Summer of Sam
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genre:
- Drame
Année de production: 1999
Durée: 2h24
Synopsis :
New York, été 1977 : une chasse à l'homme frénétique dans une atmosphère torride... La hausse de la température bat des records historiques pendant que les tubes disco, tout aussi torrides, déferlent sur les ondes. Cet été-là, un serial killer, insaisissable comme une ombre fantomatique, abat des jeunes couples et des jeunes femmes dans le Bronx... Une déflagration de calibre 44 et il disparaît... La presse souffle sur les braises, la police piétine, la psychose et la paranoïa s'emparent peu à peu de la population. Démasquer le tueur devient désormais l'affaire de chacun : celle des autorités, celle aussi d'un parrain mafieux ou encore celle d'une bande de gars désoeuvrés, prompts adresser la liste des individus marginaux ou bizarres du quartier. Sur cette liste, figure Ritchie (Adrien Brody), un jeune punk aux moeurs passablement dissolues, suspect idéal et pourtant meilleur ami de Vinny (John Leguizamo) qui fait partie de la bande... Vinny dont les relations avec Dionna (Mira Sorvino) , sa femme, se détériorent de jour en jour au rythme de la chaleur qui monte. A tel point que leur confrontation conjugale rivalise d'intensité avec la frénétique chasse à l'homme improvisée qui menace de plonger le quartier dans le chaos...
Avis des internautes du film Summer of Sam
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Publié le 23 mars 2002
Dommage que ce film est presqu'introuvable dans les vidéothèques...
Publié le 7 décembre 2000
super la restitution des annees 70 mais plus qu'a une vision nostalgique et edulcoree spike lee s'est attache a demysthifier l'aura de cette epoque 'disco' et il rajoute couche sur couche de crasse quand meme malgre leurs exces et leurs bassesses ses personnages existent et sont emouvants meme lorsqu'ils se detruisent une fois le 'trip' fini il reste des amours ratees des gens qui s'aiment mais qui se font tres mal des choses qui se disent et se font qu'on ne sait plus rattraper et qui pourrissent une relation
Publié le 7 octobre 2000
Rien d'intéressant dans ce film qui s'annonçait comme prométeur mais qui à l'arrivée est dénué d'intérêt. Pendant de très longues minutes, n attend que quelque chose sorte du lot pour plonger dans un délire cinématographique ou alors on attend quelque chose qui restructurera le film. Hélas Spike Lee n'a pas su choisir son camp entre le bordel et la structure... donc nous avons à faire à un film sans âmes ou mêmes les acteurs ne croient pas en leurs rôles.
Publié le 4 août 2000
Cher Cédric Rosenboom, J'avoue que je t'en veux un peu parce que je n'ai rien à ajouter ! On peut en effet parler du retour de Spike Lee, c'est bien dans son style de décrire l'hystérie collective et à quel point les gens deviennent cons quand ils pensent 'en groupe', tous d'accord pour désigner le bouc émissaire : marginal, bizarre, dérangeant. Ici, c'est un punk homosexuel. Bien sûr Spike Lee n'a rien à faire du punk rock de 77, on n'en entendra donc pas. Ah si, un p'tit bout de 'Psycho Killer' des Talking Heads quand même. Le héros ne jure que par les Who de 'Who's next' et les punks du CBGB ont tous le look Plasmatics ( fin des années 80, crêtes iroquoises et compagnie) Bon, là je chipote parce que le film n'est pas une reconstitution historique, c'est un bon Spike Lee, mais je vais dire excellent pour faire monter la moyenne qui est catastrophique ! z'êtes durs les gars.
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moi