Stones
Titre original: Piedras
Réalisateur:
Origine:
- Espagne
Genre:
- Comédie dramatique
Année de production: 2002
Date de sortie:
03/12/2003
Durée: 2h16
Synopsis :
Piedras raconte les vies de 5 femmes qui vont s'entrecroiser, les relations qu'elles vont tisser. Leur point commun: les pieds et les chaussures. Adela, femme blessée, retrouve la chaleur grâce à la sensualité du Tango. Leire, jeune fille au coeur brisé, est sur le point de tomber de son podium de danseuse de boîte de nuit à cause de ses talons trop hauts. Marie-Carmen, mère célibataire, a les pieds abîmés à force de conduire son taxi jour après jour, et nuit après nuit. Anita, les yeux rivés vers le ciel, parcourt inlassablement le même trajet à pieds dans l'espoir de croiser un avion qui s'envole. Pour finir, il y a Isabel, belle et riche. Mais délaissée par son mari, elle dépense sans compter et achète ses chaussures deux tailles en-dessous de la sienne. 5 cendrillons sans princes charmants, à la recherche du bonheur, à la recherche d'une seconde chance...
Avis des internautes du film Stones
Publié le 15 avril 2005
Esta película es genial!! No puedes perdertela. http://piedras.bitacoras.com
Publié le 17 décembre 2003
un doutage en comédie mélodramatico sentimentale,qui se trouve entre p.almodovar, bigas lunas, r.altman et sam mendes. vous voyez de quoi je parle? ceci étant j'ai trouvé ce film très bien, la bande son est très chouette, les personnages très attachants et émouvants bien que très 'cliché cinéma ibérique', comme le faisait remarquer à juste titre d'ailleurs, 'indiana' ds son commentaire. On va finir par croire que tous les espagnols sont soit homos ou drogués voire les 2 vivant des amours improbables. Le film se termine quand même sur une note d'espoir et il est ponctué de touches d'humour judicieusement placées et oh combien jouissives
Publié le 8 décembre 2003
Décevant. Très lent et on ne s'intéresse à aucun personnage à part à la tenancière de bordel. Le cinéma espagnol commence à se caricaturer et à être très répétitif. On dirait que certaines scènes et certains personnages ne sont là que pour provoquer. C'est dingue mais dans le cinéma intimiste espagnol , 1 personne sur 2 est homo, marginale ou toxico...
Joanne Cambier