Papa
Réalisateur:
Origine:
- France
Genre:
- Comédie dramatique
Année de production: 2005
Date de sortie:
08/06/2005
Durée: 1h18
Synopsis :
Louis a un drôle de papa: toujours souriant, blagueur, rieur. Pourtant, Louis n'a pas très envie de rire. Sur la route qui les ramène chez eux, le père et son fils vont se retrouver. Au bout de leur voyage, il y a la lumière. La vie.
Avis des internautes du film Papa
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Publié le 11 juillet 2005
J'ai bien aimé ce film, qui ne cherche pas à nous "distraire" à tout prix, on est loin des effets spéciaux et de la surenchère dans le rythme et les images (que j'aime beaucoup aussi, mais c'est sympa de voir quelque chose de différent). C'est une histoire toute simple, qui sonne vrai, avec deux acteurs très justes. Un film à la fois triste et qui fait du bien, émouvant sans chercher à manipuler le spectateur.
Publié le 29 juin 2005
de l'humour moyen au scene ou ne l'on comprend pas grand chose je n'ai pas détesté des gags parfois sympa comme (ocupe toi de ton cul conasse) et des scenes qui foutent les boules par exemple l'explosion de la bagnole mais sinon il ne ce passe pas grand chose des moment vraiment embetant et triste et l'humour de ce pere dépasse les bornes on ne c'est plus si on doit partir de son fauteil ou rester mais papa et malgrer ces jeux de mots un moment sympathique qui s'offre a tous le monde meme si c 'est parfois crevant
Publié le 27 juin 2005
Arrêtes ces commentaires débiles de type "C'est nul y'a pas d'action" mon dieu mais quelle bêtise !!! Ce film n'est pas totalement réussi mais c'est fin, tendre, beau, émouvant sans jamais devenir lourdingue comme un film de Jugnot ...
Publié le 25 juin 2005
A mille lieues des pleurnicheries larmoyantes d'un Jugnot choriste, Barthelemy semble exorciser une grosse pelote endeuillée dans une épure sentimentale qui a le grand avantage de ne pas prendre le spectateur pour un crétin. Le principal étant dans le non-dit il n'est dès lors par surprenant que certains aient eu une sensation de vide. Qu'importe. Ceux-là n'auront qu'à (re)voir des bouses qui font RRrrr très fort, car dans ce cas, le fond n'est plus à chercher : on le sait dès le début absent. Pour les autres, qu'ils soient attentifs à l'infinité de micro-instants qui fixent les parcelles de vie sur une pellicule et qui, à l'instar du travail qu'un grand romancier aurait effectué, réaffirment sans ambiguité toute la nécessité de la fiction. Il ne s'agit pas ici de catharsys de quadras : le questionnement auraient presque tendance à s'inverser, qu'on donc foutu ces tendres acteurs dans des productions différentes que celles à coeur ouvert...
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Quent