La Chute
Titre original: Der Untergang
Réalisateur:
Origine:
- Allemagne
Genres:
- Drame
- Guerre
Année de production: 2004
Date de sortie:
12/01/2005
Durée: 2h30
Synopsis :
Berlin, avril 1945. Le IIIe Reich agonise. Les combats font rage dans les rues de la capitale. Hitler, accompagné de ses généraux et de ses plus proches partisans, s'est réfugié dans son bunker, situé dans les jardins de la Chancellerie. A ses côtés, Traudl Junge, la secrétaire particulière du Führer, refuse de l'abandonner. Tandis qu'à l'extérieur la situation se dégrade, Hitler vit ses dernières heures et la chute du régime.
Avis des internautes du film La Chute
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Publié le 22 janvier 2005
Il faut accepter que le sujet du film ne soit pas les horreurs nazies mais plutôt la fin folle et surréaliste des barons du nazisme. De nombreux sujets de discussion peuvent être abordés à la suite de ce film: le fanatisme, la manipulation, le suicide, la peine demort, le folie, la mégalomanie, les horreurs de la guerre et j'en passe. En aucun cas je n'y ai trouvé matière à révisionisme au contraire il conforte dans la conviction qu'il s'agissait d'un système horrible et fou. Quelques longueurs à la fin du film mais globalement excellent.
Publié le 22 janvier 2005
Très bon film, mise en scène, photo,... On perçoit bien l'horreur de l'époque. Par rapport aux critiques et les problèmes d'humanisation de Hitler. J'ai pas vu un gramme d'humanité, sauf peut-être au 5 première minutes au début du film, mais ça a son importance dans le scénario.
Publié le 21 janvier 2005
alors là, vraiment très déçu... après avoir vu Das experiment du même réalisateur, je m'attendais à un film tout aussi intéressant mais abordant cette fois-ci un sujet tout à fait différent. Malheureusement, la déception fut au rendez-vous. S'il n'y a rien à redire sur le jeu des acteurs et notamment la prestation de Ganz (bien que parfois on frôle le cabotinage à force de répétitions des mêmes scènes de délire paranoïaque du personnage qu'il incarne), il en va tout autrement du film en lui-même. Mais peut-être n'est ce pas le film en lui même qui me pose problème mais plutôt le thème abordé. Finalement on assiste là à la fin de règne d'un microcosme dont le "rayonnement" si l'on peut s'exprimer ainsi était basé sur une propagande de masse et une violence extrême érigée en système industriel. Ce qui ne faisait pas moins de ces hommes et de ces femmes des êtres d'une banalité toute commune (dans leurs attitudes et leurs réactions si prévisibles). Aussi les voir évoluer (régresser) en vase clos m'a profondément ennuyé. Enfin, en ce qui concerne la polémique de banaliser le mal en montrant ces personnes pour la plupart responsables des pires ignominies dénué de contexte historique ne m'a pas troublé. En effet, par ce biais, le réalisateur accentue encore le fait que le mal peut surgir du plus anodin des quidams (même si dans ce film il est très peu fait allusion à ce mal) . Comme disait Hannah Arendt "il eut été réconfortant de croire qu'Eichmann était un monstre ». Pourtant, beaucoup comme lui, lui ressemblaient « ni pervers, ni sadiques ». Ces gens étaient « effroyablement normaux ». Enfin, le sujet est vaste et le débat sort du cadre de l'avis du cinéphile, sur ce dernier point je garderai une impression très mitigée!
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Pika