Les Infiltrés
Titre original: The Departed
Réalisateur:
Origine:
- États-Unis
Genre:
- Policier
Année de production: 2006
Date de sortie:
27/12/2006
Durée: 2h32




Synopsis :
Histoires parallèles dans le monde du crime : un capitaine de police tente de mettre à jour l'identité d'un inspecteur ripoux travaillant pour un baron de la drogue au sein de son service, alors que le criminel essaye de découvrir qui est l'informateur dissimulé parmi ses hommes...
Avis des internautes du film Les Infiltrés
- Page précédente
- Page suivante
- 1
- ...
- 5
- 6
- 7
- 8
- 9
- ...
- 12
Publié le 7 janvier 2007
Evidemment, faire un remake est un défi. Ici, c'est raté.
Malgré une histoire originale plus qu'inspirante et un casting impressionant, j'ai du sortir de la salle après avoir luter durement contre l'ennui. Pour passer le temps, j 'ai même tenté de compter le nombre de "fuck "prononcés mais mission impossible vu la quantité.
La réalisation est à tel point catastrophique, que même de grands acteurs jouent faux. Indépendamment de la réalisation originale, ce film est loin d'être un suspens et un succès.
Publié le 7 janvier 2007
Même si ce n'est que le remake de l'excellent "Mou Gaan Dou", plus connu comme "Internal Affairs", et que Scorsese a très largement pioché dans la version originale, c'est incontestablement une bonne réalisation, supportée par l'interprétation juste et crédible de Leonardo Di Caprio et Matt Damon. Un peu touffu au début (ce remake réalise un tour de force en concentrant en 2h30 la saga de Hong Kong réalisée en trois épisodes), le film tient en haleine et surprend. Jack Nicholson séduira ses fans, mais il ne convainc pas autant que Marlon Brando comme parrain de la mafia locale. Personnellement j'aurais aimé voir un peu plus l'impassible Martin Sheen et Alec Baldwin. A voir!
Publié le 6 janvier 2007
On est passé tout près d’un de ces vrais films qui font du cinéma ce qu’il est. Une histoire de policiers et de gangsters, un de ces duels qui captive le spectateur, le tient en haleine jusqu’au bout et où il se fond dans un spectacle qui sans doute ne s’enracine pas dans la mémoire mais qui, dans l’instant, le saisit tout entier. L’idée était originale et novatrice : un bon chez les méchants contre un méchant chez les bons. Il restait à bâtir l’architecture de la duperie et pendant longtemps Scorcese, grâce à un talent formel hors pair, y parvient magistralement. Le film est fluide, remarquablement filmé, brillamment interprété. Le spectateur est totalement « dedans », mais la dernière demi-heure et surtout le dernier quart d’heure donnent l’impression d’avoir été bâclés sur un coin de table. Il fallait finir le film, et bien finissons-le. Achevons les tous, personnages et spectateurs. Avec un scénario mal ficelé et un dénouement qui ressort plus de la fin d’une récréation dans une classe de primaire que de l’œuvre d’un auteur pourtant réputé à juste titre. En sortant, je me suis dit que pour Scorcese, il était loin « The Age of Innocence », son film le plus atypique et assurément le plus beau. A cause de cette fin, il ne restait plus qu’une déception, matinée de colère…
- Page précédente
- Page suivante
- 1
- ...
- 5
- 6
- 7
- 8
- 9
- ...
- 12
Zorglub