L'Enfer du dimanche
Titre original: Any Given Sunday
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genres:
- Drame
- Sport
Année de production: 1999
Date de sortie:
19/04/2000
Durée: 2h42
Synopsis :
Tony d'Amato ne sait plus à quel saint se vouer. L'entraîneur des Miami Sharks, une célèbre équipe de football américain, n'a toujours pas trouvé de solution pour remettre en selle ses protégés, pris dans la spirale infernale de la défaite et du découragement.
Avis des internautes du film L'Enfer du dimanche
Publié le 11 juin 2000
C'est pas mal, mais y a beaucoup mieux. C'est à voir,ça c'est sur mais pas à apprécier au top delire mega cool!!
Publié le 25 mai 2000
On ne peut pas tellement qualifié Any Given Sunday de bon film mais on ne peut pas non plus le qualifié de mauvais. Stone nous fais ressentir la fureur, la rage qui émane de ces sportifs (on a l impression que c est nous qui jouons) et on ne s ennuie pas bcp en dépit d un scénario inexistant. Al Pacino fait son numéro (plutot bien) Cameron Diaz nous épate (une fois de plus après Mary à tout prix et BEing John Malkovich) et c 'est vrai qu on avait jamais vu un match de football américain vu par un cinéaste déjanté et sous ectazy. C est pas dans Jerry Maguire (joli petit film par ailleurs ) qu on voit des yeux sortis de leurs orbites. alors disons que ça se laisse voir
Publié le 5 mai 2000
Pour aprécier ce film,il faut aprécier le foot made in America.Ce qui n'est vraiment pas le cas de la plupart des non-Américains. L'excellent prestation d'AL PAS-DE-CHEZ-NOUS sauve l'honneur du film.
Publié le 4 mai 2000
Oliver Stone nous a habitués à dénoncer dans ses films les travers de la société américaine et principalement la corruption par l'argent. Cette dénonciation est encore et toujours présente mais recouverte cette fois par la passion du réalisateur pour le football américain Ce film est une ode au football américain, à ce mélange de force brute et de légèreté. Oliver Stone nous plonge dans l'arène, filmant 'le jeu' au plus près. Nous sommes sur le terrain, où cela sent la sueur, la douleur et le sang. La lumière des projecteurs est aveuglante, le public oppressant, le bruit assourdissant. Et tout cela pour que s'envole au-dessus de la mêlée un ballon ovale, aérien, léger, parfait. Du grand art. Le reste du film a du mal à exister à côté de ces scènes d'anthologie. Mais celles-ci sont suffisamment présentes, prenantes pour que l'expérience cinématographique vaille le détour. Un film de cinéaste à ne voir qu'au cinéma.
Tony