Les Clefs de Bagnole
Réalisateur:
Synopsis :
D'après un très sérieux rapport scientifique une personne qui conduirait pendant 60 ans passerait 23 jours de son existence à courir après ses clefs de bagnole. 23 ! 23 !? et oui 23 ! Ça méritait bien un film de 90 minutes. C'est l'histoire d'un type qui cherche ses clefs de bagnoles.... un film avec de l'action du suspense, de l'aventure, de l'humour, des bons acteurs, une belle histoire d'amour, des bons dialogues, des enfants, des vieux, des animaux, de la belle musique, un message, une happy end, des effets spéciaux, des bons gags, des beaux sentiments, un running gag, des références cinématographiques, des filles à poil, de la zoologie,...
Avis des internautes du film Les Clefs de Bagnole
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Publié le 17 décembre 2003
oui et bien moi, j'aurai préféré perdre es clés de la maison, ça m'aurait évité de perdre mon temps!!!
Publié le 17 décembre 2003
J'ai ADORE 'Les clefs de bagnole', concept original, clin d'yeux et références à notre culture ciné et télé, Baffie et Daniel Russo sont tels qu'on les aime. (et puis TROP FORT les chiottes 'grand bleu' :))
Publié le 16 décembre 2003
Un film soporifique.La meilleure idée du film c'est son titre.
Publié le 16 décembre 2003
Je me suis bidonné à ce film du début (l'avant générique, avec les chiens, est un vieux gag hilarant) jusqu'à la fin (le bétisier durant le générique). C'est clair faut y aller de bonne humeur, pas si on est pas froid comme un glaçon. Allez-y détendus, pas après une journée de boulot donc. On se marre, tellement la quantité de gag est phénoménale. En cela ça rappelle très fort 'Qui a Tué Paméla Rose'. C'est bourré de suréalisme, on change très vite de rythme, et le casting est époustoufflant ! Quelques bémols quand même: un peu tiré en longueur sur la fin, j'ai pas du tout accroché sur le personnage de Daniel Russo. Ma scène préférée (difficile de choisir): Baffie rentre dans une école maternelle et discute avec des enfants, adorable et hilarant. Le scénario est pauvre, mais il est présenté comme tel: ce n'est qu'un fil rouge bidon et ridicule. Entre second degré et surrélisme, la sauce prend vite. Baffie ne se prend pas au sérieux. Il assure.
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Christophe Lasseel