Les Bronzés 3: Amis pour la vie

Origine:
  • France
Genre:
  • Comédie
Année de production: 2006
Date de sortie: 01/02/2006
Durée: 1h37
Tout public
Synopsis : En 1978, Popeye, Gigi, Jérôme, Bernard, Nathalie et Jean-Claude faisaient connaissance en Côte d'Ivoire dans un club de vacances, le Club Med pour ne pas le nommer. Amours, coquillages et crustacés. Un an plus tard, retrouvailles du groupe d'amis à Val d'Isère. Tire fesses, fartage et pistes verglacées. Après le Club et le ski, ils n'ont cessé de se voir, se perdre de vue, se retrouver, se reperdre, se revoir, pour des semaines de vacances volées à une vie civile assommante. Depuis quelques années ils se retrouvent chaque été, pour une semaine, au Prunus Resort, hôtel de luxe et de bord de mer, dont Popeye s'occupe plus ou moins bien en tant que gérant, et qui appartient à sa femme, Graziella Lespinasse, héritière d'une des plus grosses fortunes italiennes. Que sont devenus les Bronzés en 25 ans ? Réponse hâtive : les mêmes, en pire...
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    5.7/10 297 votes - 314 critiques

Photos du film Les Bronzés 3: Amis pour la vie

Avis des internautes du film Les Bronzés 3: Amis pour la vie

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Publié le 9 février 2006
On s'attendait à mieux. Peu de réactions dans la salle ... on sourit plus qu'on ne rit ! Dommage ...

Publié le 9 février 2006
le film était drôle mais un peu simplet prestation moyenne des acteurs

Publié le 9 février 2006
J'ai passé un bon moment, le film est assez drôle dans son ensemble

Publié le 8 février 2006
C'est énorme, je m'attendais à un film pourri, comme tous les troisièmes d'un série, mais là, c'est très grand. Ils ont réussi à évoluer en fonction de l'époque, inverser des rôles

Publié le 8 février 2006
Non, non et non, ce troisième opus n'arrive pas à la cheville des deux premiers. A ceux qui prétendent que les futures phrases cultes sont légions, je demande qu'ils les mentionnent. Si, j'en vois une, mais on l'entend dans la bande-annonce, donc... ("Je nage dans le bonheur. On peut pas dire que tu nages dans ton t-shirt"). Pas l'ombre d'un début de commencement de répliques du calibre de "C'est c'là oui - C'est fin, c'est très fin, ça s'mange sans faim - Je vous ai beaucoup moins bien réussi qu'le porc - Je ne vous jette pas la pierre, Pierre - Quand te reverrai-jeuuu, pays merveilleuuux? - J'crois qu'j'ai une ouverture - Je vais conclure - Au fond toi et moi on peut pas miser sur notre physique, surtout toi d'ailleurs - C'est kloug, c'est roulé sous les aisselles - etc etc. Et puis supposons que certains en trouvent, que dire des gags? Les comédies, il ne faut quand même pas les voir une dizaine de fois pour commencer à rire. Si on n'a pas ri du premier coup (les mimiques lamentables de Jugnot, la patte de Lavanant, nullissime...), y a peu de chance que ça arrive plus tard. Je l'ai vu une seconde fois pour faire plaisir à ma filleule de 10 ans (elle n'a pas aimé). Aucune gag aussi poilant que, par exemple, le grand coup de bâton de ski sur la tête de Balasko, la scène de la goutte dans le chalet, la partie de jambes en l'air des Italiens, le fil dentaire dans la fondue, le string de Clavier (repris ici, c'est dire l'originalité)... A défaut d'être raffiné, c'était ultra marrant. En fait, je ne leur en veux même pas, aux 6 bronzés; c'est à moi que j'en veux, d'avoir tellement attendu de ce film

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