La Ligne rouge
Titre original: The Thin Red Line
Réalisateur:
Origines:
- Canada
- États-Unis
Genre:
- Guerre
Année de production: 1998
Date de sortie:
24/02/1999
Durée: 2h40
Synopsis :
Pendant la Guerre du Pacifique, alors que l’armée américaine veut reprendre l’île de Guadalcanal aux Japonais, un déserteur installé dans un village mélanésien doit réintégrer sa Compagnie. Les soldats débarquent sans rencontrer de résistance mais en pénétrant dans les territoires intérieurs de l’île, ils subissent sur la Colline 210 un feu nourri provenant d’un bunker lourdement armé…
Avis des internautes du film La Ligne rouge
Publié le 25 août 2005
Je l'ai vu il y a assez longtemps et ça m'avait vraiment plut. Je me suis resouvenu de ce film ces vacances et j'ai commandé le dvd. Malgré que ce soit un long film je l'ai quand même reguardé deux fois de suite, ce film est vraiment magnifique. "Les moissons du ciel" (son précédent film) est pas mal dutout lui aussi, on attend avec impatience "New World"..
Publié le 10 août 2005
c'est aussi "classique" qu'une piéce de theatre grec. Folie antique, c'est extraordinaire. A VOIR ET A REVOIR
Publié le 18 août 2000
Je viens de voir le film en vidéo et je me mords les doigts de ne pas l'avoir vu sur grand écran (est ce qu'on le joue encore?). MAGNIFIQUE c'est le seul mot qui me vient à l'esprit, le contraste entre la cruauté absurde de la guerre et la magnificence de la nature, la douceur paisible qui émmane des images, cette sensation de rêve poétique qui vous prend dès le début.... c'est tellement rare dans le cinéma d'aujourd'hui! Je peux comprendre que l'académie des oscars n'ai finalement pas récompensé ce film (après l'avoir maintes fois nominé) car il est très particulier, mais quand voit que c'est Shaekspeare in Love qui l'a devancé, on se demande ce que ces américains ont dans le crâne.
Publié le 11 avril 1999
Chère Isabel Saavedra, Tu as déjà tout dit... J'ajouterai simplement : - qu'il s'agit du film que Jane Campion aurait pu faire sur le sujet; - que lorsque l'on meurt à 18 ans sur un champ de bataille, cela n'empêche pas de sentir les chauds rayons du soleil filtrer à travers les arbres et de se sentir léger, en partance vers l'Ailleurs (?), tout en serrant la main d'un copain. Cette scène vaut à elle seule la vision de ce film. Elle résume à la fois l'absurdité de la guerre et l'insensé espoir qu'il est nécessaire d'entretenir à propos de la nature humaine. Il y a longtemps déjà que j'ai vu ce film et pourtant je conserve à l'esprit le souffle de tendresse à l'égard de la Nature (dont l'homme fait partie) que cette oeuvre comporte.
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