Un long dimanche de fiançailles

Origine:
  • France
Genre:
  • Drame
Année de production: 2004
Date de sortie: 27/10/2004
Durée: 2h14
Tout public
Synopsis : Lors de la première guerre mondiale, dans la Somme, cinq hommes reçoivent l'ordre de se rendre en première ligne. Une cour martiale a décidé de les punir en les laissant seuls dans cette région désertique afin d'être tués dans le combat. C'est alors qu'ils périssent tous... quoique... Une jeune fille, handicapée depuis l'âge de trois ans et fiancée à l'un de ces hommes disparus, reçoit pourtant des informations qui lui laissent penser qu'il a survécu. Elle décide alors de s'embarquer dans une longue, difficile et souvent frustrante épreuve afin de découvrir la vérité.
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    8.5/10 163 votes - 169 critiques

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Photos du film Un long dimanche de fiançailles

Avis des internautes du film Un long dimanche de fiançailles

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Publié le 3 novembre 2004
Film superbe, musique prenante, lumière délicieuse, acteurs de très bonne qualité, émotion et rire ... Que du bonheur !

Publié le 3 novembre 2004
ma-gni-fi-que !!! très belle photographie; on se laisse emporter par la beauté des images, Audrey Tautou confirme qu'elle est une très grande actrice. on ne s'ennuie pas tout au long des 2 heures. dans le désordre : action, humour, tendresse et beaucoup d'émotion il n' y a qu'à voir, à la sortie de la séance, le nombre d'yeux brillants pendant le film, nombre de doigts ont frotté une larme..... j'y suis allé avec mon épouse, une jeune fille de 17 ans et 2 garçons de 12 ans : ce film a plu à toute la famille on l'aura compris : j'ai adoré ce film

Publié le 2 novembre 2004
Vu à LLN le 31/10/04 Film un peu long aux contrastes violents entre amour et haine, horreur et beauté, bravoure et lâcheté. Une petite pointe de suspense et quelques gouttes d'ironie. Tout finit par se confondre dans cette tourmente dont le sens échappe à ces jeunes innocents. Plus barbare que celle de 45 ai-je ouïs en fin de séance. Y-a-t-il des conflits moins abominable l'un que l'autre ? Le commun dénominateur se nomme toujours « souffrance », quelque soit la couleur, la nationalité, la religion, la situation ou l'époque. Lorsque l'on voit ce que sont devenus les « ennemis » d'hier, que deviendront ceux d'aujourd'hui ou de demain ? Et où se terrent toujours les véritables lâches, quelques soient les guerres ?

Publié le 2 novembre 2004
Amélie m'avait ennuyé, je trouvais son positivisme poussif à force d'être excessif; Mathilde m'a bouleversé, du début à la fin, par sa tenacité, sa force et sa folle croyance en un espoir aussi ténu qu'un fil qui pourrait être la corde avec laquelle on pend le condamné. J'ai tout aimé: d'abord l'histoire de Japrisot, la matière qui a les reflets mats de l'or pur et ensuite l'adaptation de Jeunet qui en fait un pendant à la fois corrolaire et indépendant. Il nous livre un livre d'une maturité exemplaire, il poursuit la veine glorieuse ouverte par son précédent opus et confirme que l'impudente fantaisie peut aussi se mêler au drame et se draper d'une digne retenue. Mathilde n'est pas Amélie, mais je voudrais aimer comme elle aime, je voudrais être aimé comme elle aime.

Publié le 2 novembre 2004
magnifique film! Du Jeunet à 100%, plus intriguant qu'Amélie Poulain mais tout aussi prenant! Courez-y... 9.5/10 (parce que 10, c est impossible)

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