Instinct (1998)
Réalisateur:
Synopsis :
Eminent spécialiste des primates, le Dr Ethan Powell passe plusieurs années seul dans la jungle à étudier les gorilles du Rwanda. Lorsqu'une expédition retrouve sa trace, le scientifique a fait place à un sauvageon qui agresse l'équipée et tue deux de ses membres. Comment un esprit aussi brillant peut-il dégénérer au point de finir en prison, en compagnie de criminels jugés irresponsables ? C'est la question à laquelle tentera de répondre Theo Caulder, le psychiatre chargé de l'affaire. Une analyse qui lui en apprendra autant sur Ethan que sur lui-même...
Avis des internautes du film Instinct (1998)
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Publié le 26 avril 2006
pour moi je ne sais pas si ce film a eu bocoup de succés et je ne pense pas non plus que bocoup de personne l' on aimer mais pour ma part je ne trouve pas les bons mots mais j' ai trouvais ce film excellent, attirant et trés attachants. Aussi le role du personnage principal powell a était trés bien jouer par anthony hopkins.
Publié le 8 août 1999
Un très très beau film, mais dont la bande-annonce maintes et maintes fois vue ne reflète absolument pas le vrai fond de l'histoire. Le film est plus philosophique que violent et sanguinaire comme on voudrait nous le laisser croire. C'est là que commence le contrôle de 'ceux qui prennent'. Beaucoup de morale, des interprétations magistrales de Anthony Hopkins et Cuba Gooding jr. Il est vrai que le film attire l'attention sur les dérives des gens de pouvoir mais je ne pense pas que le message est de nous dire qu'on doit se laisser aller à nos instincts primaires. Je pense plutôt qu'il s'agit là d'un message de tolérance, d'acceptation de la différence chez les humains et les animaux mais aussi et surtout de nous dire que tout ce qu'on a mis tant d'années à découvrir sur nous-mêmes, la nature le savait déjà d'instinct...
Publié le 30 juillet 1999
Film bien mené et bien joué sur le thème du 'bon sauvage'. Un professeur antropologue qui se fait adopter par une famille de gorilles et l'aventure commence... Le message phylosophique du film est néanmoins confus. D'une part, le film attire notre attention sur les abus de nos sociétés en quête de pouvoir et, jusque là, on le suit bien. Mais hélas le film pourrait laisser penser que la solution est de ne plus essayer de contrôler nos vies et donc, implicitement, de laisser parler notre instinct et de laisser tomber la raison. Là, je ne suis plus très bien, car l'histoire nous a suffisamment montré les dégâts que peuvent faire des gens qui s'adonnent librement à leur instincts. Il semble donc que le film fait une fâcheuse confusion entre 'le contrôle excessif que les hommes essayent d'excercer sur les autres êtres vivants qui les entourent' et 'le contrôle que l'on essaie d'excercer sur nos propres vies en dominant nos instincts'. Les deux contrôles sont tout à fait différents de nature et c'est en fait par le second (la raison) que l'on peut espérer limiter les excès du premier.
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columbo