Le cri du bébé un cri d'espoir La scène ou la mère marche parmi les soldats, les armes se taisent et les regards se voilent .. L'homme voit son avenir disparaître. Le mystère est au rendez-vous de la fin Les promesses des adulte seront elles veridique , parceque une femme et son bébé attendent sur un frêle barque. Nous nous croyons maitre du monde, mais notre condition humaine n'est que trop fragile. Une maladie , une epidemie , un virus et notre espérance de vie est limitée...

Je rejoins tout à fait Bol & Kak. La mis en scène est très soignée, le jeu des acteurs est impécable mais il manque un soufle au film... Tout se traine et la fin est trop ouverte.

Londres 2027. A la Une, stérilité pandémique et humanité condamnée à terme. Pourtant, on aurait tort de taxer ce film de SF. Les troubles nous sont familiers tout en étant extrapolés à l'extrème. Sur fonds d'immagrations massives clandestines, de terrorisme omniprésent et de pollution pathogène, cette Angleterre futuriste n'est certes pas la version la plus improbable qui soit. En filmant cette course-poursuite haletante dans ce décors redoutable, Alfonso Cuaron nous livre un spectacle saisissant limite reportage de guerre. Sa caméra virevolte le temps de plusieurs plans séquence stupéfiants de virtuosité. Côté acteurs, on regrette que l'apparation de Julianne Morre dure le temps d'une étoile filante, lumineuse et émouvante. Michael Caine bluffe son public en troquant un peu d'herbe contre un bout de conversation complice et souriant. Quant à Clive Owen, il n'a jamais démenti tout le bien qu'on pensait de lui depuis qu'Arthur avait ravi à Lancelot le coeur de Guenièvre sous la direction de Fuqua. Bref, un film pré-apocalyptique d'excellete facture, qui n'omet pas de délivrer son message d'espérance (de vie).

Misschien soms iet of wat minder afgewerkte scriptdetails, maar een fantastische regie, echt adembenemend. Cuarón is een artiest.

Magnifique et terrible à la fois, ce tableau d'un monde qui ressemble tellement au nôtre...ou en tout cas ce qu'il est en passe de devenir. Sale, puant, fascisant. Morbide et baigné dans la haine totale de tout, de l'autre. Quelle affreuse réalité que celle à laquelle nous nous habituons peu à peu, quel cauchemard que de croire dans la mort, la techno-science, la puissance des choses alors que le tourbillon de notre folie nous plonge dans les abîmes. Un film évènement dont la bande son, massacrée, fait tache sur l'ensemble. A voir, à méditer, .. à pleurer. *** La pub partout c'est la liberté (de penser) nulle part ***