Ghost in the Shell 2: Innocence
Titre original: Inosensu
Réalisateur:
Origine:
- Japon
Genres:
- Film d'animation
- Drame
- Science-fiction
Année de production: 2004
Date de sortie:
12/01/2005
Durée: 1h39
Synopsis :
2032... La mince frontière qui séparait l'homme de la machine s'est abolie. L'espèce humaine a virtuellement oublié ce qui faisait son humanité, tant corporelle que spirituelle. Ses derniers représentants vivent entourés de cyborgs (esprits humains occupant des corps entièrement mécanisés) et des poupées 10% robotiques. Batou est un cyborg. Son corps est artificiel, mais son esprit conserve encore quelques traces d'humanité... et le souvenir obsédant de la femme qu'il aima, le Major Motoko Kusanagi.
Avis des internautes du film Ghost in the Shell 2: Innocence
- Page suivante
- 1
- 2
- 3
- 4
Publié le 6 février 2005
Si vous n'avez rien de mieux à faire, et qu'en outre vous prend une furieuse envie de vous masturber les neurones avec une fumeuse histoire tordue (de chez tordu) concernant un mélange de qualités humaines chez les poupées / robots et puis aussi vice-versa bien entendu ('faut être japonais pour comprendre, I guess ?). Une image superbe m'empêche de coller un "Zéro pointé".
Publié le 1 février 2005
Fameux. Superbe visuellement/auditivement, le chara design de Okiura colle une fois de plus très bien à l'ambiance et à la narration. Le scénario est tout à fait abordable, contrairement à ce que j'ai entendu un peu partout. Ceux-là feraient bien de lire le manga de Shirow pour être dégouté de la complexité originale ;). Quelques tirades pilosophiques légèrement hétérogènes n'ont pas le pouvoir de faire des grumeaux dans ce grand anime. (de tt facons ds le manga ca n'arrete pas, hehe).
Publié le 31 janvier 2005
Ayant vu la veille, le formidable "Chateau ambulant" De Miyazaki, j'en avait fait la premiere vermeille du monde tellement la poesie et la beauté s'en dégageant m'avait skotché. C'est donc en bon moment de détente et avec les image du chateau en tete que je me suis aventuré au cinéma pour GITS2. J'avais vu le 1er deux semaine auparavant, sur le petit écran. Le film commence ... la premiere image, un building gigantesque avec une vue aérienne, me laisse perplexe par tant de beauté. Le film continu et durant (je n'ai pas calculé) 5 bonnes minute environ, le générique se déroule, une musique magnifique de Kenji Kawai en fond, avec a l'écran la fabrication d'un robot qui la encore ... me laise bouche bé ... Bon je ne vais pas vous raconter tout le film, mais je tiens a dire, que ce dessin animé (si on peu encore appelé sa comme sa) a changé ma vision du monde. Les images, entre dessins 2D et image de synthese 3D sont d'une beauté jamais vu. Le sénario m'a captivé et chaque dialogue, sert non seulement a faire avancé l'histoire, mais nourrit également une vrai réfléxion sur l'homme. Chaque citation pourrai bien etre argumenté durant des heures, et enrichie grandement le contenu. J'ai été captivé durant les 1h40 sans m'ennuyer une seul seconde. Je pense que le voir 3 a 4 fois n'est aucunement génant mais permet au contrere de comprendre un bon nombre de subtilité et de sous entendu indécelable la premiere fois. Je ne sais comment vous décrire l'état dans lequel je suis sorti de la séance. C'est juste ... indécible ... inéfable ... inéxprimable ...
Publié le 26 janvier 2005
Ne vous fiez pas à l'affiche hideuse ni à la bande-annonce américaine et laissez vous tentez par ce pure chef d'oeuvre de l'animation nippone ! Si seulement le scénario était plus compréhensible...
- Page suivante
- 1
- 2
- 3
- 4
Golgot