La Doublure
Réalisateur:
Synopsis :
Surpris par un paparazzi avec Eléna, sa maîtresse, un top model superbe, le milliardaire Pierre Levasseur tente d'éviter un divorce sanglant en inventant un mensonge invraisemblable. Il profite de la présence sur la photo, d'un passant, François Pignon, pour affirmer à sa femme qu'Eléna n'est pas avec lui, mais avec Pignon. Pignon est voiturier. C'est un petit homme modeste. Levasseur, pour accréditer son mensonge, est obligé d'envoyer la trop belle Eléna vivre avec Pignon. Elena chez Pignon, c'est un oiseau de paradis dans un H.L.M. Et aussi une mine de situations...
Avis des internautes du film La Doublure
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Publié le 17 avril 2006
Très bonne comédie, le scenario tient la route malgré l'invraisemblance de la situation. Les acteurs sont convaincants, le rythme soutenu. Je me suis bien amusée, mes zygomatiques ont travaillé.
Publié le 15 avril 2006
IL EST TROP GENIAL J'ai trop aimé, on rigole du début à la fin! C'est trop KLASS
Publié le 15 avril 2006
C'est bien connu, l'une des forces du cinéma français a toujours résidé dans le genre comique. Dans ce contexte, on reste donc toujours attentif aux réalisations solides et qualitatives de Francis Veber. Qui plus est, avec la quantité non négligeable de comédies de deuxième (style ‘L'Antidote' ou ‘Olé') voire de troisième zone proposées (style de Eric et Ramzy, Kad & Olivier) ces cinq ou dernières années. Dans ‘La Doublure', Veber transpose sa célèbre et classique mécanique via Gad Elmaleh, pour ce cinquième François Pignon. Evidemment, face à un Dany Boon drolatique et à la bellissime révélation du film, Alice Taglioni, il fait aisément mouche. On rit de l'histoire, avec ce Pignon obligé de vivre avec une top-model pour éviter le divorce d'un milliardaire (joué par l'ex Pignon du ‘Placard', Daniel Auteuil). On rit des scènes même moins importantes, incarnées par Richard Berry en avocat hideux, par Michel Jonasz en Pignon-père et en Michel Aumont, médecin malade. Le tout est concluant mais voilà : quand on connaît le glorieux passé du réalisateur, du ‘Grand Blond' au ‘Dîner de Cons' en passant par ‘La Chèvre', on en attend énormément. Trop, peut-être. Un goût amer étant déjà survenu dans, ‘Tais-toi', son dernier film, la suite d'une once de déception s'amorce ainsi dans ‘La Doublure'. Mais attention, on reste bien un cran au-dessus des ignominies et autres facilités actuelles à la Michaël Youn ou à la ‘Brice de Nice'. Puis, chose importante, les 7 à 77 ans pourront s'esclaffer devant ce film. Ce qui n'est déjà pas si mal...
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virginie