Gladiator

Origine:
  • États-Unis
Genres:
  • Drame
  • Péplum
Année de production: 2000
Date de sortie: 21/06/2000
Durée: 2h35
À partir de 12 ans
Synopsis : Le général romain Maximus est le plus fidèle soutien de l'empereur Marc Aurèle, qu'il a conduit de victoire en victoire avec une bravoure et un dévouement exemplaires. Le vieil homme, qui le considère comme son fils, aimerait en faire, après sa mort, le protecteur de Rome, mais Maximus n'a aucun penchant pour la politique. Las de guerroyer, il n'aspire qu'à retrouver sa famille. Jaloux du prestige de Maximus, et plus encore, de l'amour que lui voue l'empereur, le fils de Marc Audèle, Commode, s'arroge brutalement le pouvoir, puis ordonne l'arrestation du général et son exécution. Maximus, bien que grièvement blessé, échappe à ses assassins et regagne son domaine, où il découvre avec hrreur les corps calcinés de sa femme et de son jeune fils. Capturé par un marchand d'esclave, il est revendu comme tel au laniste (maître de gladiateurs) Proximo, et commence son entraînement dans une arène de la province de Zuccha Bar, où ses dons et son courage en font bientôt l'idole de la population locale.
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    8.1/10 86 votes - 97 critiques

Avis des internautes du film Gladiator

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Publié le 26 juin 2000
ce film est formidable et renoue enfin avec les ' PEPLUM ' de notre enfance . Du pain et des jeux ont étés remplacés par du cinéma , de l'internet , des GSM . Tant que le bon peuple ne s'ennuiera pas , le politique pourra continuer son petit train-train sans se préoccuper de ce bon peuple dont il a peur et en - même temps qu'il méprise from FX

Publié le 25 juin 2000
nous avons apprécié ce film

Publié le 25 juin 2000
Regrets La machine de guerre la plus impressionnante du film est sans conteste la campagne de presse qui l'accompagne. Cortège de pubs, bandes-annonces, concours en tous genres. Il faut reconnaître que pour incruster dans l'esprit du spectateur potentiel l'envie incontournable (sans passer pour un has been) d'aller voir un film, les ricains savent y faire. Mais les critiques de ciné auraient-ils vraiment unanimement applaudis des deux mains face à la qualité de ce film si celui-ci n'avait été réalisé par un 'auteur' connu ? (dont les mises en scène dignes de ce nom datent quand même de quelques années : Blade Runner, Legend...) Je me permets d'en douter. J'entends d'ici les remarques fuser si Gladiator avait été réalisé par un vulgaire tâcheron du ciné grand spectacle US : 'Film indigent, bourré de clichés, jeu d'acteurs hystérique, invraisemblance, prévisibilité du scénario, mise en scène bateau, musique pompeuse et redondante...' A y regarder de plus près, il est clair que le film contient tous ces ingrédients. Encore faut-il ouvrir les yeux pour les apercevoir tels qu'ils sont derrière leur masque clinquant. On s'extasie sur la bataille du début ? Allons-donc, je n'y ai vu qu'un assemblage de super gros plans à la lisibilité nulle et qui ne fonctionnent que grâce à la bande-son. Seul le superbe panoramique en plan large sur la forêt est réellement impressionnant. Pour des scènes de bataille réellement bien filmées, revoyez-donc Braveheart, Falstaff ou encore Henry V et comparez ! Il est vrai cependant que la première scène de combat dans le Colisée est quant à elle réellement bien réalisée et vaut le détour. La plupart des éléments scénaristiques sont prévisibles et les scènes font preuve d'un manque de subtilité flagrant dans leur mise en scène. Une exception toutefois pour la splendide scène où Commodus menace sa soeur de s'attaquer à son fils si elle ne trahit pas Maximus et dont le dialogue à double sens renvoie à la scène d'antholgie du Spartacus de Kubrick où il est question d'huître et de moules. Ah si le film tout entier avait pu être construit et dialogué de cette manière... Finalement je ne vois dans ce film qu'une espèce de reflet parfait de la société dans laquelle nous vivons et qui recycle à tout-va les succès d'antan (il suffit d'écouter la radio, c'est stupéfiant) sans y apporter quoi que ce soit de plus. Ceci dit, je n'ai rien à reprocher à cette attitude de recyclage - après tout on recense une dizaine de thématiques communes à toutes les oeuvres artistiques depuis que l'homme existe - mais à condition d'apporter un regard neuf et intéressant et pas à nous montrer une version supplémentaire du péplum tel qu'il était réalisé il y a 30 ans avec les moyens techniques en moins. Lorsque Clint Eastwood réalisa Unforgiven, il ne fit pas un western supplémentaire mais prit tous les clichés de ce genre pourtant ultra connu pour les démonter et nous en donner un regard pertinent, intelligent et original. Ah si Ridley Scott avait pu en faire autant... PS 1 : ceci dit Russel Crowe a vraiment une présence extraordinaire dans le film mais allez plutôt le voir dans The Insider ou LA Confidential, deux films autrement plus intéressants. PS 2 : contrairement à ce qu'on pourrait penser à la lecture des lignes qui précèdent, je suis un fan du ciné US et je ne déteste pas à priori les grosses machines hollywoodiennes. Encore faut-il que celles-ci soient de qualité.

Publié le 25 juin 2000
Gladiator… Le péplum selon Ridley Scott. J’en suis sorti il y a une petite heure et je m’y suis plutôt ennuyé ! Les images sont belles, les combats bien filmés, les décors (de synthèse) somptueux mais il manque cependant le plus important : les tripes ! A aucun moment, le spectateur n’a mal pour le héros et pourtant il en reçoit plein la gueule psychologiquement et physiquement parlant. N’était-ce pas cela qui avait fait le succès du genre ? Un bon conseil, si vous aimez vraiment le péplum louez donc Spartacus ou Ben Hur, si vous aimez vraiment Ridley Scott louez donc Alien, Blade Runner ou Thelma et Louise ! Sur ce, je me débranche et je suis mon propre conseil !

Publié le 25 juin 2000
Gladiator… Le péplum selon Ridley Scott. J’en suis sorti il y a une petite heure et je m’y suis plutôt ennuyé ! Les images sont belles, les combats bien filmés, les décors (de synthèse) somptueux mais il manque cependant le plus important : les tripes ! A aucun moment, le spectateur n’a mal pour le héros et pourtant il en reçoit plein la gueule psychologiquement et physiquement parlant. N’était-ce pas cela qui avait fait le succès du genre ? Un bon conseil, si vous aimez vraiment le péplum louez donc Spartacus ou Ben Hur, si vous aimez vraiment Ridley Scott louez donc Alien, Blade Runner ou Thelma et Louise ! Sur ce, je me débranche et je suis mon propre conseil !

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