynch a poussé le détail jusque dans la scène où Betty arrive à L.A. et qui semble surjouée, jusqu'à la scène (soft) de masturbation en passant par la première audition de Betty, c'est du grand talent. A voir, il ne faut pas essayer de comprendre seul David Lynch lui-même, pourrais nous donner des indices. Même si en creusant un peu on trouve des fils conducteurs, une deuxième vision s'impose peut-être. Mais est-ce nécessaire. Notre instinct qui nous pousse à tout vouloir connaître, à tout savoir est, ici, mis en déroute., Ce film est un peu comme une toile surréaliste, le message de l'auteur est là, mais quel est-il?
Publié le 18 janvier 2002
MULHOLLAND DRIVE Bon – 17/01/02 On m’avait pourtant prévenu : « Il ne faut pas chercher à comprendre ! ». J’étais donc sur mes gardes. Mais Lynch le pervers, le sadique crée une histoire, avec des personnages et des situations bien typés… On s’attache donc à cette jolie blonde arrivant à Hollywood pour faire une carrière dans le cinéma ; on s’interroge sur cette mystérieuse brune ; on est intrigué par ces personnages fantaisistes, mystérieux ou inquiétants. Le mystère s’installe ; le puzzle a l’air intéressant à reconstituer comme dans un bon vieux suspense : « la toile se tisse » pour le plus grand plaisir du spectateur attentif … Que non ! Car au fil des images (au moins 1 h ½ après le début du film), tout se déglingue… Les personnages changent d’identité ; les identités changent de personnage. Les fils qui relient les scènes entre elles deviennent tellement ténus que le spectateur commence à perdre pied et il se dit que Lynch s’est foutu de sa g…depuis le début… A ce moment, bon prince, le brillant réalisateur de « Elephant man », indique à son spectateur attentif que ce qu’il y a sur l’écran est factice, ce qu’il voit est une illusion … Les personnages « s’ interchangent », les passions se radicalisent, les images éclatent. Le spectateur attentif est à ce moment dans un état d’exacerbation et « il ne comprend plus rien » Qui est qui ? Qui fait quoi ? Qui aime quoi ? …Encore des « clés » (bleues style « Blue Velvet ») puis… c’est la fin !!! Lynch s’est bien foutu de nous, de moi, spectateur attentif. La prochaine fois, je le « lynche » ! Et je me suis malgré tout bien amusé ! Et je vous recommande ce film !!! Dans « Mulholland drive » un seul personnage est entier, limpide, sans équivoque ; derrière ses grosses lunettes, l’air goguenard : Adam, le réalisateur de cinéma !
- Page précédente
- Page suivante
- 1
- ...
- 6
- 7
- 8
- 9
- 10
- 11
rastafan