Le Sixième sens
Titre original: The Sixth Sense
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genre:
- Fantastique
Année de production: 1999
Date de sortie:
05/01/2000
Durée: 1h48
Synopsis :
Cole Sear (Haley Joel Osment), un jeune garçon de 8 ans est hanté par un terrifiant secret : il reçoit la visite de fantômes. Cole est horrifié par ces visiteurs de l'au-delà qui semblent tous vouloir lui confier de terribles secrets. Complètement déstabilisé par ses pouvoirs paranormaux, Cole est incapable de comprendre ce qui lui arrive et de se confier à quelqu'un, sauf au docteur Malcolm Crowe (Bruce Willis), un psychologue pour enfants. En cherchant à percer le secret des dons surnaturels de Cole, le docteur Crowe se trouve bien vite confronté à une vérité qui dépasse son entendement.
Avis des internautes du film Le Sixième sens
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Publié le 26 février 2000
Ce film est tout simplement un bon film, avec de bons acteurs, et où il règne une ambiance. On passe un bon moment, mais je crois pas qu'il faut se poser plus de questions à propos du contenu. IL faut le prendre comme il est : un film fantastique et rien de plus.
Publié le 26 février 2000
Le gamin porte le film entièrement sur ses épaules, et même Bruce se laisse guider. Bonne mise en scène, bonnes prises de vues et surtout quelle fin ! Dommage pour le micro du perchiste dans la scène de la classe (le bègue). Le revoir ? Non, pas tout de suite.
Publié le 24 février 2000
Pimprenelle2000 : je suis ravi d'apprendre que les personnages de ce film ont de la profondeur, des sentiments d'impuissance, etc Mais je n'ai jamais dit le contraire : si tu regardes les films aussi attentivement que tu lis cet écran, tes opinions doivent être légèrement décalées... mais pourquoi pas. Un film est un objet dont chacun peut faire ce qu'il entend : exemple, Gilbert Montagné, aveugle et cinéphile ! si, si ! Eric C. : Je ne saurais avoir de rancune contre quelqu'un capable de citer Truffaut à peu près à bon escient (même si j'ai un doute sur la réalité de la citation!). Et il est exact qu'Hitchcock se présentait lui-même comme un manipulateur dont le seul but était d'entendre des cris d'effroi dans la salle. Mais son génie se situait (se situe) ailleurs et il le savait très bien, ce faux-cul ! En réalité la frontière sépare les manipulations honnêtes de celles qui ne le sont pas (qu'on qualifie généralement de gratuites mais c'est leur faire trop d'honneur). En revanche, je ne comprends pas ton allusion aux 'gens qui veulent penser pour les autres'. Si le simple fait de donner son opinion, y compris de façon un peu péremptoire, est assimilable à une prise de tête intolérable, où est le débat? Cordialement votre.
Publié le 24 février 2000
Par curiosité, allez lire la critique de Libé. C'est ambigu (comme toujours dans Libe), mais on voit bien que le type a aimé... http://www.libe.fr/cinema/200001/20000105sixie.html
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frédéric d.