La Vérité Nue
Titre original: Where the Truth Lies
Réalisateur:
Origines:
- Canada
- États-Unis
Genres:
- Thriller
- Drame
Année de production: 2005
Date de sortie:
04/01/2006
Durée: 1h47
Synopsis :
1959. Lanny Morris et Vince Collins sont les comiques les plus célèbres des États-Unis. Ils sont à l'apogée de leur carrière, quand un événement terrible vient tout remettre en question. Un jour, une femme est mystérieusement trouvée morte dans leur suite. Leur réputation est ternie, mais tous deux fournissent un alibi en béton qui les blanchit. Cependant, cet événement marque aussi la fin de leur collaboration et la vraie raison de la séparation devient l'un des plus grands mystères du show business. Quinze ans plus tard, dans les années 70, une journaliste prometteuse, Karen O'Connor, décide de remettre cette affaire sur le devant de la scène. Elle négocie un contrat mirifique pour découvrir de nouvelles informations sur Morris et Collins et commence à déterrer les faits qui se cachent derrière une séparation élevée au rang de mythe. Peu à peu, son enquête lui fait pénétrer l'intimité sexuelle et affective de chacun des deux hommes...
Avis des internautes du film La Vérité Nue
Publié le 16 janvier 2006
Agréable atmosphère du film, manière de filmer plutôt lèchée et l'ambiance années 50 bien rendue. Le suspense est moyen mais l'histoire bien racontée, au total un bon moment à passer. Doux-amer. *** Le cinéma sans PUB c'est comme une plage sans pollution ! ***
Publié le 11 janvier 2006
j'ai apprécié cette histoire, la manière dont le puzzle sest formé, même s'il faut attendre un certain moment pour cerner les personnages . Je trouve que c'est bien filmé .
Publié le 11 janvier 2006
J'ai aimé les commentaires de Shaki. c'est comme cela que je vois aussi ce film. Atom Egoyan nous entraîne avec finesse dans un univers assez spécial. mais dans le milieu du showbizz cela ne me semble pas particulièrement étrange. Un film controversé, ce qui est souvent gage d'originalité et que j'ai beaucoup aimé .
Publié le 10 janvier 2006
Egoyan reste toujours fasciné par la mort, le deuil qui assassinent l'innocence. Le début du film est un peu laborieux (on saisit difficilement les personnages), mais s'en suit un scénario plein de chausse-trappes, et recelant beaucoup de finesses psychologiques. Pour cela, Egoyan fait patrie de la race des conteurs, les vrais, ceux qui vous mènent par le bout du nez dans leur univers intime. Pour ma part donc, un film à recommander.
posthal