Locataires
Titre original: Bin Jip
Réalisateur:
Origine:
- Corée du Sud
Genres:
- Drame
- Romance
Année de production: 2004
Date de sortie:
04/05/2005
Durée: 1h35
Synopsis :
Tae-suk arpente les rues à moto. Il laisse des prospectus sur les poignées de porte des maisons. Quand il revient quelques jours après, il sait ainsi lesquelles sont désertées. Il y pénètre alors et occupe ces lieux inhabités, sans jamais rien y voler. Il va même jusqu'à laver le linge et réparer les objets cassés qui l'entourent. Un jour, il s'installe dans une maison aisée où habite Sun-houa, une femme maltraitée par son mari. Dès qu'il découvre sa présence, il quitte les lieux. Pourtant, ne pouvant l'oublier, il revient sur ses pas pour l'emmener avec lui...
Avis des internautes du film Locataires
Publié le 11 juin 2005
Très bon film coréen, qui n'a rien à envier aux nippons... ce film, contrairement au japonais, n'est pas du tout lent...on ne s'ennuie pas du tout...c'est un tout autre cinéma! Après l'excellent Old Boy d'un autre cinéaste coréen, le pays du petit matin calme nous ravit une fois de plus...
Publié le 30 mai 2005
Très beau, mystérieux. Une belle interprétation, sans besoin de paroles: un regard, un sourire suffisent. Du très grand cinéma. Génial!
Publié le 19 mai 2005
Il est une poesie qui s'est fait image animée La musique remplacait les mots et ceux que l'on entendait,n'etaient autres que ceux de notre propre tentative a vouloir exprimer ce que ressentait celui a qui on aurait voulu ressembler Tant par l'intelligence que par la liberte de son être Libre il etait , il ne s'est point envole mais il a disparu enfin il est devenu present dans le moment, dans l'instant. Entre quatres murs,il a réussi a etre "non-etre". Ne regardez pas avec vos yeux , mais redessinez-le à fleurs de peau. L'amour a ete ré-inventé; l'amour blessé, battue a été guérie par la tendresse le respect la compréhension pour renaitre de ses cendres , l'amour a triomphé Etl'union des deux corps sur une balance indiquait l'infini ...
Publié le 18 mai 2005
un peu tire par les cheveux, mais si on se laisse aller par la poesie, on y croit.......
jaki henri